15Oct

Nos récents succès en matière de recrutement

Dans un environnement où la concurrence pour attirer les meilleurs talents est féroce, il est essentiel d’adopter une approche stratégique pour pourvoir des postes-clés. Chez Talent2Africa, nous avons eu le privilège de collaborer avec des entreprises à travers l’Afrique, même dans des régions éloignées et des secteurs très spécialisés, afin de trouver les talents qui leur permettront de réussir.

Nos récents succès :
Voici quelques exemples de postes pour lesquels nous avons récemment trouvé les meilleurs talents :

  • Deux Directeurs Administratifs et Financiers (DAF) dans la fintech au Sénégal. Ces rôles ont permis de structurer la gestion financière d’entreprises locales, favorisant leur développement rapide.
  • Deux Site Managers dans l’énergie, au Gabon et en Tanzanie, pour superviser des projets énergétiques majeurs dans des zones stratégiques.
  • Un Directeur du Contrôle de Gestion dans le maritime en Côte d’Ivoire, pour optimiser les opérations financières d’une entreprise dans la région ouest-africaine.
  • Un Directeur Commercial Afrique dans le big pharma, au Maroc, visant à renforcer la présence de l’entreprise sur le continent et à développer de nouveaux marchés pour ses produits.
  • Un Country Head dans le maritime, au Liberia, pour coordonner les opérations dans un secteur en pleine expansion.
  • Un Directeur de Programme pour un Fonds d’investissement, au Sénégal, afin de piloter des projets de développement économique ambitieux.
  • Un Directeur Commercial Afrique dans l’Edtech, au Maroc, pour accompagner la transformation numérique d’une entreprise du secteur.
  • Un Directeur Général et un Directeur d’Exploitation, au Cameroun, pour des entreprises en forte croissance.
  • Un Responsable Administratif et Financier dans l’environnement, à Djibouti, pour une entreprise engagée dans des projets durables.

Ces recrutements témoignent de notre capacité à identifier et à attirer des talents qualifiés, même dans des environnements complexes ou éloignés. Talent2Africa s’engage à accompagner les entreprises africaines dans leur stratégie de développement en leur apportant des solutions adaptées aux défis du marché.

31Jan

Que répondre à la question sur vos prétentions salariales ?

Très souvent, la question de la prétention salariale est vue comme un sujet très embarrassant lors de l’entretien d’embauche.  Définie comme la rémunération à laquelle un candidat souhaite prétendre pour un poste, la prétention salariale est un aspect très souvent abordé par le recruteur lors d’un entretien d’embauche. Il est alors important, pour le candidat, de s’y préparer préalablement, pour ne pas être pris au dépourvu.  Mais en fin de compte, comment répondre à la question sur vos prétentions salariales ? Nous vous proposons dans cet article les meilleures réponses

Evitez les réponses fermées en donnant un chiffre, suivi d’une question

Les réponses qui peuvent être données face à la question de la prétention salariale sont nombreuses. Tout de même, les recruteurs attendent très souvent, une réponse en salaire brut annuel. Ceci ne doit pas, quand même, vous pousser à vous contenter de répondre en donnant un montant fixe car, le but de toute négociation salariale, c’est d’obtenir le maximum que l’employeur peut vous donner, estime le spécialiste RH Thierry Krief.  Et ce dernier d’ajouter, « si vous donnez un prix fixe, à priori, il n’y a pas d’ouverture à la négociation ». Ainsi, pour ne pas qu’il y est une rupture du dialogue qui est préjudiciable à la négociation, il est conseillé d’éviter des expressions du genre « je veux » ou « je demande ». Préférez plutôt répondre par une phrase du type : « un salaire de 45 000 euros annuels brut me semble légitime, qu’en pensez-vous ? ». Répondre par une autre question ouvre le dialogue.

La formule osée : « le plus possible » …

Une autre réponse qu’on peut servir à un recruteur qui demande vos prétentions salariales est la formule bien osée « le plus possible ». Mais attention, celle-ci ne peut passer sans être mal interprétée par votre interlocuteur que si elle est formulée sur le ton de l’humour. Si vous la prononcer sur un ton très sérieux, elle peut être mal perçue.  En clair, si vous n’avez pas beaucoup sens d’humour, il peut s’agir d’une mauvaise réponse qui est à éviter.

La réponse souple : proposer une fourchette de salaire

Il est possible, face la une question relative à vos prétentions salariales, d’indiquer une fourchette en lieu et place d’un montant fixe. Cette option est une bonne réponse, mais attention à ne pas mal vous y prendre.   Si vous donnez une fourchette, il faut que le salaire bas soit celui que vous voulez et que vous puissiez justifier pourquoi vous demandez plus, sinon, vous perdez en crédibilité. C’est du moins l’avis du spécialiste RH Thierry Krief. Selon ce dernier,

il est fortement déconseillé   de mettre en fourchette basse un salaire sous-évalué, car cela peut vous faire perdre le perdre le poste. On ne se vend pas mieux en baissant ses tarifs », indique-t-il.

 

La réponse à éviter : « combien me proposez-vous ? »

S’il y’a une réponse qui n’est pas à donner, c’est celle consistant à dire au recruteur « combien me proposez-vous ? Cette réponse est contre productive dans la mesure où les recruteurs veulent que les candidats aient une idée de combien ils valent. Il peut quand-même arriver que vous ignorez le salaire appliqué à votre poste.  Dans pareil cas, vous pouvez consulter les barèmes des études de rémunération disponibles sur internet. En tout état de cause, soyez prêt à fournir la preuve de vos prétentions salariales au recruteur en lui montrant, par exemple, votre dernier bulletin de salaire. Pour les profils les plus recherchés, il est possible de demander davantage en s’appuyant sur ses réalisations.

11Sep

Bien-être au travail. Où en sommes-nous en Afrique?

Depuis la vague de suicides de salariés en 2007 qui avait défrayé la chronique en France,  la qualité de vie au travail n’est plus un sujet anecdotique pour les états-majors. On en parlait peu, mais ces drames ont éclairé d’une vive lumière  la place du bien-être au travail en tant que facteur clé de motivation du travailleur. C’est, en effet, un secret de polichinelle, que rien d’extraordinaire ne peut être réalisé, quand le salarié évolue dans un cadre professionnel qui sape sa morale et le plonge dans un stress permettant. Certaines entreprises ont d’ailleurs bien compris cela. C’est la raison pour laquelle, des mécanismes sont mis  en place par les entreprises afin de favoriser le bien-être de leurs salariés. Celles africaines ne sont pas en reste. Cependant, force est de constater, pour s’en désoler que, la partie immergée de l’iceberg n’en demeure pas importante. La prise en compte de ce paramètre, au sein de nombreuses entreprises africaines, reste encore ineffective.

Un regain d’intérêt de la notion de bien-être au travail   pour l’OMS

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), consciente des enjeux du bien-être au travail en a donné une définition officielle.  Celle-ci le définit comme  » Un état d’esprit caractérisé par une harmonie satisfaisante entre d’un côté les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur et de l’autre les contraintes et les possibilités du milieu de travail « . En des termes plus prosaïques,  Le  » bien-être au travail  » renvoie à l’ensemble des facteurs plus ou moins identifiables susceptibles d’influer sur la qualité de vie des employés sur le lieu de travail. Il en est ainsi de la sécurité et l’hygiène des locaux, de la protection de la santé des salariés, de  l’impact physique ou psychosocial des tâches effectuées, de l’ergonomie de l’espace de travail, etc. Selon David Mahé, administrateur de Syntec Conseil et président du cabinet conseil Stimulus, qui publie un observatoire du stress au travail, « il existe deux types de motivation, celle qui donne du sens à ce que l’on fait et celle qui est liée au devoir. L’engagement relève du sens et du plaisir ».  Malgré tout, en Afrique, de nombreuses entreprises peinent à s’imprégner de cette réalité. 

Une prise en compte théorique du bien-être au travail dans de nombreuses entreprises africaines

En Afrique, sur le plan formel, de nombreuses entreprises communiquent sur l’intérêt qu’elles portent au bien-être de leurs employés. Cependant,  à y regarder de plus près, on constate qu’il y’a un fossé entre la réalité et les déclarations d’intentions. L’évolution est plus de façade. Les entreprises africaines doivent alors  s’engager réellement dans des processus pour l’amélioration des conditions de vie au travail. Il s’agit en d’autres termes, de placer l’Humain au centre des valeurs de l’entreprise au grand bonheur de cette dernière et de ses collaborateurs.

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12Juin

Forum des diasporas Africaines

Talent2Africa est ravi d’annoncer sa participation à la 2éme édition du Forum des diasporas Africaines. Cet événement qui a pour principal objectif de valoriser la diaspora africaine aura lieu au portes de paris au Beffroi de Montrouge, le 21 juin 2019.

10Mai

Talent2Africa partenaire d’Afrobytes

Talent2Africa participe à la 4ème édition de la MarketPlace Afrobytes. Cette édition aura lieu à Paris, le 15 mai 2019, à la station F, le plus grand campus de startups au monde. Afrobytes est un événement africain de la technologie qui connecte les entreprises et les leaders technologiques, fondateurs, investisseurs mais aussi les startups africaines à croissance rapide.

23Jan

Recruter les Millennials en Afrique

La génération des millennials représente approximativement 30% de la population africaine, représentant ainsi une partie importante de la main-d’oeuvre. Cette génération est malgré tout crainte par les entreprises qui passent à côté de nombreux talents. Cependant dans un monde en constante mutation, il serait avantageux pour les entreprises de travailler avec cette génération pleine de promesse