27Mai

3 conseils clés pour anticiper vos recrutements en période de crise

La pandémie de COVID-19 a bouleversée les plans des entreprises, tous secteurs confondus. Ces dernières ont dû s’adapter à ce changement brutal et réorganiser leur stratégie,  dont les recrutements. Cependant, afin de ne pas se trouver totalement submergé après la crise sanitaire, il est essentiel d’adapter sa stratégie de talent acquisition en prévision de l’après. Voici quelques conseils utiles afin d’anticiper au mieux vos recrutements.

 

1. Ne vous laissez pas surprendre par l’urgence

C’est le moment de profiter de cette activité ralentie pour prendre de l’avance. Les recherches pour trouver de bons profils peuvent parfois s’avérer longues; et lorsque la mission est urgente, le stress et la pression des délais ne favorisent pas le recrutement du candidat idéal. Évitez les publications intensives de dernière minute et les entretiens à la hâte Préférez plutôt une recherche continue en vous constituant un vivier de nouveaux talents potentiels qui viendront renforcer vos équipes. 

Conseil : Préférez la sérénité et l’efficacité en anticipant vos prochains besoins en recrutement.

 

 

2. Avoir un stock de candidats et de compétences

Vous constituer une solide base de données de talentueux candidats est indispensable. N’attendez surtout pas le départ d’un (e) collaborateur(trice) avant d’entamer le processus de recherche, mais essayez plutôt de vous rendre visible aux yeux des candidats en recherche active.

N’hésitez pas aussi à faire le point sur les compétences de votre entreprise dans un dossier  »cartioeefe » , et à transformer les talents que vous avez à disposition en compétences. Il faut recruter des pépites, les tailler, les anciens afin qu’elles puissent exprimer tout leur potentiel et leur savoir-faire. C’est un investissement rentable que vous ferez.

Conseil : faites de la recherche de profils une quotidienne afin de toujours avoir d’éventuelles activités candidats à portée de mains.

 

3. Développer sa marque employeur

C’est sûrement l’un des aspects que les entreprises négligent le plus, alors qu’il est très important. En effet, les employeurs ont tout intérêt à fédérer les futures équipes Pour cela, la vision, les objectifs et la culture de l’entreprise doivent être sus et partagés de tous. Les candidats sont plus enclins à se sentir engagés envers les entreprises qui leur font comprendre à quel point leur travail est important et participent à un plus grand but. 

Conseil : N’hésitez pas à vous rendre visibles à travers des conférences ou des webinaires et à vous positionner en tant qu’expert.

03Avr

Afrique : Quand l’économie bleue crée une niche d’emploi

Contrairement aux stéréotypes entretenues ça et là et à la vision déformée des afro-pessimistes, l’Afrique regorge de potentiels. Ce n’est d’ailleurs pas, par hasard, si de plus en plus d’investisseurs jettent leur évolution sur le continent noir pour y faire des affaires. Justement, il faut compter l’économie bleue parmi ces secteurs qui offrent des grands potentiels en termes d’investissement et par ricochet d’emploi. L’économie bleue crée ainsi une niche d’emploi en Afrique et participe de manière efficace à la réduction du taux de chômage sur le continent noir. Ainsi, à en croire les chiffres des experts, environ 12 millions de personnes travaillent dans le secteur de la pêche. Ce dernier assure la sécurité alimentaire de plus de 200 millions d’Africains et une valeur ajoutée d’au moins de 24 milliards $US, soit 1,26% du PIB de l’ensemble des pays africains. L’économie bleue en Afrique, selon les experts, joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l ‘eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l’eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l’eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ».

Des millions d’emplois directs…

Le secteur de la pêche en Afrique direct déclenché des millions d’emplois et encore plus d’emplois induits. Ces derniers vont de la transformation, au conditionnement, en passant par la commercialisation des produits, la confection de filets et d’engins, la fourniture de glace, la construction et l’entretien des navires. D’ailleurs, le rôle économique de ce secteur est confirmé par le WorldFish Centre, un institut de recherche indépendant basé en Malaisie, qui renseigne qu’en Ouganda, par exemple, la pêche sur les lacs rapporte plus de 200 millions de dollars par an , ce qui représente 2,2 % du produit intérieur brut national. Ce secteur d’activité emploie 135 000 pêcheurs et 700 000 personnes travaillant dans le secteur du traitement et du commerce de poissons et récupérer des recettes à l’exportation de 87,5 millions de dollars.

Un secteur majoritairement contrôlé par les entreprises étrangères…

S’il y a un constat largement partagé par les observateurs, c’est que l’économie bleue en Afrique, est contrôlée majoritairement par les entreprises étrangères. Corroborant cet état de fait, les statistiques de l’Organisation Mondiale pour l’Agriculture et l’Alimentation (FAO) annonce que, bien que dispose d’un potentiel non négligeable, l’Afrique demeure un producteur relativement modeste de poissons, et ne se classe qu’au quatrième rang mondial avec 4 500 000 tonnes. La continentale se pratiquent principalement dans la région des Grands Lacs d’Afrique, (Ouganda et Tanzanie) et au Nigeria pour les pêcheries fluviales. Ce secteur gagnerait alors à s’ouvrir davantage aux pêcheurs locaux pour que l’économie bleue contribue davantage à réduire la pauvreté en Afrique.