06Mai

Comment rattraper une gaffe au boulot ?

Quoi que  compétent que vous puissiez être, il n’est pas exclu que vous commettiez une gaffe dans le cadre de votre travail. Celle-ci peut parfois virer au cauchemar si la situation est mal gérée. Vous pouvez, par exemple vous tromper sur la destination d’une commande,  sur le destinataire d’un mail confidentiel, bref vous n’avez pas tout simplement  fait ce qui vous était demandé…Si tout le monde commet des bourdes au bureau, les façons de les  gérer et de rattraper ses erreurs sont différentes. Voici quelques conseils pour limiter les dégâts..

 

Gardez votre sang froid…

Lorsque vous commettez une bourde dans le cadre de votre travail, vous n’avez pas besoin de paniquer,  car quelles que soient les conséquences qui peuvent en découler,  paniquer ne résoudra le problème. Dites-vous, avant tout que l’erreur est humaine et la panique ne ferait qu’empirer la situation. Il est certes tout naturel de se sentir mal à l’aise et d’être stressé à l’idée d’avouer une bourde. Mais au plus vite vous agirez, au mieux cela se passera. Rien ne sert de faire l’autruche. Quand la situation est sue très vite par votre manager, ce dernier aura plus de temps et de chance de s’impliquer et de d’amoindrir les dégâts. Il ne sert alors à rien de nier. Si votre erreur peut avoir des répercussions, reconnaissez-la immédiatement. Cela évitera qu’elle ne prenne encore plus d’ampleur et qu’elle ait des conséquences néfastes.  Par contre,  s’il s’agit d’une petite bourde que vous pouvez rattraper seul, pas la peine d’en parler.

Ne remettez pas la faute sur les autres…

Rien ne peut autant énerver un patron qu’un employé qui fuit ses responsabilités. C’est la raison pour laquelle, dès l’instant que vous avez pris conscience d’avoir fait une gaffe, assumez-en l’entière responsivité et faites votre mea culpa.  Montrer à votre manager que vous avez conscience de votre erreur et que cela vous a servi de leçon. Il ne faut surtout pas  accuser les autres. Si par exemple, vous avez mal compris une consigne, admettez-le. Reconnaître  ses fautes,  c’est faire preuve de maturité.

 

Proposez des solutions pour réparer les dégâts…

Il ne s’agira pas pour vous de vous contenter seulement de faire votre mea culpa. Vous devez aussi vous impliquer dans la recherche de solution aux problèmes que vous avez-vous-même crée.  Proposez des solutions pour réparer les dégâts fera comprendre à votre manager que vous êtes sincèrement désolé.   N’hésitez pas à demander de l’aide à vos collègues. Cela prouvera que vous désirez réellement résoudre le problème.  Vous devez ensuite apprendre de vos erreurs.  Prenez la peine d’expliquer ce qui s’est passé, ce que vous en avez retenu et comment vous allez vous en servir pour vous améliorer dans le futur. Bref, communiquez ! Cela jouera en votre faveur

 

Déculpabilisez…

Si vous continuez à vous sentir coupable, cela pourrait briser votre confiance en vous,  et vous faire douter de vous.  Sachez alors  que, bien souvent, les travailleurs les plus talentueux commettent des erreurs et cela ne remet pas en question leur compétence. De plus, vous devez savoir que dans bien des cas,  vous êtes un maillon d’une chaîne d’événements. « Une erreur n’est jamais la seule faute de la personne qui l’a faite, l’organisation et les processus mis en place dans l’entreprise sont aussi en cause.  D’où l’importance pour les managers de réfléchir avec le fautif à l’enchaînement des faits ayant débouché sur l’erreur»,  soutient le spécialiste  Jean-François Thiriet. En clair, arrêtez donc de vous culpabiliser et avancer sereinement.  

22Avr

4 astuces pour que votre lettre de motivation soit lue

Face au flot de lettres de motivation qu’ils reçoivent quotidiennement,  les recruteurs sont débordés. C’est la raison pour laquelle,  si votre lettre de motivation ne présente pas une certaine originalité, il y’a peu de chance qu’elle soit lue.  Vous devez alors vous démarquer du lot  avec une lettre / un mail de motivation béton ! En général, nombre de ces lettres ou mails sont fades et ennuyeux. Pour en finir une bonne fois pour toute avec ces lettres de motivations standards sans saveur,  nous vous proposons quelques règles simples d’écriture pour donner du tonus à votre courrier.

 

 

  • Soyez direct

 

De prime abord, gardez en tête que la première phrase de votre lettre de motivation est primordiale. Vous devez alors éviter de tourner autour du pot. Il faut rentrer rapidement dans le vif du sujet. Beaucoup pensent qu’il faut trois ou quatre lignes pour vanter les mérites de l’entreprise convoitée,  avant d’attaquer. Faux ! L’accroche de votre lettre de motivation doit être percutante. Si elle ne l’est pas, le recruteur se lassera de vous lire dès le début.

 

 

  •  Soignez le style de votre lettre

 

Nous avons, à l’entame de notre propos, précisé que les recruteurs n’ont pas beaucoup de temps. En conséquence,  vous  devez impérativement éviter  dans votre lettre de motivation, des phrases alambiquées. Optez plutôt  pour un style fluide,  donc beaucoup plus lisible pour le recruteur.  Votre lettre dégagera ainsi une énergie séduisante. La rédaction d’une lettre de motivation ne requiert pas un style lourd et complexe. Si votre style n’est pas clair et simple,  votre lettre sera tout bonnement classée au profit d’autres.

 

 

  • La lettre de motivation n’est pas un CV …

 

Il est courant de voir des candidats à court d’idée, répéter dans leur lettre de motivation, les étapes de leur CV. C’est tout sauf une bonne idée, car la lettre de motivation doit être vue comme quelque chose de plus qui va permettre au recruteur de faire le choix entre deux candidatures, en d’autres mots de les départager. Un bon CV est certes une bonne chose, mais un bon CV avec une bonne lettre  qui l’accompagne, c’est encore mieux. C’est dans la lettre que vous pouvez montrer que vous êtes aussi quelqu’un qui a une vision de son métier. Alors dites-le ! Parlez compétences techniques, polyvalence, capacité à encadrer, sens de l’organisation, méthode, efficacité..

 

 

  • Optez pour une structure claire …

 

 

La structure de votre lettre de motivation est d’une grande importance.  Si vous voulez rendre percutante votre lettre, soignez-la. Si elle est bien faite, vous aurez de grandes chances d’inspirer une bonne impression à votre recruteur qui verra en vous une personne cohérente.  Pour une structure simple et claire, vous pouvez  opter pour une construction traditionnelle, avec un paragraphe pour chacune des phases. Celle-ci s’articulera autour des points suivants :

– Ouverture : où avez-vous trouvé l’offre d’emploi ?

 -Motivation : pourquoi réagissez-vous à  l’offre d’emploi ?

-Argumentation : pourquoi êtes-vous le candidat idéal ?

-Conclusion : faites références à  un entretien futur.

03Avr

Afrique : Quand l’économie bleue crée une niche d’emploi

Contrairement aux stéréotypes entretenues ça et là et à la vision déformée des afro-pessimistes, l’Afrique regorge de potentiels. Ce n’est d’ailleurs pas, par hasard, si de plus en plus d’investisseurs jettent leur évolution sur le continent noir pour y faire des affaires. Justement, il faut compter l’économie bleue parmi ces secteurs qui offrent des grands potentiels en termes d’investissement et par ricochet d’emploi. L’économie bleue crée ainsi une niche d’emploi en Afrique et participe de manière efficace à la réduction du taux de chômage sur le continent noir. Ainsi, à en croire les chiffres des experts, environ 12 millions de personnes travaillent dans le secteur de la pêche. Ce dernier assure la sécurité alimentaire de plus de 200 millions d’Africains et une valeur ajoutée d’au moins de 24 milliards $US, soit 1,26% du PIB de l’ensemble des pays africains. L’économie bleue en Afrique, selon les experts, joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l ‘eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l’eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l’eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ».

Des millions d’emplois directs…

Le secteur de la pêche en Afrique direct déclenché des millions d’emplois et encore plus d’emplois induits. Ces derniers vont de la transformation, au conditionnement, en passant par la commercialisation des produits, la confection de filets et d’engins, la fourniture de glace, la construction et l’entretien des navires. D’ailleurs, le rôle économique de ce secteur est confirmé par le WorldFish Centre, un institut de recherche indépendant basé en Malaisie, qui renseigne qu’en Ouganda, par exemple, la pêche sur les lacs rapporte plus de 200 millions de dollars par an , ce qui représente 2,2 % du produit intérieur brut national. Ce secteur d’activité emploie 135 000 pêcheurs et 700 000 personnes travaillant dans le secteur du traitement et du commerce de poissons et récupérer des recettes à l’exportation de 87,5 millions de dollars.

Un secteur majoritairement contrôlé par les entreprises étrangères…

S’il y a un constat largement partagé par les observateurs, c’est que l’économie bleue en Afrique, est contrôlée majoritairement par les entreprises étrangères. Corroborant cet état de fait, les statistiques de l’Organisation Mondiale pour l’Agriculture et l’Alimentation (FAO) annonce que, bien que dispose d’un potentiel non négligeable, l’Afrique demeure un producteur relativement modeste de poissons, et ne se classe qu’au quatrième rang mondial avec 4 500 000 tonnes. La continentale se pratiquent principalement dans la région des Grands Lacs d’Afrique, (Ouganda et Tanzanie) et au Nigeria pour les pêcheries fluviales. Ce secteur gagnerait alors à s’ouvrir davantage aux pêcheurs locaux pour que l’économie bleue contribue davantage à réduire la pauvreté en Afrique.

14Août

CVthèques d’Afrique – Avoir le CV parfait

Recruteur Afrique – Les CVthèques (base de données en ligne regroupant les CV de chercheurs d’emploi) sont actuellement l’outil le plus utilisé par les recruteurs (en entreprise ou consultants des cabinets de recrutement). Afin…