27Mai

3 conseils clés pour anticiper vos recrutements en période de crise

La pandémie de COVID-19 a bouleversée les plans des entreprises, tous secteurs confondus. Ces dernières ont dû s’adapter à ce changement brutal et réorganiser leur stratégie,  dont les recrutements. Cependant, afin de ne pas se trouver totalement submergé après la crise sanitaire, il est essentiel d’adapter sa stratégie de talent acquisition en prévision de l’après. Voici quelques conseils utiles afin d’anticiper au mieux vos recrutements.

 

1. Ne vous laissez pas surprendre par l’urgence

C’est le moment de profiter de cette activité ralentie pour prendre de l’avance. Les recherches pour trouver de bons profils peuvent parfois s’avérer longues; et lorsque la mission est urgente, le stress et la pression des délais ne favorisent pas le recrutement du candidat idéal. Évitez les publications intensives de dernière minute et les entretiens à la hâte Préférez plutôt une recherche continue en vous constituant un vivier de nouveaux talents potentiels qui viendront renforcer vos équipes. 

Conseil : Préférez la sérénité et l’efficacité en anticipant vos prochains besoins en recrutement.

 

 

2. Avoir un stock de candidats et de compétences

Vous constituer une solide base de données de talentueux candidats est indispensable. N’attendez surtout pas le départ d’un (e) collaborateur(trice) avant d’entamer le processus de recherche, mais essayez plutôt de vous rendre visible aux yeux des candidats en recherche active.

N’hésitez pas aussi à faire le point sur les compétences de votre entreprise dans un dossier  »cartioeefe » , et à transformer les talents que vous avez à disposition en compétences. Il faut recruter des pépites, les tailler, les anciens afin qu’elles puissent exprimer tout leur potentiel et leur savoir-faire. C’est un investissement rentable que vous ferez.

Conseil : faites de la recherche de profils une quotidienne afin de toujours avoir d’éventuelles activités candidats à portée de mains.

 

3. Développer sa marque employeur

C’est sûrement l’un des aspects que les entreprises négligent le plus, alors qu’il est très important. En effet, les employeurs ont tout intérêt à fédérer les futures équipes Pour cela, la vision, les objectifs et la culture de l’entreprise doivent être sus et partagés de tous. Les candidats sont plus enclins à se sentir engagés envers les entreprises qui leur font comprendre à quel point leur travail est important et participent à un plus grand but. 

Conseil : N’hésitez pas à vous rendre visibles à travers des conférences ou des webinaires et à vous positionner en tant qu’expert.

18Mai

« Blue monday » : comment gérer la fatigue du lundi ?

Faire la grasse matinée le samedi ou le dimanche matin fait toujours plaisir… Cependant, après les week-ends, il est toujours difficile de reprendre son job. Le premier jour de la semaine est de toute évidence rarement le meilleur. De nombreuses personnes ont du mal à trouver leur rythme de travail les lundis matin. Elles passent ainsi  plus de temps à la machine à café qu’à leur  bureau. Si cela vous arrive, sachez que vous souffrez probablement de ce qu’on appelle  le “blues du lundi” ou le «Blue Monday». Il s’agit d’un phénomène très courant. Si cela vous arrive, voici 4 remèdes pour vous en débarrasser.

Optimisez votre week-end…

Si vous n’êtes pas en forme le lundi matin, c’est certainement parce que vous n’avez pas su mettre à profit votre repos dominical. Gardez alors en tête que  pour avoir une bonne semaine  au bureau, le travail se fait en amont. Le début de semaine sera inévitablement moins chaotique si vous vous êtes bien reposé le weekend.  «Il est indispensable de faire une réelle coupure durant son week-end pour être efficace le lundi. Pour ce faire, le meilleur moyen est de ne surtout pas penser au travail. On évite ainsi de consulter ses mails par exemple», indique Boris Charpentier, psychologue et coach. En clair, du repos et de la détente, grâce à des activités qui prennent soin de notre bien-être.

Planifiez un moment de détente le lundi soir …

Si vous n’y prenez garde, le  “blues du lundi ”peut se prolonger tout au long de la semaine et gâcher votre travail. Pour y remédier, il est conseillé de  planifier un moment de détente le lundi soir, comme un verre entre amis ou une séance cinéma, par exemple. Cela remonte le moral et fait plaisir d’attendre quelque chose avec impatience. Vous pourrez ainsi attaquer avec bonne humeur le matin en sachant qu’une agréable soirée vous attend. Vous aborderez sereinement les tâches du lundi. En outre, cela vous permettra de recharger les batteries, avant de passer une bonne nuit de sommeil pour vous sentir bien le reste de la semaine.

 

Planifiez vos tâches du lundi à l’avance…

Beaucoup de raisons peuvent justifier le  “blues du lundi ”. Il peut s’agir d’une nostalgie du week-end agréable que vous avez  passé, d’un sentiment d’injustice, ou dans certains cas extrêmes, c’est un signal d’alarme. Cela traduit une souffrance et peut annoncer une dépression ou un burn-out», précise Boris Charpentier, psychologue et coach. La manifestation la plus claire du “blues du lundi” est la perte de concentration. Si votre agenda n’est pas clairement planifié, votre situation va davantage s’empirer.  Ce n’est d’ailleurs même pas la peine d’essayer, votre journée sera complément gâchée. Pensez alors à votre gestion du temps et veillez à ce que vos tâches du lundi soient bien planifiées à l’avance. Sinon, vous allez perdre un temps précieux, ce qui nuira encore davantage à votre concentration. Ce planning vous donnera une nouvelle énergie dès le début de la semaine. Sans oublier que cela «permet de garder le contrôle sur le quotidien et de rythmer sa semaine», ajoute le psychologue.

 

Faites une pause de temps en temps…

Pour éviter les chutes d’énergie, il est crucial de faire des pauses. Cela ne vaut pas seulement pour le lundi. Changez-vous les idées et libérez-vous l’esprit, loin de votre écran. Une bonne bouffée d’air frais peut faire des miracles. Si vous aimez le café, une bonne tasse le lundi matin est le remontant idéal. Mais n’en abusez pas car un surplus de caféine nuit à la santé.

 

17Mai

Trouvez le talent qu’il vous faut

Selon le PWC Global Talent Survey ,90% des CEOs africains ont du mal à recruter rencontrant 3 défis majeurs:

1- Qualité: Des profils reçus qui ne répondent pas à vos attentes

2- Temps: Un processus de qualification et de sélection des CV reçus qui nécessitent temps et expertise

3- Coût : Des offres externes de type chasse de tête coûteuses

En tant qu’acteur majeur de l’emploi cadre en Afrique, nous voulons contribuer de manière décisive au développement des économies africaines en connectant entreprises et talents pour une croissance africaine accélérée.

C’est ainsi que nous avons lancé début 2020 notre offre hybride alliant Technologie et accompagnement humain:

1- Une plateforme innovante et agile qui combine:

  • Intelligence artificielle pour une présélection des profils les plus pertinents pour vous

  • Une base panafricaine de profils qualifiés correspondant à vos besoins et présentant l’expérience, la personnalité et la motivation des candidats

  • Des profils certifiés par nos soins ou via nos partenaires

2-Un consultant dédié, pour un accompagnement continu et quotidien qui vous accompagnera sur l’ensemble des tâches en lien avec vos besoins en recrutement

  • Tri de CVs

  • Création de shortlists pour des postes précis

  • Participation à des entretiens en ligne

  • Contrôle de références(diplômes, expériences, etc.)

Notre vivier de talents entièrement à votre disposition

Talents africains basés en Afrique: L’Afrique est notre domaine de prédilection. Nous connaissons les réalités des marchés et vous conseillons pas à pas sur les meilleures pratiques (salariales, positionnement et marque employeur, etc.)

Talents africains de la Diaspora: Nous avons développé une expertise unique dans l’attraction de talents de la Diaspora africaine et sommes identifiés comme La Plateforme de référence pour ceux qui souhaitent saisir des opportunités en Afrique.

Talents Internationaux/Globalistas: Nous savons également identifier tous les autres talents internationaux intéressés par l’Afrique :expatriés “new age”, candidats biculturels ou binationaux, etc.

Une base représentative des besoins du marché

  • 30% de profils Juniors professionnels (<2 ans d’expérience)

  • 50% de profils Mid-level & Experts (entre 3 et 10 ans d’expérience)

  • 20% de profils C-level (> 10 ans d’expérience)

 

Une approche simple et adaptée à vos besoins

1- Postez vos offres

Postez autant d’offres d’emplois que vous le souhaitez afin de recevoir les candidatures pertinentes de cadres locaux, régionaux ou de la Diaspora.

2- Nous filtrons et  pré-sélectionnons

Notre puissant algorithme de matching nous permet d’identifier des profils adaptés à vos besoins que nous analysons et pré sélectionnons pour vous

3- Vous hésitez  sur le choix d’un candidat?

Votre consultant dédié vous assistera sur le tri des candidats, la gestion des entretiens, les contrôles de références ou tout autre besoin qui pourrait vous aider à prendre la bonne décision.

 

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11Mai

Comment être plus efficace en télétravail ?

Dans le contexte de la Pandémie COVID-19, le télétravail est devenu incontournable. Cette situation inédite place de nombreuses équipes face à une organisation du travail nouvelle. Si le télétravail a de nombreux avantages, il nécessite cependant une certaine organisation. Voici quelques conseils pour travailler mieux et plus efficacement.

1. Listez vos tâches et définissez vos priorités

Plus que jamais, la question de l’équilibre entre vie privée et vie personnelle est essentielle. Votre plus gros challenge : trouver vous-même le cadre qui vous convient le mieux pour atteindre vos objectifs. 

Commencez par lister tous les projets que vous devez réaliser et sélectionnez les 3 projets les plus importants. Ce sera votre top list, le reste est secondaire. Pour chaque projet, listez 3 tâches principales par semaine, en lien avec cet objectif principal. Lorsque vous accomplissez une tâche, vous ne devez penser qu’à ça. On met le téléphone de côté en activant le mode silencieux. 

Conseil : Déléguez les tâches qui peuvent l’être et reportez à plus tard ce qui ne doit pas obligatoirement fait aujourd’hui. Les outils Google Tasks ou Trello peuvent vous être utile pour créer vos to-do lists.

2. Pitié, n’ouvrez pas vos mails dès le matin !

Hier, vous avez dressé une belle to-do list, vous vous installez sereinement à votre bureau, vous ouvrez votre messagerie, et là ! 50 nouveaux mails reçus depuis hier, 80% avec écrit “URGENT !!!!” dans l’objet. Résultat : oubliée la to-do list, vous passez votre journée à répondre aux mails.

Ne laissez pas vos mails guider votre journée au détriment de vos objectifs. Commencez la journée par vos tâches prioritaires et réservez un moment (ou deux) dans la journée pour traiter vos mails. Testez ce qui convient le mieux par rapport à vos responsabilités. 

L’objectif que vous devez viser est une messagerie vide (“Quoi ?!”) Et oui, votre boîte mail n’est pas une to-do list. Lorsque vous recevez un nouvel email, traitez-le dans la journée, archivez-le ou ajoutez-le à votre liste de tâches. 

Conseil : Pour être plus rapide, limitez vous à 5 phrases de réponses dans vos mails. 

3. Faites une introspection en toute sincérité

Certaines organisations fonctionnent chez certains et pas chez d’autres. Faites le point de ce qui marche et de ce qui ne marche pas. Vous êtes plutôt du matin ? Utilisez ce moment pour les tâches qui vous demanderont beaucoup de concentration et laissez les autres pour l’après-midi.

N’oubliez pas de vous faire plaisir avec ce qui vous motive. Une séance de médiation ? Une partie de Fifa ? Un footing ? Identifiez vos leviers de motivation, ce qui vous donne de l’énergie et réservez leur un temps dans votre agenda.

Et surtout, surtout, ne faites pas sauter vos temps de pause. C’est ce temps de pause qui vous permettra d’être plus productif le reste de la journée. Durant ces moments, on se tient le plus possible éloigné(e) du travail (quand vous accomplissez une tâche, vous ne devez penser qu’à ça. Vous vous souvenez ?).

Enfin, soyez bienveillant(e) et indulgent(e) envers vous-mêmes. Vous n’avez pas réussi à terminer vos 3 tâches prioritaires ? Identifiez pourquoi et pensez à demain !

 

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06Mai

Comment rattraper une gaffe au boulot ?

Quoi que  compétent que vous puissiez être, il n’est pas exclu que vous commettiez une gaffe dans le cadre de votre travail. Celle-ci peut parfois virer au cauchemar si la situation est mal gérée. Vous pouvez, par exemple vous tromper sur la destination d’une commande,  sur le destinataire d’un mail confidentiel, bref vous n’avez pas tout simplement  fait ce qui vous était demandé…Si tout le monde commet des bourdes au bureau, les façons de les  gérer et de rattraper ses erreurs sont différentes. Voici quelques conseils pour limiter les dégâts..

 

Gardez votre sang froid…

Lorsque vous commettez une bourde dans le cadre de votre travail, vous n’avez pas besoin de paniquer,  car quelles que soient les conséquences qui peuvent en découler,  paniquer ne résoudra le problème. Dites-vous, avant tout que l’erreur est humaine et la panique ne ferait qu’empirer la situation. Il est certes tout naturel de se sentir mal à l’aise et d’être stressé à l’idée d’avouer une bourde. Mais au plus vite vous agirez, au mieux cela se passera. Rien ne sert de faire l’autruche. Quand la situation est sue très vite par votre manager, ce dernier aura plus de temps et de chance de s’impliquer et de d’amoindrir les dégâts. Il ne sert alors à rien de nier. Si votre erreur peut avoir des répercussions, reconnaissez-la immédiatement. Cela évitera qu’elle ne prenne encore plus d’ampleur et qu’elle ait des conséquences néfastes.  Par contre,  s’il s’agit d’une petite bourde que vous pouvez rattraper seul, pas la peine d’en parler.

Ne remettez pas la faute sur les autres…

Rien ne peut autant énerver un patron qu’un employé qui fuit ses responsabilités. C’est la raison pour laquelle, dès l’instant que vous avez pris conscience d’avoir fait une gaffe, assumez-en l’entière responsivité et faites votre mea culpa.  Montrer à votre manager que vous avez conscience de votre erreur et que cela vous a servi de leçon. Il ne faut surtout pas  accuser les autres. Si par exemple, vous avez mal compris une consigne, admettez-le. Reconnaître  ses fautes,  c’est faire preuve de maturité.

 

Proposez des solutions pour réparer les dégâts…

Il ne s’agira pas pour vous de vous contenter seulement de faire votre mea culpa. Vous devez aussi vous impliquer dans la recherche de solution aux problèmes que vous avez-vous-même crée.  Proposez des solutions pour réparer les dégâts fera comprendre à votre manager que vous êtes sincèrement désolé.   N’hésitez pas à demander de l’aide à vos collègues. Cela prouvera que vous désirez réellement résoudre le problème.  Vous devez ensuite apprendre de vos erreurs.  Prenez la peine d’expliquer ce qui s’est passé, ce que vous en avez retenu et comment vous allez vous en servir pour vous améliorer dans le futur. Bref, communiquez ! Cela jouera en votre faveur

 

Déculpabilisez…

Si vous continuez à vous sentir coupable, cela pourrait briser votre confiance en vous,  et vous faire douter de vous.  Sachez alors  que, bien souvent, les travailleurs les plus talentueux commettent des erreurs et cela ne remet pas en question leur compétence. De plus, vous devez savoir que dans bien des cas,  vous êtes un maillon d’une chaîne d’événements. « Une erreur n’est jamais la seule faute de la personne qui l’a faite, l’organisation et les processus mis en place dans l’entreprise sont aussi en cause.  D’où l’importance pour les managers de réfléchir avec le fautif à l’enchaînement des faits ayant débouché sur l’erreur»,  soutient le spécialiste  Jean-François Thiriet. En clair, arrêtez donc de vous culpabiliser et avancer sereinement.  

22Avr

4 astuces pour que votre lettre de motivation soit lue

Face au flot de lettres de motivation qu’ils reçoivent quotidiennement,  les recruteurs sont débordés. C’est la raison pour laquelle,  si votre lettre de motivation ne présente pas une certaine originalité, il y’a peu de chance qu’elle soit lue.  Vous devez alors vous démarquer du lot  avec une lettre / un mail de motivation béton ! En général, nombre de ces lettres ou mails sont fades et ennuyeux. Pour en finir une bonne fois pour toute avec ces lettres de motivations standards sans saveur,  nous vous proposons quelques règles simples d’écriture pour donner du tonus à votre courrier.

 

 

  • Soyez direct

 

De prime abord, gardez en tête que la première phrase de votre lettre de motivation est primordiale. Vous devez alors éviter de tourner autour du pot. Il faut rentrer rapidement dans le vif du sujet. Beaucoup pensent qu’il faut trois ou quatre lignes pour vanter les mérites de l’entreprise convoitée,  avant d’attaquer. Faux ! L’accroche de votre lettre de motivation doit être percutante. Si elle ne l’est pas, le recruteur se lassera de vous lire dès le début.

 

 

  •  Soignez le style de votre lettre

 

Nous avons, à l’entame de notre propos, précisé que les recruteurs n’ont pas beaucoup de temps. En conséquence,  vous  devez impérativement éviter  dans votre lettre de motivation, des phrases alambiquées. Optez plutôt  pour un style fluide,  donc beaucoup plus lisible pour le recruteur.  Votre lettre dégagera ainsi une énergie séduisante. La rédaction d’une lettre de motivation ne requiert pas un style lourd et complexe. Si votre style n’est pas clair et simple,  votre lettre sera tout bonnement classée au profit d’autres.

 

 

  • La lettre de motivation n’est pas un CV …

 

Il est courant de voir des candidats à court d’idée, répéter dans leur lettre de motivation, les étapes de leur CV. C’est tout sauf une bonne idée, car la lettre de motivation doit être vue comme quelque chose de plus qui va permettre au recruteur de faire le choix entre deux candidatures, en d’autres mots de les départager. Un bon CV est certes une bonne chose, mais un bon CV avec une bonne lettre  qui l’accompagne, c’est encore mieux. C’est dans la lettre que vous pouvez montrer que vous êtes aussi quelqu’un qui a une vision de son métier. Alors dites-le ! Parlez compétences techniques, polyvalence, capacité à encadrer, sens de l’organisation, méthode, efficacité..

 

 

  • Optez pour une structure claire …

 

 

La structure de votre lettre de motivation est d’une grande importance.  Si vous voulez rendre percutante votre lettre, soignez-la. Si elle est bien faite, vous aurez de grandes chances d’inspirer une bonne impression à votre recruteur qui verra en vous une personne cohérente.  Pour une structure simple et claire, vous pouvez  opter pour une construction traditionnelle, avec un paragraphe pour chacune des phases. Celle-ci s’articulera autour des points suivants :

– Ouverture : où avez-vous trouvé l’offre d’emploi ?

 -Motivation : pourquoi réagissez-vous à  l’offre d’emploi ?

-Argumentation : pourquoi êtes-vous le candidat idéal ?

-Conclusion : faites références à  un entretien futur.

08Avr

6 conseils pour trouver un emploi sans diplôme en Afrique

Trouver un emploi en Afrique n’est pas une chose aisée  pour les diplômés, à fortiori pour les non diplômés. Quand on a quitté les bancs de l’école avant d’avoir obtenu un diplôme, il peut être très difficile d’intéresser les recruteurs. Pourtant, aussi complexe que cela puisse paraître de trouver un job pour un non diplômé, tout n’est pas perdu… Les secteurs qui recrutent les personnes sans qualifications sont nombreux et les aides fournies sont diverses. Nous vous livrons, ici, quelques conseils pour trouver un emploi sans diplôme. 

 

  1. S’adresser aux services dédiés … 

Lorsque vous recherchez un job en tant que non diplômé, pensez à vous adresser à certains services qui sont spécialement dédiés aux non diplômés.   Ces services vous aideront dans la recherche d’un travail fait pour vous. Ils pourront aussi vous guider vers des formations professionnelles. Il en existe de nombreuses variétés en fonction des pays concernés.  

 

  1. Visez les secteurs qui recrutent …

Contrairement à ce que vous pensez,  la non- obtention d’un diplôme n’est pas forcément un obstacle pour trouver un emploi dans la mesure où  beaucoup de secteurs ne requièrent pas de qualifications particulières. Il en est ainsi, par exemple, de certains métiers du transport, tels que les livreurs ou les chauffeurs de taxi. C’est aussi le cas du réseau ferroviaire qui engage également des non-diplômés. Les secteurs de la restauration, de la vente, de la grande distribution ou de la propreté figurent aussi sur la liste des secteurs ouverts aux non diplômés. Enfin, dans le secteur public, certains services communaux n’exigent pas toujours des compétences spécifiques, tout comme l’armée

 

  1. Pensez à faire un stage …

A défaut d’un diplôme, un stage est une excellente option qui peut faciliter votre insertion. Celui-ci vous  permettra d’acquérir de l’expérience dans le domaine visé et d’enrichir votre CV. Ne vous souciez pas trop d’avoir un stage pas du tout ou peu rémunéré. Ce qui importe c’est d’en faire afin de montrer aux recruteurs votre motivation qui est  facteur clé dans la recherche d’emploi. Notez que toute expérience est bonne à prendre.

 

  1. Mettez vos compétences en avant 

Autant le diplôme est une présomption de connaissance et compétence, autant ne pas en avoir ne signifie pas être une personne sans  compétences. Vous êtes bon en respect des délais ou vous excellez dans le travail en équipe ? N’hésitez pas à le souligner dans votre CV et lettre de motivation.  Cela pourrait attirer l’attention de certains recruteurs surtout ceux-là qui misent davantage sur le soft skill.

 

  1. Misez sur votre réseau

Pour trouver un emploi sans diplôme, vous devez multiplier les canaux de recherche afin d’augmenter vos chances.   Vos amis ou les amis de vos amis peuvent aussi vous aider par bouche-à-oreille ou via les réseaux sociaux. Mettez toutes les chances de votre côté en préparant un CV percutant et un profil sur LinkedIn par exemple.

 

  1. Soyez patient 

Il est enfin important de savoir que la recherche d’emploi est parfois longue et fastidieuse même pour les titulaires d’un diplôme.   C’est la raison pour laquelle, vous devez rester patient et ne pas vous décourager dès les premiers mois de recherche. Apprenez à rouler votre bosse car,  gravir les échelons demande du temps

03Avr

Afrique : Quand l’économie bleue crée une niche d’emploi

Contrairement aux stéréotypes entretenues ça et là et à la vision déformée des afro-pessimistes, l’Afrique regorge de potentiels. Ce n’est d’ailleurs pas, par hasard, si de plus en plus d’investisseurs jettent leur évolution sur le continent noir pour y faire des affaires. Justement, il faut compter l’économie bleue parmi ces secteurs qui offrent des grands potentiels en termes d’investissement et par ricochet d’emploi. L’économie bleue crée ainsi une niche d’emploi en Afrique et participe de manière efficace à la réduction du taux de chômage sur le continent noir. Ainsi, à en croire les chiffres des experts, environ 12 millions de personnes travaillent dans le secteur de la pêche. Ce dernier assure la sécurité alimentaire de plus de 200 millions d’Africains et une valeur ajoutée d’au moins de 24 milliards $US, soit 1,26% du PIB de l’ensemble des pays africains. L’économie bleue en Afrique, selon les experts, joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l ‘eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l’eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». joue un rôle primordial dans la promotion d’une croissance économique durable fondée sur les ressources issues des océans, des cours d’eau et des lacs, et sur d’autres ressources liées à l’eau. Cela est d’autant plus vrai que sur les 54 États du continent, 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ». 38 sont des pays côtiers tandis que plus de 90 % des exportations et importations africaines passent par la mer. Fort de ce constat, certains observateurs attentifs de l’économie bleue comme la « nouvelle frontière du développement de l’Afrique ».

Des millions d’emplois directs…

Le secteur de la pêche en Afrique direct déclenché des millions d’emplois et encore plus d’emplois induits. Ces derniers vont de la transformation, au conditionnement, en passant par la commercialisation des produits, la confection de filets et d’engins, la fourniture de glace, la construction et l’entretien des navires. D’ailleurs, le rôle économique de ce secteur est confirmé par le WorldFish Centre, un institut de recherche indépendant basé en Malaisie, qui renseigne qu’en Ouganda, par exemple, la pêche sur les lacs rapporte plus de 200 millions de dollars par an , ce qui représente 2,2 % du produit intérieur brut national. Ce secteur d’activité emploie 135 000 pêcheurs et 700 000 personnes travaillant dans le secteur du traitement et du commerce de poissons et récupérer des recettes à l’exportation de 87,5 millions de dollars.

Un secteur majoritairement contrôlé par les entreprises étrangères…

S’il y a un constat largement partagé par les observateurs, c’est que l’économie bleue en Afrique, est contrôlée majoritairement par les entreprises étrangères. Corroborant cet état de fait, les statistiques de l’Organisation Mondiale pour l’Agriculture et l’Alimentation (FAO) annonce que, bien que dispose d’un potentiel non négligeable, l’Afrique demeure un producteur relativement modeste de poissons, et ne se classe qu’au quatrième rang mondial avec 4 500 000 tonnes. La continentale se pratiquent principalement dans la région des Grands Lacs d’Afrique, (Ouganda et Tanzanie) et au Nigeria pour les pêcheries fluviales. Ce secteur gagnerait alors à s’ouvrir davantage aux pêcheurs locaux pour que l’économie bleue contribue davantage à réduire la pauvreté en Afrique.

30Mar

Afrique : plus de 3 millions d’emplois attendus d’ici 2025 grâce au secteur du commerce en ligne

Dans un monde où l’économie est, désormais, fortement digitalisée, 1462 milliards d’euros ont été générés par l’e-commerce en 2014 avec en tête la Chine et les États -Unies. L’Afrique n’est pas restée en marge de ce mouvement de digitalisation. Ainsi, dans le continent noir, l’e-commerce a atteint plus de 50 milliard en 2018. Cette activité visant l’achat et la vente de biens et services sur internet, suscite un réel engouement en Afrique, malgré la fracture numérique qui caractérise ce continent. En effet, 26% seulement de la population africaine a accès à internet. L’e-commerce se veut, par ailleurs, un véritable moyen permettant de réduire le chômage en Afrique. C’est du moins ce que révèle une nouvelle étude du Boston Consulting Group. Selon cette dernière, la collaboration entre les secteurs publics et privés en Afrique peut libérer le potentiel du e-commerce afin de stimuler la croissance économique du continent africain et créer jusqu’à 3 millions d’emplois d’ici 2025

 

Selon les conclusions de ce rapport, intitulé « Comment les Marketplaces digitales peuvent propulser l’emploi en Afrique », publié par le Boston Consulting Group (BCG), les Marketplaces digitales comme Jumia, Souq, Thundafund et Travelstart pourraient créer environ 3 millions de nouveaux emplois d’ici 2025 à travers toute l’Afrique. « Ces sites « e-commerce », qui mettent en relation acheteurs et fournisseurs de produits et de services, pourraient également accroître les revenus et favoriser la croissance économique internationale sans pour autant perturber l’activité des entreprises existantes« , précise ce rapport.

 

L’Afrique bénéficiant d’une population très jeune et de l’essor d’une classe moyenne, est un cadre propice où l’e-commerce a de beaux jours devant lui. Toutefois, il reste beaucoup à faire pour donner une véritable impulsion à l’e-commerce en Afrique. L’étude de l’écosystème du commerce en ligne en Afrique permet de se rendre compte que ce secteur a de nombreux défis à relever sur le continent noir. A titre d’exemple, selon le rapport, pour que les Marketplaces digitales atteignent leur plein potentiel en Afrique, les secteurs public et privé doivent travailler de concert pour créer l’environnement numérique approprié dès le départ. Et ce dernier de renseigner qu’en Afrique, environ 58% des nouveaux emplois concerneront le secteur des biens de consommation, 18% les services à la mobilité et 9% le secteur des voyages et de l’hôtellerie.

 

Au titre des obstacles qui peuvent entraver l’expansion de l’e-commerce en Afrique, il faut citer, selon les conclusions du rapport, le déficit d’infrastructures, le manque de clarté réglementaire et l’accès restreint à certains marchés. Pour leur part, les décideurs politiques africains sont préoccupés par des problématiques liées à la sécurité des données personnelles des citoyens et les risques de perturbation possibles dans les secteurs d’activité.

 

Tout compte fait, en dépit de ces obstacles, il est permis d’espérer une évolution du commerce en ligne en Afrique et par, ricochet, la création de nouvelle niches d’emploi dans ce continent qui est devenu la principale destination des investisseurs. Les jeunesses africaines devraient alors saisir cette belle opportunité qu’offre le commerce en ligne pour booster leur chance d’emploi. Pour ce faire, se former aux TIC est un impératif incontournable.

23Mar

Quelle est l’utilité des registres de suivi en Afrique?

Sauf dans certaines hypothèses, la loi oblige tout employeur en Afrique à tenir un registre de personnel qui retrace les informations sur chacun de ses salariés. Qu’il s’agisse d’une grande entreprise, d’une PME ou encore d’un TPE, la règle est la même.  Cependant, force est de constater qu’ au-delà de cette obligation légale, la tenue de ce registre est une manière de faciliter la gestion du personnel

 

Le registre du personnel : une obligation légale

 

Dès l’instant que vous recrutez un nouveau salarié, ou lorsqu’un salarié quitte l’entreprise, vous devez, en tant qu’employeur, pensez à remplir le registre suivi du personnel.  Cette obligation de tenue d’un registre est prévue par la loi qui prévoit également des sanctions sévères pour toutes les entreprises qui s’abstiendront de le faire. L’idée est d’apporter des éléments d’information clairs, précis, mis à jour et consultables sur les mouvements du personnel. La loi prévoit également que la protection des données ou des informations sur les salariés doit se faire dans les meilleures conditions possibles. Ces données doivent également être intégrées dans tous les processus de traitement des salariés.

 

Un outil de suivi aux multiples usages et à long terme

 

Le registre du personnel est un élément incontournable, dans le cadre de la gestion du personnel. Il permet de retracer sans cesse le mouvement du personnel et les moindres changements liés à sa situation juridique. De plus, en cas de contrôle ou de conflits, ce document peut servir d’outil de preuve pour l’entreprise. Il peut être consulté par les inspecteurs du travail et les représentants du personnel comme le comité d’entreprise, les délégués du personnel ou les représentants syndicaux. Quel que soit le logiciel de paie utilisé par l’entreprise, le registre du personnel doit toujours être conservé pendant au moins cinq ans. Ce délai prend effet à partir de la date de départ d’un salarié. Ou, comme le même registre contient des informations concernant plusieurs salariés, le registre aura ainsi une durée d’utilisation prolongée.

 

Quid de la nature du registre du personnel ? 

 

Il faut retenir qu’en la matière, la loi est relativement souple car, elle n’impose, en la pratique, aucune canevas ou de model de registre du personnel. Toutefois, quelques éléments doivent être pris en compte pour permettre un meilleur suivi du personnel : nom, prénom, nationalité, emploi occupé, qualification, date d’embauchage, date de débauchage, les événements postérieurs à l’embauche, autorisation de travail , nature du contrat (CDD, CDI, Contrat d’apprentissage, Contrat saisonnier, Contrat de travail à temps partiel, etc.).

 

Focus sur le cas des stagiaires…

 

S’il les stagiaires n’étaient pas pris en compte dans la tenue du registre du personnel, les choses ont bien changé car, depuis 2014, ces derniers doivent figurer dans le même registre que celui des salariés de l’entreprise. Par contre, les informations concernant les informations doivent être inscrites dans un chapitre à part entière pour éviter les confusions. Le nom du maître de scène, l’établissement d’origine, le département d’accueil sont autant d’informations qu’il faut noter dans le registre. En cas de survie d’un événement au cours du stage, celui-ci doit être mentionné par l’employeur. Pour les travailleurs détachés, l’entreprise d’origine doit aviser l’inspection de travail de l’existence de l’intention de détacher le ou les salariés avant d’y procéder réellement. Aussi, l’entreprise destinataire du ou des salariés détachés doit recevoir une copie de cette déclaration de détachement. Tout comme l’entreprise d’origine, l’entreprise qui accueille le ou les salariés détachés à l’obligation d’inscrire ce(s) dernier(s) dans son propre registre du personnel.