12Nov

La lettre de recommandation est-elle vraiment utile ?

L’exigence de la lettre de recommandation est plus notée chez les étudiants qui veulent intégrer une grande école ou une université. Toutefois, cette lettre n’est pas exclue des processus de recrutement. Il est vrai qu’en matière de recrutement, les CV et les lettres de motivation sont les plus demandés, mais rien n’empêche que vous joigniez à votre dossier de candidature, une lettre de recommandation. Bien des chercheurs d’emplois n’y pensent pas, et pourtant, ils ont tout à gagner à le faire…

 

1. La lettre de recommandation : un moyen efficace pour rassurer le recruteur

 

En tant que chercheur d’emploi, si vous parvenez à rassurer votre recruteur, vous aurez réussi le plus difficile à faire. Comme le souligne la chasseuse de têtes Virginie Granier « un recruteur a besoin d’être rassuré » Dès lors une lettre de recommandation peut être une excellente idée dans la mesure où celle-ci provient de quelqu’un qui vous a côtoyé dans un cadre professionnel. Si une telle personne porte sur vous un témoignage positif, vos chances de rassurer votre recruteur et de décrocher votre job n’en seront qu’accrues. « Une lettre de recommandation rédigée par un professeur suite à des études réussies, par un employeur après un job d’été ou un stage concluant, peut mettre en lumière votre personnalité, votre savoir-être, vos soft kills. C’est un facteur différenciant à ne pas négliger » précise Virginie Granier.

 

2. Une lettre de recommandation vous met en valeur …

 

Si vos anciens employeurs sont d’accord pour rédiger pour vous une lettre de motivation, cela signifie que qu’on peut présager de vos compétences. Une lettre de recommandation vous met ainsi en valeur. Elle confirme vos compétences et votre expérience. Souvent, il y’a beaucoup de déclarations et mentions sur vos CV et lors de l’entretien. Sans une lettre de recommandation, le recruteur peut en douter, car ne vous ayant jamais pratiqué. Cette lettre, même s’il ne vous est pas demandé est alors un vrai un atout. Par ailleurs, à la fin d’un entretien, n’hésitez pas à informer votre recruteur que vous tenez une lettre de recommandation à sa disposition. Proposez-lui de la lui remettre. De même, dans chacun de vos mails de motivation, n’hésitez pas à fournir une lettre de recommandation.

 

3. Marquer votre différence en présentant une lettre de recommandation

 

Contrairement à ce que de nombreuses personnes pensent, une lettre de recommandation peut bel et bien peser sur le choix des recruteurs. Virginie Granier la considère avant tout comme un outil supplémentaire dans la prise de décision finale, au même titre qu’un test de personnalité par exemple. Ce document à l’apparence anodin, permet au candidat de se démarquer du lot en ayant quelque chose de plus. Elle peut ainsi faire la différence dans une shortlist. Toutefois, il faut préciser qu’elle ne saurait en aucun cas remplacer le CV qui reste l’élément déterminant dans une candidature. Par ailleurs, une lettre de recommandation représente aussi une preuve de motivation dans la mesure où tout le monde n’ose pas demander une lettre de recommandation à son ancien employeur. Elle n’est pas forcément évidente à obtenir, car l’interlocuteur peut manquer de temps pour la rédiger. Il faut le relancer, etc. « Cela montre le caractère déterminé du candidat » estime la chasseuse de têtes. Enfin de compte, il faut tout simplement dire que la lettre de recommandation peut augmenter vos chances de décrocher un job. Ce serait alors dommage de ne pas en profiter…

05Nov

Quels métiers pour devenir riche à 35ans?

Le choix d’un métier est motivé par plusieurs facteurs. La passion est souvent citée en tête de liste parmi ces derniers. Cependant, l’argent demeure un élément déterminant dans le choix d’une carrière professionnelle. Si vous êtes de ceux-là qui veulent devenir riche à 35ans, en misant sur leur métier, vous ne devez pas opter pour n’importe quel domaine d’activité. Mais tout compte fait, quel secteur et quel métier choisir pour devenir riche? Nous avons passé en revue la nouvelle étude de rémunération de Robert Walters, grâce à laquelle nous pouvons vous dévoiler là où bosser pour bien gagner votre vie sans forcément attendre d’être un senior.

 

Le secteur d l’immobilier…

Voilà un domaine qui a le vent en poupe chez de nombreux jeunes qui veulent se faire beaucoup d’argent. Mieux encore, il est prévu, selon les experts, une progression salariale encore plus rapide en 2020 dans ce domaine. Par exemple, les cadres qui travaillent dans la gestion de patrimoine immobilier semblent pouvoir facilement atteindre des salaires importants. L’immobilier est en plus un secteur où il n’est pas très difficile d’avancer. En tout cas, il est plus facile d’y gravir les échelons comparé aux autres secteurs. Par exemple, au bout de 6 ans d’expérience, il est possible de devenir directeur financier et de gagner encore plus d’argent. La grande majorité des métiers de la gestion de patrimoine immobilier affiche des salaires dépassant de loin les autres secteurs, avec des postes clés accessibles en 10 ans d’expérience.

 

Conseil, finance et droit des affaires, des secteurs qui paient…

Si vous êtes à la recherche d’un métier qui vous rapportera beaucoup d’argent, vous ne regretterez pas d’opter pour le métier de conseil en stratégie. Ce dernier est un domaine qui rémunère très bien. Avec un niveau d’ancienneté moyen de 8 à 12 ans dans le secteur, les consultants avec un titre de “principal” peuvent prétendre à un salaire très intéressant. De même, a plus de 12 ans d’expérience, un “partner” gagne aussi énormément d’argent. En conseil, en management et en organisation, les salaires sont quand même un peu moins intéressants. Toutefois, les seniors managers (10-12 ans d’expérience) y gagnent beaucoup. Relativement au domaine de la finance en général, les salariés bénéficient de salaires très élevés. Ainsi, avec plus de 10 ans d’expérience, un responsable en fusion-acquisition peut prétendre à un salaire très ambitieux. Un directeur d’investissement ayant une expérience entre 6 et 12 ans peut gagner beaucoup d’argent. Enfin, quant aux avocats d’affaires, ils n’ont rien à envier à leurs confrères du conseil et de la finance. A titre illustratif, avec 7 ans d’expérience, un associé senior peut gagner beaucoup d’argent.

 

Construction, IT et digital : des domaines rentables …

Il est vrai que le secteur de la construction est en plein essor, mais il faut quand même préciser qu’il faut avoir plus de 12 ans d’expérience et occuper un poste à très haute responsabilité pour y prétendre à un salaire très élevé. Un directeur général en maîtrise d’œuvre gagne par exemple plus de 120 000 euros. Parallèlement, «dans un contexte d’accélération de la digitalisation des entreprises, la tendance de forte recherche de profils IT et digitaux se poursuit», indique Coralie Rachet. Dès lors, intégrer les directions informatiques avec une expérience de 10 à 15 ans en entreprise permet d’aller au-delà du seuil des 100 000 euros, précise-t-elle.

22Oct

4 idées reçues sur le métier d’expert-comptable

Il y’a beaucoup clichés et d’idées reçus sur de la quasi-totalité des corps de métier. Or les clichés ont la vie dure dit-on. Le métier d’expert-comptable n’échappe pas à cette règle. Les idées reçus sur ce métier ont la fâcheuse conséquence de décourager de nombreux jeunes qui pourtant sont séduit par le travail d’expert-comptable et rêvent de d’exceller dans ce domaine. Il est alors important de démonter un certain nombre d’idées reçues sur cette profession afin qui les personnes qui aspirent à cette branche puisse avoir le courage de se lancer… A travers cet article, on a répertoriés quelques-uns de ces soit disant vérités sur le métier d’expert-comptable …

 

1. Il faut être un as des mathématiques pour devenir un expert-comptable

 

Cette pensée est tout sauf vrai. Il n’est nul besoin d’être fort en en calcul pour devenir un expert-comptable. D’ailleurs, il est très courant de croiser des professionnels de ce domaine qui ont fait des études littéraires. Toutefois, il reste quand même vrai qu’il faut aimer manipuler les chiffres, les recouper, les interpréter pour être un bon expert-comptable. Cela ne doit pas quand même pousser les jeunes qui veulent devenir des experts comptables à croire aux exagérations qui voudraient que ce métier ne puisse être exercée que les par les as des mathématiques. Vous n’aurez besoin ni de géométrie, ni d’algèbre. Vous aurez tout simplement besoin de la logique et de capacité d’analyse avant tout de l’analyse avant tout.

 

2. Il faut huit ans d’études pour exercer le métier

 

En voilà une autre fausse idée véhiculée par rapport au métier d’expert-comptable. Vous n’avez pas besoin de faire un bac plus 8 pour devenir un expert-comptable. En vérité, il faut suivre 5 ans d’études après le bac et effectuer un stage de trois ans dans un cabinet ou une entreprise, avant de décrocher le fameux diplôme d’expertise comptable (DEC). Ces trois années de stages sont très gratifiantes en connaissance dans le domaine de l’expertise comptable.

 

3. Le métier est plutôt ennuyeux …

 

Tous les métiers ont leurs propres réalités qui oscillent entre difficulté et passion. C’est aussi le cas du métier d’expert-comptable. Oubliez l’image du type à lunettes croulant sous les chiffres et la paperasserie. Ce n’est pas la réalité de tous les jours de l’expert-comptable. Ce dernier travaille pour des structures de taille et de secteurs d’activité très différents: PME, TPE, ETI, startup, association, artisan, commerçant, agriculteur… Il exerce diverses missions où le contact prime. Il s’agit d’un métier passionnant qui permet d’être en contact avec des types d’entreprise et des domaines d’activité variés.

 

4. L’idéal, c’est d’être à la tête de son propre cabinet

 

Cette perception est loin de la réalité automobile, tous les experts-comptables ne sont pas intéressés par l’entrepreneuriat. Beaucoup d’entre eux deviennent enseignants ou travaillent comme salariés dans une entreprise. Au sein des entreprises, ils occupent généralement les fonctions de contrôleurs de gestion, d’analystes financiers, de DAF, d’auditeurs, de managers… Selon Françoise Savès, présidente de l’association Femmes Experts-Comptables, deux tiers des femmes diplômées dans ce domaine choisissent cette voie. Elles décrochent le DEC à l’âge où elles ont envie d’être mères. Elles préfèrent alors intégrer une entreprise pour mieux concilier vie professionnelle et vie familiale; précise-t-elle.

08Oct

Comment surmonter son licenciement ?

Comme une rupture amoureuse, un licenciement est un évènement douloureux très souvent mal vécu. Lorsque cela arrive, la personne licenciée a naturellement le moral en berne. Elle est démoralisée, voir démotivée. Elle perd l’envie d’entreprendre de nouvelles choses, préférant passer ses journées au lit. Certains employés arrivent même à la dépression. Pourtant, ce n’est pas la fin du monde. Vous devez prendre le contrôle de votre vie pour avancer. Ce n’est pas facile, mais c’est bien possible. Nous vous proposons ici des solutions pour vous relever de votre chute après un licenciement…

 

1. Prendre son temps…

Comme tout évènement douloureux, le licenciement est une chose difficile. Il faut alors du temps pour la digérer et changer de cap. Vous devez alors être réaliste car, ce genre de situation ne s’oublie pas en un claquement de doigt, ni en quelques jours. Personne ne vous en voudra de le vivre mal, car vous avez perdu votre zone de confort, vos collègues et vos repères. L’une des attitudes à adopter dans ce cas, est de prendre le temps de faire votre «  deuil  » et ne de pas vous précipiter à vous relancer dans n’importe quoi. Prenez-votre temps et, ensuite, passer à autre chose. La vie continue…

 

2. En parler autour de soi…

La confiance noie la douleur at-on l’habitude de dire. Rien de plus vrai d’ailleurs… Après un licenciement, il ne sert à rien de ruminer seul, dans votre pièce, votre colère et votre désespoir. Vous devez sortir et parler de votre chagrin aux personnes de votre entourage. Cela vous mérite d’atténuer fortement votre douleur et de vous changer les idées. Vous pouvez également partager votre ressenti avec un coach spécialiste ou vous confiez, tout simplement, à vos amis et à votre famille. Ils sont le meilleur remède dans votre processus de rétablissement. Leur écoute est un cadeau inestimable qui vous réconfortera.

 

3. Ne pas être trop sévère avec vous-même…

En cas de licence, vous ne devez pas être très sévère avec vous-même en vous culpabilisant. Éprouver une série de sentiments négatifs est certes compréhensible, mais essayez de les réguler pour ne pas sombrer dans la déprime. Plutôt que d’être trop dur avec vous-même, pensez à votre situation tout en vous disant qu’elle rentre dans l’ordre normal des choses. Cela n’a aucun sens de passer des heures à réfléchir sur comment et pourquoi vous en êtes arrivé là. Allez de l’avant et réfléchissez à votre avenir et à vos futures ambitions professionnelles.

 

4. Ce qui ne tue pas rend plus fort

A quelque chose de malheur est bon, dit l’adage. Dites-vous bien qu’il y a une opportunité à saisir dans votre situation de désespoir et que tout n’est pas négatif. Votre licence ne vous a pas plu, mais essayez quand même de voir le côté positif des choses. Aussi difficile que cela puisse paraître, il faut essayer de voir les opportunités dans cette situation peu agréable. Le changement de carrière n’avez-vous pas toujours rêvé va-t-il voir le jour maintenant? Serait-ce l’occasion de vous reconvertir ? Élaborez de nouveaux projets. Vous ne pourrez que vous relever d’une telle expérience, et vous serez peut être fin prêt à décrocher le job de vos rêves!

01Oct

10 métiers qui n’existaient pas il y a 10 ans

Il y’a des métiers qui paraissent évidents pour les gens de la jeune génération, mais qui pourtant, n’existaient pas il y’a de cela dix ans. Il s’agit d’un cycle naturel qui donne naissance à de nouveaux métiers tout en faisant disparaitre d’autres. Ainsi, si certaines professions tendent à disparaitre, d’autres, au contraire, ont émergé ces dix dernières années, et ce en partie grâce au développement des nouvelles technologies. Selon l’organisme de prévisions américain Institute for the Future (IFTF), 85% des métiers qui seront exercés en 2030 n’ont pas encore été créés. Voici 10 métiers qui sont apparus cette dernière décennie…

 

1. Les métiers du Big Data

Architecte big data, data scientist, chief data officer… Le marché des bases de données est à l’origine d’un nombre important de métiers, très convoités aujourd’hui dans les start-up et les grandes entreprises. Pourtant, à une époque récente, ils n’étaient pas à l’ordre du jour.

 

2. Chief happiness officer

Comprenez responsable du bonheur en entreprise ! Il veille au bien-être des employés, à leur productivité et leur performance. Il cherche des solutions pour que les travailleurs se sentent plus épanouis sur leur lieu de travail.

 

3. Développeur d’applications mobiles

Le smartphone est devenu un outil indispensable, et des milliers d’applications sont créées chaque année pour nous faciliter la vie ou nous distraire. L’IFAPME propose même une formation de développeur d’applications mobiles d’une durée de deux ans.

 

4. Chauffeur VTC

Uber, Heetch, Kapten… Les « voitures de tourisme avec chauffeur » ont presque supplanté les taxis traditionnels. Les premières applications sont nées en 2011 et connaissent depuis un succès croissant. Les métiers auxquels, cette nouvelle innovation a donné naissance sont apparus récemment.

 

5. Livreur à vélo

Les commandes par téléphone ou les passages par le drive sont révolus : aujourd’hui, un simple clic sur son smartphone ou son ordinateur et votre repas est livré devant votre porte en quelques minutes.

 

6. Juicer

Tout comme les livreurs, les trottinettes électriques fourmillent aussi dans nos villes depuis plusieurs mois. Le juicer a pour mission de les géolocaliser et de les recharger.

 

7. Community manager

Véritable expert des réseaux sociaux, il répond aux questions des internautes, crée des espaces d’échanges et fait connaitre l’entreprise et ses produits sur le web. La plupart des entreprises en disposent aujourd’hui.

 

8. Youtubeur

La génération 2000 les connait bien et les adule: les Youtubeurs suscitent aujourd’hui un véritable engouement. Ces créateurs de contenus gagnent aujourd’hui leur vie grâce à leurs vidéos, aux publicités et aux placements de produits.

 

9. Influenceur

Sollicité par les marques pour sa notoriété, son contenu ou son statut, il influence les habitudes de consommation de sa communauté, en faisant la promotion de produits via diverses plateformes: Instagram, YouTube ou Snapchat.

 

10. Ergonome Web

Un métier peu connu, mais c’est pourtant lui qui est chargé d’optimiser l’utilisation d’un site web sur ordinateur, tablette ou mobile, en rendant son interface la plus simple d’utilisation et la plus agréable possible.

03Sep

Pourquoi manger entre collègues à midi ?

L’entreprise n’est pas seulement un lieu de travail, c’est aussi un milieu où des relations sociales et des amitiés se tissent. D’ailleurs de nombreux managers cherchent aujourd’hui à promouvoir la solidarité et la bonne ambiance au sein de leur équipe parce qu’ils sont convaincus que ces facteurs sont des indicateurs de productivité de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle, le « manger ensemble » entre collègues est très souhaité dans les entreprises. Il est devenu une norme qui a obtenu de nombreux avantages. Si vous êtes du genre à manger seul devant votre bureau, pensez alors, de temps à temps, à vous rendre à la cafétéria pour partager votre repas avec vos collègues. Manger à midi, savourer un bon repas entre collègues autour d’une table, est une occasion idéale de parler de travail ou de ce qu’on a fait lors du week-end écoulé. Il s’agit d’une source d’échanges et de bonne humeur. C’est aussi un facteur qui favorise la coopération selon une étude menée par la Cornell University, en 2016.

Cette étude révèle que, la plupart du temps, les employés qui mangent ensemble sont plus aptes à travailler ensemble que ceux qui préfèrent manger seuls. La collaboration n’est pas le seul avantage d’un repas partagé entre collègues : il s’agit là d’une bonne alternative aux activités de Team Building, qui impliquent « beaucoup de coûts et, surtout, vous demandez à beaucoup de vos employés de faire des choses avec des collègues pendant leur temps libre », explique Kevin Kniffin, un chercheur en comportement. Fort de ce constat, dans le but d’encourager cette pratique conviviale, beaucoup d’entreprises installent, en leur sein, des cantines afin d’encourager les employés à s’y rendre et à s’attaquer avec leurs collègues.

Toutefois, il ne faut pas trop forcer le contact non plus, car cela pourrait avoir un effet contre-productif. Ainsi, même si les repas entre collègues présentent beaucoup de bienfaits, il ne faut pas forcer les choses. Tout doit venir naturellement … Ce n’est pas, d’ailleurs, parce qu’on gère entre collègues que la coopération et l’entente vont s’améliorer, que les travailleurs s’apprécient mieux et travaillent mieux ensemble.

Bien au contraire, manger seul peut aussi être une bonne choisie. Tout le monde n’est pas toujours prêt à subir les conversations de chacun lors du temps de midi, qui est aussi synonyme de détente et de retour sur soi. Selon, une étude dirigée par l’Université de Toronto, il importe tout particulièrement de chacun choisir. Il ne faut surtout pas se sentir forcé de manger avec les autres. Bref, libre à vous de choisir avec qui manger. Vous pouvez également alterner les deux au rythme qui vous convient, en mangeant une fois par semaine seule, par exemple.

Quoi qu’il en soit, il est toujours déconseillé d’être vu comme la personne qui sape toujours l’ambiance et la bonne humeur entre collègues. Soyez équilibré dans votre choix. Votre manager appréciera toujours de votre part une attitude fédératrice. 

20Août

Top 7 des métiers d’avenir qui n’existent pas encore

Il y’a quelques années de cela, nombre de métiers qui existent aujourd’hui, n’avaient pas encore vu le jour. Si vous pensez que cette dynamique de naissance de nouveaux métiers va s’arrêter, vous pouvez déchanter. Entre robots, intelligence artificielle et véhicules autonome, les métiers du futur frappent à nos portes. Les observateurs ont fini de nous convaincre que des millions d’emplois seront remplacés par des machines. Parallèlement, nous assisterons à la naissance de métiers qui sembleront sortir tout droit d’un film de science-fiction. Nous faisons le point avec vous sur le top 7 des métiers d’avenir qui n’existent pas encore.

 

  1. Guide touristique spatial

Il s’agit d’un métier qui verra le jour dans l’avenir. Cela est dû au tourisme spatial qui prend son envol. Ce n’est pas une mauvaise idée d’envisager une carrière en tant que guide touristique de l’espace. Vous serez ainsi chargé d’accompagner les visiteurs fortunés tout au long de leur vol. Vous allez aussi concevoir les trajets les plus palpitants grâce à votre connaissance des appareils utilisés en orbite. 

 

  1. Mineur d’astéroïdes

Creuser des astéroïdes afin de trouver certains minerais est une option envisageable à l’avenir. Il s’agira de pallier à la pénurie de ressources sur la planète. Tout en exploitant celles de l’espace. Ce forage à haut risque sera généralement entrepris par de la machinerie autonome. Mais dans certains cas, des mineurs humains seront appelés en renfort afin d’assurer le bon déroulement des opérations. C’est donc un métier d’avenir à considérer fortement.

 

  1. Gestionnaire de contenu cérébral

La science est dynamique et se surpasse continuellement. Il est ainsi envisagé, dans le futur de trouver des moyens qui permettent d’accéder à vos pensées. Mais aussi à vos souvenirs grâce à des implants qui lient votre cerveau à un ordinateur. Cette nouvelle possibilité médicale ouvrira la porte à des services payants. Ceux-ci pourront ainsi améliorer la mémoire et même revisionner vos rêves. Les gestionnaires de contenu cérébral pourront également aider une personne à trier ses souvenirs. Chacun pourra ainsi réaliser le film de sa vie pour son entourage. N’est-ce pas fabuleux ?

 

  1. Conseiller en éthique technologique

Le rôle des robots et de  l’intelligence artificielle a été largement débattu.  Tout de même, il est impératif de réfléchir à des règles éthiques. Car l’utilisation de ces nouvelles technologies ne doit pas se faire aux dépens des êtres humains. En plus d’apprendre aux machines à décoder les subtilités de notre langage, les experts devront confirmer à la population que les balises de sécurité nécessaires ont été mises en place. La naissance du métier de conseiller en éthique technologique est alors fortement envisageable.

 

  1. Gestionnaire de drones, un métier d’avenir

Des entreprises comme Amazon projettent d’acquérir des flottes de milliers de drones pour accélérer leur service de livraison. Cela inclut donc des gestionnaires spécialisés dans l’achat et la programmation. Mais aussi dans l’entretien et la supervision. Ces essaims motorisés seront donc en forte demande sur le marché du travail.

 

  1. Gestionnaire de vie privée

Les appareils intelligents seront la cible d’un nombre croissant d’attaques informatiques. Des solutions s’imposent donc pour protéger les renseignements privés. Les conseillers en protection des informations personnelles en ligne auront la cote. Cette expertise sera également prisée par les entreprises et gouvernements.

 

  1. Coach de fin de vie, métier d’avenir important 

Après le coach de vie, préparez-vous pour le coach de fin de vie ! La population vieillit et cette importante cohorte aura besoin de conseillers sensibles et empathiques. Ils les guideront dans leurs choix de traitements médicaux et exploreront avec eux comment vivre pleinement leurs derniers jours. Ce métier fait partie du top 7 des métiers d’avenir.

30Juil

Afrique : L’industrialisation est indispensable à la création d’emplois

En Afrique, la création d’emplois est indispensable au développement durable et à la croissance inclusive du continent. Dans ce continent, les groupes vulnérables tels que les femmes et les jeunes, sont touchés de manière disproportionnée par la rareté des emplois décents. Ces derniers constituants pourtant des maillons importants de la population africaine sans compris, le développement n’est pas envisageable. Ou, la quasi-totalité des observateurs soutiennent, à juste titre d’ailleurs, que seule l’industrialisation veut créer des emplois nécessaires aux jeunes africains. Ainsi, selon les projections des Nations unies, 

 

L’industrialisation devient une réponse à l’impérieuse nécessité de créer dix à douze millions d’emplois pour seulement absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail. Il doit, cependant, s’agir d’une industrialisation pensée et adaptée au contexte africain. 

 

 En effet, chaque pays a ses propres caractéristiques, il est essentiel que chaque gouvernement envisage l’industrialisation en prenant compte notamment des ressources naturelles dont il dispose et des potentialités dont le pays est doté. L’industrialisation doit reposer sur la création d’un environnement économique et social favorable. Selon Jonathan Le Henry, consultant chez PWC, les pays africains gagneraient « à une réflexion commune et intégrée de politique industrielle ». 

 

Et ce dernier de préciser que plusieurs leviers doivent être actionnés pour gagner le défi de l’industrialisation en Afrique. Il s’agira de capitaliser sur les ressources naturelles pour créer de nouvelles activités à plus forte valeur ajoutée, de miser sur des partenariats stratégiques afin de favoriser le partage de valeur et le transfert de technologie, de s’appuyer sur les technologies de la révolution industrielle 4.0 pour dégager des gains de productivité, améliorer le niveau de compétitivité et mieux s’intégrer sur la chaîne de valeur. Il s’agira enfin de créer les conditions nécessaires à l’amélioration du climat des affaires en proposant un environnement attractif pour les investisseurs étrangers et en minimisant le poids de la bureaucratie.

 

Une telle approche pourra permettre aux populations africaines de bénéficier de création d’emplois en masse. À terme, le développement du continent africain pourra être pérenne et rentable à chaque citoyen africain.

 

 A l’heure actuelle, l’industrie africaine ne se produit que 700 dollars américains de PIB par habitant en moyenne, trois fois moins qu’en Amérique latine (2500 dollars) et cinq fois moins qu’en Asie de l’Est (3400 dollars). Et ses exportations se composent de produits manufacturés de faible technologie et de ressources naturelles non transformées – qui représentent plus de 80% des exportations de l’Algérie, de l’Angola et du Nigeria, par exemple. 

 

L’Afrique comme l’Europe au XIXe siècle, l’Asie au XXe siècle, doit alors, s’engager, résolument, sur la voie de l’industrialisation au cours de ce XXIe siècle. Dans cette optique, le président du Groupe de la Banque africaine de développement, le directeur général de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) et le secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) sont convenus de travailler ensemble pour aider l’Afrique à concevoir son programme d’industrialisation. D’autres initiatives voient également le jour à permettre au contient noir de sortir de l’ombre.

23Juil

Diplômé et désorienté? Quelques conseils pour vous guider après vos études

Vous passez encore beaucoup de temps à réfléchir sur l’avenir professionnel, sans trop savoir où vous allez, ni ce que vous ferez. Ce sentiment désagréable d’incertitude professionnelle est agrandi chez de nombreux jeunes diplômés. Cela les demande d’avancer, mais aussi d’être optimistes pour leur avenir. Pour autant, vous ne devez pas céder au découragement. C’en est fini de rester au lit à ne rien faire, il est temps de passer à l’action ! Voici quelques conseils pour relativiser votre situation et vous orienter…

 

  1. Faire le point sur soi-même…

Il est important quand vous êtes perdus et découragé face à un avenir professionnel que vous sentez incertain, de faire le point sur soi-même. Cela vous permet de redresser la pente. Vous devez notamment vous poser un certain nombre de questions pour mieux vous orienter. Qu’est-ce que vous voulez exactement? Comment et où vous voyez-vous dans un an? Et plus tard ? Les réponses à ces questions vous avez de vous projeter vers un avenir plus serein et de toucher du doigt vos attentes. Objectif est de vous inspirer, de sortir de l’état de léthargie, bref de vous découvrir sous un nouveau jour.

 

  1. Passez en revue ses expériences professionnelles…

En tant que diplômé, dites-vous bien que même si vous n’avez pas encore vu le bout du tunnel, cela ne veut pas dire que vous n’avez aucune compétence ou que vous valez rien. Bien au contraire, vous avez beaucoup d’aptitudes qui ne demandent qu’à être mises en œuvre. Pour les découvrir, vous devez faire le point sur vos compétences. Passez en revue toutes vos expériences professionnelles. Aussi minimes soient-elles, ne les sous-estimez pas. Lors d’un emploi étudiant ou d’un stage, par exemple, vous avez appris à vous adapter, à travailler en équipe, à développer certaines capacités, à obéir, etc. Cela vous permet de vous orienter afin de savoir exactement dans quel domaine aimeriez-vous travailler.

 

  1. Dressez une liste des options de carrière possibles…

Vous n’êtes pas un diplômé pour rien. Vous avez certainement des idées, des rêves de carrière. Listez-les ! Pour chaque idée, vous devez réfléchir aux prérequis nécessaires pour les mettre en œuvre, ainsi que les conséquences d’un tel choix sur votre vie. Vous devez tout de même faire preuve de réalisme, car il est clair que vous ne pourrez pas atteindre vos objectifs à long terme immédiatement. Soyez prêts à rouler votre patron. Dans un premier temps, vous serez plutôt à un poste qui vous convient et grâce auquel vous pourrez gravir les échelons dans le futur.Ainsi, lorsque vous parcourez les offres d’emploi, évitez toutes celles qui exigent au moins deux années d’expérience professionnelle, car vous avez de très petites chances d’être sélectionné. Anticipez en évitant les refus et les retours négatifs.

 

  1. Faites connaissance des métiers liés à votre formation …

Vous devez prendre le temps de vous renseigner sur les emplois qui vous intéressent, ou plus exactement sur ceux qui gravitent autour de votre branche de formation. Vous connaissez, par exemple, quelqu’un dans votre entourage qui a fait la même formation que vous ou qui connaissez le secteur qui vous passionne, prenez des renseignements auprès de lui. N’hésitez pas à entrer en contact avec les professionnels, ceux qui ont déjà reçu leur métier, ils seront ravis de vous répondre. Vous pouvez également vous informer auprès des anciens diplômés, de ceux de votre année, etc. Bref, Donnez-vous les chances de diversifier vos sources d’informations. 

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02Juil

Comment bien s’intégrer dans une nouvelle équipe ?

Intégrer une nouvelle équipe n’est pas toujours aisé. Les relations avec de nouveaux collègues  peuvent être, quelquefois, très  heurtées. Cela se comprend aisément. En effet, des personnes qui ne se connaissent pas ont besoin de temps pour se comprendre et s’apprécier mutuellement pour un meilleur fonctionnement. Dans cette logique, lorsque vous intégrer nouvellement une équipe, vous avez votre part à jouer afin que votre intégration soit réussie.

Voici quelques conseils pour y parvenir.

 

1- Faites preuve d’humilité 

Il est vrai que vous devez faire valoir vos compétences pour vous faire respecter et accepter par vos collègues. Mais cela ne doit en aucun cas se traduire par un certain manque d’humilité  qui bloquera toute possibilité de collaboration. Vous ne devez pas non plus donner l’impression de regarder de haut vos collègues, ni encore moins remettre en cause leurs compétences. Cela créera à coup sûr une certaine frustration qui peut être préjudiciable à votre intégration. Or,  que vous soyez jeune salarié ou bien cadre aguerri, bien intégrer  une nouvelle équipe est un bon début pour mener à bien votre mission. De même, une bonne entente avec vos  collègues est essentielle pour vous sentir bien dans une entreprise. C’est même un facteur de motivation pour votre rendre chaque matin au boulot. Pensez-y.

 

2- Dégagez de l’énergie et de l’enthousiasme

En général, vos nouveaux collègues se font une idée de vous, dès le premier contact. Celui-ci est alors fondamental. C’est la raison pour laquelle, vous devez dégager de l’énergie et de l’enthousiasme lors des premières rencontres. D’ailleurs, de nombreux spécialistes des RH s’accordent sur le fait que la période d’intégration est cruciale pour se construire une image positive sur le long terme. Cela va au-delà même de la réalisation des tâches. De ce fait, pour bien s’intégrer dans une nouvelle équipe, n’hésitez pas à afficher un visage souriant, vous devez également vous monter discret et agréable. Une sobriété vestimentaire est également conseillée. Ce n’est qu’une fois bien intégré, et si le dress code de l’entreprise le permet, que vous pourrez afficher votre passion pour les chemises à motifs. 

 

3- N’essayez pas de tout changer

Votre touche sera certes attendue et bien appréciée par votre manager. C’est d’ailleurs une très bonne chose que vous ayez   des idées très précises sur la manière de booster les résultats de votre entreprise. Mais soyez intelligent, ne les divulguez pas dès le premier jour. « Les premiers jours, il faut essentiellement observer, écouter et poser des questions », conseille un spécialiste RH. Donnez-vous le temps de vous imprégner de la culture de l’entreprise afin de mieux comprendre les enjeux de celle-ci. Ce n’est que plus tard que vous pourrez apporter vos suggestions à votre manager. « Attention tout de même à ne pas confondre apporter son expérience et l’imposer », mettent en garde les spécialistes.

 

4- Respectez les règles établies par votre nouvelle équipe

Naturellement, dès l’instant que vous intégrez une nouvelle équipe, attendez-vous à des règles à respecter. Cherchez à les connaître pour ne pas les bafouer.  Certaines règles ne sont malheureusement pas écrites et vous ne les découvrirez qu’avec le temps. Toute la difficulté pour un nouveau venu est de respecter les règles non écrites qui régissent les relations entre collègues. « Il faut être attentif aux us et coutumes du groupe, car il existera  forcément certaines règles de savoir-vivre, tacites ou explicites »,  soutient un expert des RH.  Si, par exemple,  vos nouveaux collègues ont pour coutume de déjeuner ensemble, faites en sorte de suivre le mouvement… le temps au moins de vous intégrer. Naturellement, si vous sentez qu’il y a des clans ou des tensions entre certaines personnes, tenez-vous à l’écart. Quoi qu’il en soit, chaque service a sa manière de fonctionner. Ces règles de fonctionnement peuvent être relatives  aux périodes de  tenue des réunions pour faire l’état de l’avancée des projets, au temps de travail etc.

Tâchez alors de vous en imprégner au maximum pour assurer la réussite de votre intégration …