30Jan

comment relancer un recruteur après entretien

Très souvent à la fin d’un entretien d’embauche, le recruteur ne vous donne pas un délai de retour. Il arrive ainsi que vous n’ayez pas de nouvelles de lui après une longue période d’attente.

Au bout d’une certaine période de patience, vous vous demander certainement si vous devez recontacter le recruteur, mais vous craignez de ne pas paraître impatient ou trop empressé. Comment vous prendre pour gérer tout ça ?  Voici quelques conseils pour mettre toutes les chances de votre côté

 

Garder vous de faire la relance de manière précipitée 

Beaucoup de candidats attendent impatiemment un coup de fil du recruteur, après un entretien d’embauche, surtout lorsqu‘ils ont l’impression que courant passait bien avec leur interlocuteur et que l’entretien s’est bien déroulée.  Si en en tant que candidat, vous vous retrouvez dans une situation pareille, il ne faut, surtout pas céder à la grande tentation de relancer le recruteur immédiatement. Vous devez, en effet, savoir que d’une part, l’entreprise se donne un délai de réflexion et de choix des candidats, et que la personne que vous avez rencontrée lors de l’entretien, n’est peut-être pas, la seule décisionnaire, en d’autres termes, n’a pas le dernier mot.

D’autre part, vous devez vous garder de relancer immédiatement un recruteur car, si vous êtes en recherche active d’un poste, il est bon de laisser penser que vous avez éventuellement d’autres pistes et que vous ne misez pas tout sur cette seule réponse.  Si le recruteur vous a signifié que le poste était à pourvoir dans des délais très rapides, rien ne vous empêche de rédiger un mail de remerciement dans la semaine qui suit afin de vous signaler.

 

Au bout de combien de temps relancer ?

Si après une dizaine de jours d’attente, vous n’avez pas eu de nouvelles de votre candidature, rien ne vous empêche de faire une relance. Ce sera, pour vous, une bonne occasion de montrer à nouveau, votre motivation et surtout, de synthétiser les raisons de votre intérêt pour le poste. “Si vous avez eu un entretien avec l’entreprise qui recrute et que l’on vous a communiqué une date de réponse qui vient d’échoir, relancez à ‘date + deux jours’ par l’envoi d’un mail directement adressé à l’interlocuteur qui vous avait annoncé le délai, conseille Laurent Hyzy, dirigeant d’Alterconsult.  En cas de non-réponse à cette relance, adressez un nouveau mail par semaine, dans la limite de trois. Si, en revanche, le recruteur vous a informé qu’il reviendrait vers vous mais qu’il ne pouvait pas vous communiquer de date, adressez un mail de contact chaque mois pour informer que vous êtes toujours intéressé[e] par le poste. En parallèle, consacrez-vous à 200 % à vos autres pistes”, précise-t-il.

 

Faut-il relancer par téléphone ou par mail ?

La relance d’un recruteur peut se faire par mail ou par appel téléphonique.  La deuxième option doit cependant être privilégiée, surtout si vous avez postulé dans une petite entreprise ou si vous avez eu un contact privilégié avec le recruteur, qui a montré de l’intérêt pour votre candidature.

Vous devez faire en sorte de vous adresser directement à la personne que vous avez rencontrée. Si vous devez passer par le standard, dites, quand on vous demande la raison de votre appel : “Je souhaiterais avoir un échange téléphonique avec M./Mme X, suite à notre rendez-vous du [date], car il/elle devait me rappeler.”, conseille un spécialiste RH. Si on vous répond que le recruteur est en réunion, rappelez votre nom et votre numéro de téléphone pour qu’il puisse se souvenir de vous et vous joindre à votre numéro.

22Oct

Recruteurs, le saviez-vous ? Un candidat déçu est un client perdu

La porosité des frontières entre la vie professionnelle et la vie personnelle n’est plus une idée à débattre, mais un constat à faire. Il est, en effet,  à peine inutile de préciser que démêler les relations de travail de celles qui relèvent de la vie privée n’est pas toujours évident, bien que souhaitable dans l’absolu. Notre  expérience professionnelle vécue avec une entreprise, peut façonner, en grande partie, notre perception de celle-ci. 

Le fait, par exemple, pour un chercheur d’emploi,  de voir sa candidature au sein d’une entreprise non prise en compte ou banalisée, peut être à l’origine d’une certaine frustration qui fera de ce candidat un client ou un consommateur de moins pour l’entreprise concernée.   Les entreprises ne s’en rendent pas compte ou n’y attachent pas beaucoup d’importance. Pourtant, il s’agit d’une donne importante à ne pas négliger. 

Des  études sérieuses ont révélé l’ampleur de cette question. Ces dernières ont  aboutie à la conclusion surprenante qu’un candidat déçu est un client potentiellement perdu. En effet, la plupart  des candidats sondés avouent être impactés en tant que consommateurs par leur expérience candidat. L’expérience candidat, à l’occasion d’un potentiel recrutement, a des répercussions certaines sur l’image globale de l’entreprise. Une candidature mal considérée change ainsi leur regard de consommateur au grand dam de l’entreprise. 

Certains spécialistes s’étant penché sur la question en déduisent  que la marque est devenue un tout où les RH et le marketing ne sont plus dissociés.  Il en résulte, pour l’entreprise, l’obligation de ne plus banaliser l’expérience candidat sous peine  de voir sa réputation globale en pâtir et de voir également une bonne partie de ses consommateurs se détourner d’elle.

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises envoient des réponses automatiques aux mails des différents candidats. Il s’agit certes d’un début de solution, mais  qui reste quand même insuffisant dans la mesure où ce format impersonnel donne l’impression aux candidats de ne pas avoir eu de retour. 

Certains  spécialistes suggèrent ainsi une  personnalisation systématique des messages afin  d’expliquer au candidat les raisons pour lesquelles sa candidature n’a pas reçu une suite favorable. Les motifs du refus sont variés. Il peut s’agir d’une expérience professionnelle jugée insuffisante, d’un poste déjà pourvu, etc. 

Quoi qu’il en soit, une  candidature restée lettre morte impacte négativement sur l’image que les candidats ont  de l’entreprise. Tâchez alors d’y remédier du mieux que vous pouvez !

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03Oct

Entreprises Africaines, formez vos salariés aux métiers futurs

Les innovations technologiques n’ont pas encore fini de bouleverser le monde professionnel. Les changements qu’elles apportent obligent les travailleurs de tout bord à sortir de leurs zones de confort,  pour se projeter vers un marché du travail futur et en mutation rapide. Ce constat est d`autant plus vrai qu`une étude menée par le World Economic Forum révèle que 65% des enfants qui entrent en primaire ces dernières  années feront des métiers qui n’existent pas encore. Ainsi, les innovations technologiques donneront naissance à de nouveaux emplois. Il faut donc s’y préparer pour ne rater la marche du monde. Pour les entreprises africaines, il est fondamental  de préparer leurs collaborateurs aux métiers de demain. Pour ce faire, une formation repensée doit être de mise.

Former vos salariés  au savoir-apprendre et au savoir-chercher 

La formation des salariés aux métiers qui n’existent pas encore peut se révéler difficile. Elle passe nécessairement par la  préparation de ces derniers, afin qu`ils soient disposés à s’ouvrir à de nouveaux savoirs. Il s’agira pour l’entreprise, de stimuler la curiosité de ses  collaborateurs en les formant au savoir-apprendre et au savoir-chercher. Cette approche rompt naturellement avec la conception classique de la formation qui repose sur du court terme,  en ce sens que la vitesse de l`évolution des métiers dans l’entreprise, rend inopérante une formation non projetée vers le futur. Il faut ainsi susciter chez les salariés l’envie d’apprendre.

Préparez vos salariés  à envisager sereinement  la reconversion

S`il est indéniables que les innovations technologiques vont donner naissance à  de nouveaux métiers, le revers de la médaille de cette nouvelle donne est la disparition  d’autres métiers sous l’effet de la digitalisation. Les salariés doivent alors prendre conscience de cette nouvelle réalité  et se doter des moyens techniques de se convertir à de nouveaux métiers rapidement. Un salarié pourra ainsi changer de métiers plusieurs fois au cours de sa vie professionnelle en découvrant de nouvelles compétences. L’entreprise a tout intérêt à maintenir l’employabilité de ses collaborateurs dans les années à venir, et ainsi se démarquer.

Faciliter les conditions d’accès à la formation pour les salariés 

La formation des collaborateurs est un besoin qui a toujours existé en entreprise, mais elle est des fois négligée ou reléguée par certains employeurs qui sont plus guidés par la recherche d’une plus grande rentabilité. Aujourd’hui, l`évolution s’est dessinée dans le sens  de rendre la formation aux métiers futurs comme une condition d’existence de l`entreprise. Il faut désormais repenser la formation et la rendre plus accessible. L’entreprise va devoir prendre le relais de l’éducation scolaire. La formation ne doit pas être vue comme une contrainte. Elle  doit découler de la propre volonté de l’employeur de préparer ses salariés.

 

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25Sep

Comment devenir un bon négociateur en tant que commercial ?

Pour une entreprise, recruter des commerciaux avec de grandes capacités de négociations est un véritable gage de succès.   La négociation n’est d’ailleurs pas l’apanage de la vente. Elle irrigue tous les aspects de la vie, partant de la vie de couple, à la vie politique,  en passant par les affaires, et même vie de famille. Aujourd’hui, la pléthore d’offres de formations ou de conseils visant à optimiser les chances de succès en négociation, montre toute l’importance de cette dernière, surtout pour les commerciaux chez qui, l’enjeu est énorme. En effet, pour un commercial, réussir sa négociation, c’est réussir à  instaurer une relation de confiance durable avec les clients et partenaires. Ainsi, pour devenir un bon négociateur, il est alors fondamentale, de maîtriser les secrets de la négociation commerciale afin de mieux comprendre comment développer cette compétence.

Un  travail de préparation sérieux est indispensable pour une bonne négociation

La première chose qu’il faut savoir,  avant de se lancer dans une opération de négociation, en tant que  commercial, c’est que celle-ci nécessite un travail de préparation sérieux. Pour ce faire, un coaching et un management spécifique de la part des managers commerciaux est indispensable. Pour un  commercial soucieux d’être un as de la négociation, l’enjeu réside surtout dans une bonne préparation qui implique la connaissance du produit, du marché et des besoins des potentiels clients. Cette préparation nécessite un certain esprit d’analyse, de la curiosité intellectuelle et des capacités de raisonnement, notamment lorsque les négociations portent sur des sujets pointus

Savoir cultiver et développer son intelligence émotionnelle

Faisant partie des compétences de type soft skills, l’intelligence émotionnelle est un atout majeur dans le cadre de  la négociation. L’intelligence émotionnelle est liée à la maîtrise de soi et de ses émotions en vue de mener des négociations dans de meilleures conditions. Cette qualité est encore plus utile lorsque le commercial rencontre des difficultés à convaincre son prospect.  La confiance en soi, ainsi que l’empathie, présentent des atouts non négligeables dans ces situations. Ceux qui négocient le mieux sont souvent ceux sont dotées d`une plus grande intelligence émotionnelle. Celle-ci peut être améliorée, notamment via des formations et des conseils spécifiques.  Par ailleurs, la  détermination et la volonté de persuasion sont  des qualités importantes pour   les facilitateurs. Tout de même,  cela ne signifie pas que les commerciaux qui n’auraient pas ces traits seraient de mauvais négociateurs. Il est toujours possible  de pallier à ses propres faiblesses en élaborant des tactiques personnalisées.

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17Sep

Comment réussir à expliquer honnêtement un trou dans son CV en entretien ?

Il n’est pas rare, qu’au cours d’un entretien professionnel, qu’un recruteur détecte  sur le CV d’un candidat, ce qu’on appelle communément un trou dans le parcours professionnel de ce dernier. Loin d’une simple hypothèse d’école, cette situation embarrassante qui s’apparente, à tort ou à raison, à  de l’incohérence professionnelle, arrive très souvent. Le problème se pose d’autant plus qu’une majorité de salariés est confrontée à cette situation au moins une fois dans sa vie. Ce trou peut- être de plusieurs natures. Il peut s’agir par, exemple, d’un congé de maternité encore appelé projet de vie.  Il peut s’agir aussi d’un projet personnel comme la création d’une entreprise, par exemple. Ce trou peut enfin être la conséquence d’une rupture consentie de son contrat de travail comme la prise d’une année sabbatique. Quoi qu’il en soit, quelle que soit la forme qu’elle peut prendre, un trou est toujours une situation à expliquer de manière cohérente sauf à risquer de passer à côté de son entretien d’embauche. Mais, comment s’y prendre exactement sans commettre d’impair ?   C’est à cette question que nous donnerons des éléments de réponse dans les lignes qui suivent.  

Justifier un trou sur son CV par un projet cohérent 

De prime abord, l’une des techniques les plus intelligentes pour justifier un trou dans son CV,  est d’expliquer celui-ci par un projet pertinent, afin qu’il n’apparaisse pas comme une incohérence par rapport à la suite logique de votre parcours ou de vos expériences professionnelles. Cela est d’une importance capitale car, soyez certains que le recruteur ne sera pas indifférent au contenu que vous donnerez au trou qu’il trouvera sur votre CV.  Il s’agit naturellement d’un indice déterminant sur le profil de son futur collaborateur.

Eviter absolument de mentir pour expliquer un trou dans votre CV

Fasse au désir de réussir leur entretien d’embauche,  malgré l’existence d’un trou sur leurs CV, grande est la tentation, pour certaines personnes, de faire un recours systématique au mensonge. Cette attitude qui consiste à justifier  déloyalement ses période d’inactivité ou à truquer les dates de ses périodes d’emploi, peut se révéler très contre productive dans la mesure où si elle est découverte, le candidat perd  toute chance de réussir son entretien d’embauche. C’est la raison pour laquelle, il est important de tenir un discours franc quand vous tentez de donner une explication d’un trou dans votre CV.  Par ailleurs, quelle que soit le motif d’interruption de votre carrière, évitez de vous épancher sur votre vie personnelle. C’est vraiment une règle d’or !

User de votre  lettre de motivation pour anticiper sur les justifications

Contrairement aux idées reçues, un trou dans un CV ne présage pas forcément  l’échec de votre entretien d’embauche. Votre lettre de motivation peut jouer un grand rôle en vous permettant  d’anticiper sur les probables questions auxquelles vous serez confrontés. Celle-ci peut être un bon moyen de dissiper l’inquiétude de votre recruteur. En tout état de cause, faites preuve d’honnêteté,    en toute circonstance, et adoptez une communication convaincante. Faites savoir à votre interlocuteur que vos engagements pendant vos périodes d’inactivité ne relèvent pas de l’incohérence, mais plutôt d’un  sens pointu de l’initiative et de la détermination. Cette approche pourrait vous faire gagner des points en convainquant votre employeur que vous êtes le candidat qu’il cherche… Vous réussirez ainsi un coup de maître en   transformant votre obstacle en avantage

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11Sep

Bien-être au travail. Où en sommes-nous en Afrique?

Depuis la vague de suicides de salariés en 2007 qui avait défrayé la chronique en France,  la qualité de vie au travail n’est plus un sujet anecdotique pour les états-majors. On en parlait peu, mais ces drames ont éclairé d’une vive lumière  la place du bien-être au travail en tant que facteur clé de motivation du travailleur. C’est, en effet, un secret de polichinelle, que rien d’extraordinaire ne peut être réalisé, quand le salarié évolue dans un cadre professionnel qui sape sa morale et le plonge dans un stress permettant. Certaines entreprises ont d’ailleurs bien compris cela. C’est la raison pour laquelle, des mécanismes sont mis  en place par les entreprises afin de favoriser le bien-être de leurs salariés. Celles africaines ne sont pas en reste. Cependant, force est de constater, pour s’en désoler que, la partie immergée de l’iceberg n’en demeure pas importante. La prise en compte de ce paramètre, au sein de nombreuses entreprises africaines, reste encore ineffective.

Un regain d’intérêt de la notion de bien-être au travail   pour l’OMS

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), consciente des enjeux du bien-être au travail en a donné une définition officielle.  Celle-ci le définit comme  » Un état d’esprit caractérisé par une harmonie satisfaisante entre d’un côté les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur et de l’autre les contraintes et les possibilités du milieu de travail « . En des termes plus prosaïques,  Le  » bien-être au travail  » renvoie à l’ensemble des facteurs plus ou moins identifiables susceptibles d’influer sur la qualité de vie des employés sur le lieu de travail. Il en est ainsi de la sécurité et l’hygiène des locaux, de la protection de la santé des salariés, de  l’impact physique ou psychosocial des tâches effectuées, de l’ergonomie de l’espace de travail, etc. Selon David Mahé, administrateur de Syntec Conseil et président du cabinet conseil Stimulus, qui publie un observatoire du stress au travail, « il existe deux types de motivation, celle qui donne du sens à ce que l’on fait et celle qui est liée au devoir. L’engagement relève du sens et du plaisir ».  Malgré tout, en Afrique, de nombreuses entreprises peinent à s’imprégner de cette réalité. 

Une prise en compte théorique du bien-être au travail dans de nombreuses entreprises africaines

En Afrique, sur le plan formel, de nombreuses entreprises communiquent sur l’intérêt qu’elles portent au bien-être de leurs employés. Cependant,  à y regarder de plus près, on constate qu’il y’a un fossé entre la réalité et les déclarations d’intentions. L’évolution est plus de façade. Les entreprises africaines doivent alors  s’engager réellement dans des processus pour l’amélioration des conditions de vie au travail. Il s’agit en d’autres termes, de placer l’Humain au centre des valeurs de l’entreprise au grand bonheur de cette dernière et de ses collaborateurs.

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05Sep

Développement de l’esprit d’équipe dans une entreprise en Afrique

L’union fait la force  a-t-on l’habitude de dire. Cet adage étend ses tentacules au sein des relations professionnelles où une  coopération intelligente entre les membres d’une équipe demeure un facteur clé de la réussite de tout projet,  de quelle nature qu’il soit. Une interaction solidaire entre les travailleurs est à la base d’une meilleure performance et d’une bonne ambiance au sein de l’entreprise.  Malheureusement, tous les managers n’ont pas la chance de travailler avec une équipe soudée, capable de coopérer en toute symbiose.

Les freins au travail d’équipe en entreprise 

Selon une étude de Harris Interactive/Apec paru sur Capital, les personnes affirmant ne pas aimer travailler en équipe  représentent 22% des salariés. Les différences de personnalités, la méconnaissance des capacités des autres et la croyance que le fait de ne pas partager une information donne un avantage, seraient  les principaux obstacles qui empêchent la bonne collaboration entre salariés. Pour autant, ce n’est pas une raison, pour un manager, de rester passif face à une équipe qui n’intègre pas l’esprit de travail en coopération au sein de ses valeurs. Il y’a bien des solutions pour impulser une bonne coopération entre les membres d’une entreprise.

Montrez l’exemple par votre attitude

 Pour encourager l’esprit d’équipe au sein de votre entreprise, en tant que manager, vous devez servir d’exemple.  Vous devez faire en sorte de créer des liens directs avec vos salariés afin de favoriser une bonne communication au sein de l’entreprise. Créer un contact direct avec vos collaborateurs suppose, en tant manager,  que vous ayez un esprit d’ouverture qui peut être vraiment contagieux. Vous pouvez, par exemple, faciliter l’accès à votre bureau en laissant la porte ouverte afin de favoriser la conversation et de montrer que vous êtes accessible et à l’écoute. Évitez de vous mettre à l’écart de vos salariés. Soyez visible en  circulant, par exemple, dans les couloirs. Vous devez également inscrire dans votre agenda une réception périodique de vos équipes afin de leur permettre de partager avec vous leur ressenti ou leurs inquiétudes. Cette approche vous permettra de montrer à vos salariés les retombées positives de la transmission d’informations.

Mettez en place des outils de partage

Il ne suffit pas de parler à  vos collaborateurs de votre intérêt pour le travail d’équipe pour réussir une bonne collaboration entre eux. Il faut, bien évidemment, investir dans les moyens  technologiques qui facilitent le partage entre les salariés. Il est alors impératif de mettre en place des outils et des espaces de travail collaboratif. Cela permettra à un travailleur d’exposer immédiatement ses difficultés,   afin de bénéficier de l’aide de tous les autres. 

Les outils de partage permettent également  à un membre de l’équipe de partager avec les autres,  un document qu’il a réalisé. Ces derniers pourront ainsi  lui donner leurs avis et que des critiques constructives pour plus de performances.  De ce fait, un réel travail en collaboration avec chaque membre va pouvoir se mettre en place. 

Enfin, si vous voulez doper l’esprit d’équipe chez vos collaborateurs,  choisissez un système de notation collectif et non individuel. Cela est d’autant plus pertinent que la note personnelle n’encourage pas beaucoup le travail collectif.  Ainsi, en mettant en place des critères collectifs, l’esprit d’équipe sera fortement encouragé.  

 Quoi qu’il en soit, vous devez avoir à l’esprit que le développement d’un esprit d’équipe au sein d’une entreprise,  n’est pas une tâche facile et se réalise au quotidien. Il s’agit alors d’un travail de longue haleine.

 

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03Sep

Comment bien préparer la négociation salariale

La place du salaire  au sein des relations de travail  ne doit pas être un sujet tabou. Tous les salariés  sont, à un moment donné de leur vie professionnelle, obligés d’aborder la question,  quelquefois embarrassante, à savoir, comment bien négocier son salaire. Il s’agit alors d’une étape incontournable. Négocier son salaire avec son employeur oui,  Mais comment? Il s’agira, à travers cette interrogation, de mettre en lumière, les techniques permettant d’aborder avec succès, cet exercice qui  n’est pas de tout repos.

 

  • Soyez réaliste

 

Une augmentation de salaire est toujours un effort de plus pour l’employeur. Ainsi, si vous voulez demander une renégociation de votre salaire, en tant qu’employé, assurez-vous que le sacrifice que vous demandez à votre employeur est réaliste.   Si vous demandez une augmentation exagérée à votre employeur, vos chances de réussite sont moindres. La bonne précaution est d’essayer de vous faire une idée exacte des salaires habituellement perçus par ceux qui occupent le même poste que vous.  Ayez aussi à l’esprit, que quand vous allez vers une négociation de salaire, que le manque d’ouverture et de souplesse peuvent plomber la discussion. Ne tentez pas d’imposer vos conditions. Acceptez, si besoin, de faire des concessions. 

 

 

  • Choisir son moment

 

L’issue d’une demande de négociation de salaire dépend aussi du moment choisi. Ne vous précipitez pas. Guettez le moment opportun pour vous lancer.  A l’évidence, il faut se garder de demander une négociation de salaire quand votre supérieur est débordé et sur les nerfs. N’omettez pas aussi de vous renseigner  sur la santé financière de votre entreprise. Si elle n’est pas bonne ou si elle connaît de gros problèmes, une demande d’augmentation est, à priori, inopportune. En tout état de cause,  il n’existe pas une formule magique pour réussir à bien négocier son salaire, le contexte, l’état d’esprit de votre employeur et la situation économique de votre entreprise sont des paramètres à prendre en compte.

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20Fév

Recruter en Afrique ? 4 conseils de rédaction pour trouver les meilleures candidatures pour vos offres d’emploi

Vous avez sûrement déjà reçu pleins de CV qui n’ont rien à voir avec le poste que vous offrez. Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul dans ce cas. Pour éviter ce genre de situation et vous faciliter les choses, il vous faudra indiquer clairement dans l’annonce, ce que le poste requiert. Sachez qu’une bonne description est essentielle dans l’acquisition de bonnes candidatures.