15Oct

L’Afrique n’a pas besoin d’être sauvée, elle a besoin de vrais partenaires

Depuis des décennies, l’Afrique est trop souvent perçue comme un continent dépendant d’aides extérieures. Cette vision est aujourd’hui largement dépassée. L’Afrique est un acteur économique clé, portée par des talents et des entrepreneurs qui innovent dans des secteurs stratégiques comme la fintech, l’énergie et l’agriculture. Ce dont le continent a besoin, ce sont des partenaires capables de collaborer sur un pied d’égalité.

Il est impératif de changer la perception du monde vis-à-vis de l’Afrique. Ce continent n’a pas besoin d’être « sauvé », mais d’être reconnu pour son potentiel et ses talents. Des entreprises africaines transforment déjà leurs industries, propulsant le continent vers l’avenir avec résilience et innovation.

Prenons l’exemple de deux fintech qui, grâce à leur partenariat avec Talent2Africa, ont pu recruter des Directeurs Administratifs et Financiers (DAF) pour structurer leur croissance. Ces talents apportent non seulement des compétences pointues, mais aident aussi à bâtir une structure financière solide, nécessaire à l’expansion internationale de l’entreprise. Ce recrutement stratégique démontre qu’investir dans le bon talent est un levier indispensable pour conquérir de nouveaux marchés.

L’Afrique est prête à relever les défis du futur, mais pour y parvenir, elle a besoin de partenaires stratégiques, engagés et respectueux de son immense potentiel.

15Jan

Diaspora africaine : Yes you can!

Ces dernières années, l’exode des jeunes d’Afrique n’a cessé de croître, poussé par des facteurs tels que le chômage, les opportunités limitées et une vision idéalisée des pays occidentaux. Cette migration massive représente un défi pressant pour la région, car elle entraîne une perte significative de capital humain et de potentiel. Des facteurs économiques tels que le taux élevé de chômage et l’accès limité à une éducation de qualité poussent les jeunes Africains à chercher de meilleures perspectives ailleurs. Cependant, au milieu de cette crise se cache une opportunité de changement. En s’inspirant de pays comme le Maroc et l’Éthiopie, qui ont réussi à exploiter le pouvoir de leur diaspora, la diaspora africaine peut jouer un rôle essentiel dans le soutien à l’autonomisation des jeunes et au développement durable dans leur pays d’origine. Cet article met en évidence les meilleures pratiques d’engagement de la diaspora issues du Maroc et de l’Éthiopie.

Le Pouvoir financier de la Diaspora

S’inspirant d’exemples réussis, ce segment mettra en évidence les stratégies utilisées par le Maroc et l’Éthiopie pour tirer parti de leur diaspora en faveur du développement.

Le modèle du Maroc

Le Maroc, par le biais de nombreuses initiatives, a réussi à mobiliser efficacement sa diaspora.

Stratégies de mobilisation

Un exemple de stratégie réussie est le programme de mobilisation des Marocains hautement qualifiés résidant à l’étranger, appelé « Programme de Mobilisation des Compétences ». Ce programme sollicite la participation de professionnels marocains prêts à contribuer avec leur expertise, leur expérience et leurs connaissances au développement du Maroc. Il vise à fournir un cadre pour ces professionnels afin de les informer des opportunités au Maroc et de leur permettre de développer des partenariats avec les acteurs publics et privés marocains, ainsi que de soutenir les professionnels établis à l’étranger qui lancent des projets au Maroc. Cette stratégie repose sur la constitution de réseaux de compétences des Marocains résidant à l’étranger, l’organisation de réunions préparatoires pour informer ces derniers sur les besoins en compétences dans les secteurs qui les intéressent au Maroc, la promotion de propositions de projets d’entrepreneuriat et de partenariat par le réseau répondant aux besoins du Maroc, l’organisation d’un forum avec les homologues marocains intéressés par ces projets, et la mise en place de partenariats pour leur mise en œuvre.

Un deuxième exemple est un programme appelé « MDM Invest ». Celui-ci offre un mécanisme pour encourager les investisseurs dans les entreprises marocaines. Il est construit autour de trois possibilités de financement de base. MDM Invest peut fournir :

• des fonds propres (en devise étrangère) représentant au moins 25 % du montant projeté du projet,

• une subvention d’État de 10 % des coûts de démarrage (avec un plafond de 5 millions de dirhams), et/ou

• un prêt bancaire (si nécessaire) pouvant atteindre 65 % des coûts de démarrage.

Un troisième exemple est le programme des Nations Unies intitulé TOKTEN (Transfert de connaissances par le biais des nationaux expatriés). Depuis 1993, le Maroc a organisé plusieurs réunions de la diaspora marocaine dans le cadre du programme TOKTEN. TOKTEN vise principalement à mobiliser les professionnels nationaux résidant à l’étranger pour contribuer, grâce à des missions et un soutien scientifique, au développement du Maroc. Ces réunions TOKTEN ont rassemblé des professionnels marocains de tous horizons pour discuter des possibilités de mobilisation, sans toutefois aboutir à de véritables programmes et sans opter pour l’institutionnalisation d’un mécanisme durable dans le cadre d’une stratégie nationale de mobilisation des professionnels marocains résidant à l’étranger.

Stratégie d’innovation

En juin 2009, le Maroc a créé une stratégie nationale d’innovation intitulée « Innovation Maroc » afin de créer un écosystème favorable au développement de l’innovation au sein des entreprises marocaines et des organisations de recherche. Innovation Maroc est devenue opérationnelle en mars 2011. Cette stratégie comprend quatre domaines stratégiques :

• Gouvernance et cadre réglementaire,

• Infrastructure et pôles de compétitivité,

• Financement et soutien, et

• Mobilisation des talents, y compris les membres de la communauté marocaine d’innovation dans le monde. Dans ce contexte, l’Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale, en partenariat avec le Ministère de l’Industrie, a créé le club marocain de l’innovation – une plateforme virtuelle dédiée à l’innovation – pour mettre en réseau les acteurs marocains de l’innovation à la fois au Maroc et à l’étranger.

L’Association Marocaine pour l’Innovation Scientifique et la Recherche (MAScIR)

Le Ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Économie Numérique a créé la Fondation MAScIR (Association Marocaine pour l’Innovation Scientifique et la Recherche) en 2007. La mission de la fondation est de promouvoir et de développer un centre d’innovation et de compétitivité basé sur les besoins du marché. MAScIR mène des projets positionnés sur des niches technologiques et d’application à haute valeur ajoutée dans les domaines des technologies avancées telles que la nanotechnologie, la biotechnologie et la microélectronique.

Le modèle de l’Éthiopie

Le gouvernement de l’Éthiopie reconnaît qu’un partenariat doit être construit avec la diaspora pour bénéficier aux deux parties, et il a travaillé à accorder des droits et des privilèges significatifs à la diaspora depuis la création de l’Agence des Affaires des Expatriés Éthiopiens (EEA) en 2002, puis de l’Agence de la Diaspora Éthiopienne. Le gouvernement éthiopien a encouragé la diaspora à investir financièrement dans le pays et à échanger des connaissances pour aider au développement du pays et améliorer sa situation financière.

Avec des flux de fonds de plus en plus importants au cours des dernières décennies, le rôle de la diaspora dans les efforts de développement du pays a suscité un intérêt plus large tant de la part des chercheurs que des pays d’accueil. Outre les envois de fonds, les flux de compétences, de connaissances et les transferts sociaux ont également suscité davantage d’attention, en particulier l’importance des associations de la diaspora en tant que moteurs des processus de développement.

Le réservoir du Grand Barrage de la Renaissance Éthiopienne (GERD) est une source de fierté nationale pour de nombreux Éthiopiens – le barrage est construit par des Éthiopiens, pour les Éthiopiens. La plupart des fonds pour le barrage ont été collectés auprès des Éthiopiens grâce à l’achat d’obligations. Le barrage fournira de l’électricité à l’Éthiopie et aux pays voisins.

Au cours des 10 dernières années, la diaspora éthiopienne a soutenu la construction du GERD à la fois financièrement et diplomatiquement, indépendamment des différences politiques apparentes auxquelles on pourrait s’attendre de la diaspora. Cependant, le soutien n’a jamais connu une telle croissance massive que lors du premier remplissage du barrage. Le premier remplissage du GERD a non seulement accéléré le rythme du soutien que la diaspora éthiopienne apporte, mais a également accru sa motivation au plus haut niveau.

Cette contribution a été faite soit en achetant des obligations, soit en donnant de grosses sommes d’argent en cadeau pour l’achèvement du barrage. Au total, au cours des dix dernières années, la diaspora a contribué à hauteur de près de 50 millions de dollars.

Compte tenu de l’impact de la contribution financière que la diaspora a apportée au fil des ans, le gouvernement élabore différentes approches qui peuvent exploiter pleinement le potentiel de la diaspora. Lorsque ces mécanismes deviendront opérationnels, ils sont censés renforcer le soutien financier.

La diaspora a également intensifié son combat pour la part équitable de l’Éthiopie sur les eaux du Nil. Dans la quête des droits légitimes de l’Éthiopie sur les eaux du Nil, de nombreux membres de la diaspora ont organisé des rassemblements en soutien à l’effort de l’Éthiopie pour fournir de la lumière à son peuple dans l’obscurité. Dans les principales villes du monde, que ce soit aux États-Unis, en Europe ou en Australie, des groupes d’Éthiopiens et d’amis de l’Éthiopie ont défilé dans les rues pour demander la juste part de l’Éthiopie sur le Nil, entre autres.

Les membres de la diaspora éthiopienne ont non seulement rempli les rues des capitales occidentales pour demander une part équitable des eaux du Nil, mais ils ont également mené différentes campagnes de relations publiques et plaidé pour la cause de l’Éthiopie auprès du monde entier en utilisant les médias. Les Éthiopiens résidant dans les pays arabes ou ceux qui sont éloquents en langue arabe sont devenus des visages courants dans les chaînes arabes défiant le statu quo.

En conclusion, la diaspora africaine détient un immense potentiel pour stimuler un progrès massif sur le continent. Grâce à des stratégies de mobilisation efficaces, des initiatives innovantes et une advocacy accrue, les nations africaines peuvent libérer tout le pouvoir de leur diaspora et tracer un chemin transformateur vers un développement durable et la prospérité pour leur peuple. En combinant la force et le dévouement de la diaspora, l’Afrique peut construire un avenir plus lumineux, où sa jeunesse trouve l’espoir et les opportunités sur son propre sol.

25Juin

Evénement Business par Congo Business Network et Talent2Africa

« Comment utiliser Linkedin pour booster la croissance de son business et se démarquer dans sa vie professionnelle ? » 

 

C’est cette importante question qui sera abordée et étayée à renfort de conseils et d’expériences lors de la conférence business en ligne organisée par Congo Business Network. Ce réseau international d’entrepreneurs congolais a pour mission de connecter les entrepreneurs et de mettre en lumière leurs parcours, expertises et solutions en République démocratique du Congo et à l’international.

 

Talent2Africa est ravi d’être partenaire de cette conférence internationale qui aura lieu le 25 juin 2020 à 16 heures de Kinshasa (9h30 UTC) sur la plateforme de vidéoconférence Cisco Webex Meetings. 

 

LinkedIn étant le réseau social le plus utilisé par les professionnels, les entrepreneurs et les grands décideurs, cette rencontre est plus que pertinente et aidera ainsi les participants à acquérir des outils et stratégies afin d’utiliser ce réseau à leur maximum avantage.

 

Les intervenants ont été minutieusement choisis, à savoir : Noel K. Tshiani, Président de Agere Global ; Magalie Swelly, Fondatrice de Magswelly Agency ; Emmanuel Bocquet, Company Builder chez GreenTec Capital Partners ; et Anaïs Girod, Directrice Générale chez Gramica

 

Pour participer à cette réunion, il vous suffit de réserver votre place via ce lien https://bit.ly/376PhvT

Après votre inscription, vous recevrez un message contenant des informations explicatives pour vous connecter à la plateforme le jour de la séance. 

 

Parmi les partenaires et sponsors de cette rencontre comprennent Mining and Business Magazine, Afric’innov, Gramica, Magswelly Agency, 10 000 Codeurs, Talent2Africa, Genesis Ventures, Ebutelo, Zoom Eco, Les Chiffres, Go Ladies Magazine, Femmes au Pluriel, Uwezo Afrique, eMart.cd, IP Stance, Congo Digital, BigUp News et UFM 94.7, qui diffusera la discussion en direct à Kinshasa et à Brazzaville. 

 

Ne manquez surtout pas cette conférence !

18Juin

Les repats, pourquoi ce désir de rentrer en Afrique ?

Les “Repats”, est le terme qui est dernièrement en vogue. Par opposition aux expats, les repats désignent ces africains généralement bardés de diplômes et d’expérience internationale et qui décident de revenir sur le continent africain ou dans leur pays d’origine afin créer des entreprises ou d’y travailler. 

 

Pourquoi un retour de la diaspora en Afrique?

Les chiffres sont sans équivoque, 71% des membres de la diaspora africaine envisage de revenir travailler en Afrique. Dans la majorité de nos pays, où tout est à faire et où les opportunités sont nombreuses, les repas ont un rêve. Celui de voir aussi l’Afrique se développer et de pouvoir mettre à profit tout ce qu’ils ont appris. 

Ce qui pousse encore plus la diaspora à envisager un retour en Afrique et à passer à l’action, c’est l’attractivité et la croissance unique du continent, comme l’a souligné Chams Diagne, CEO de Talent2Africa, lors de son passage à l’émission Made In Africa.

Contrairement aux années précédentes, nous assistons désormais à un phénomène inverse où les “repats” sont davantage recherchés  sur le marché de l’emploi africain que les expatriés. 

Pour réussir son retour en Afrique, il est important de faire des recherches au préalable et de faire preuve d’humilité et de rigueur une fois sur place. Finalement, il est bon de constater que les opportunités en Afrique sont disponibles pour tout le monde, notamment dans le secteur du BTP; l’ingénierie et la transformation digitale.

03Oct

Entreprises Africaines, formez vos salariés aux métiers futurs

Les innovations technologiques n’ont pas encore fini de bouleverser le monde professionnel. Les changements qu’elles apportent obligent les travailleurs de tout bord à sortir de leurs zones de confort,  pour se projeter vers un marché du travail futur et en mutation rapide. Ce constat est d`autant plus vrai qu`une étude menée par le World Economic Forum révèle que 65% des enfants qui entrent en primaire ces dernières  années feront des métiers qui n’existent pas encore. Ainsi, les innovations technologiques donneront naissance à de nouveaux emplois. Il faut donc s’y préparer pour ne rater la marche du monde. Pour les entreprises africaines, il est fondamental  de préparer leurs collaborateurs aux métiers de demain. Pour ce faire, une formation repensée doit être de mise.

Former vos salariés  au savoir-apprendre et au savoir-chercher 

La formation des salariés aux métiers qui n’existent pas encore peut se révéler difficile. Elle passe nécessairement par la  préparation de ces derniers, afin qu`ils soient disposés à s’ouvrir à de nouveaux savoirs. Il s’agira pour l’entreprise, de stimuler la curiosité de ses  collaborateurs en les formant au savoir-apprendre et au savoir-chercher. Cette approche rompt naturellement avec la conception classique de la formation qui repose sur du court terme,  en ce sens que la vitesse de l`évolution des métiers dans l’entreprise, rend inopérante une formation non projetée vers le futur. Il faut ainsi susciter chez les salariés l’envie d’apprendre.

Préparez vos salariés  à envisager sereinement  la reconversion

S`il est indéniables que les innovations technologiques vont donner naissance à  de nouveaux métiers, le revers de la médaille de cette nouvelle donne est la disparition  d’autres métiers sous l’effet de la digitalisation. Les salariés doivent alors prendre conscience de cette nouvelle réalité  et se doter des moyens techniques de se convertir à de nouveaux métiers rapidement. Un salarié pourra ainsi changer de métiers plusieurs fois au cours de sa vie professionnelle en découvrant de nouvelles compétences. L’entreprise a tout intérêt à maintenir l’employabilité de ses collaborateurs dans les années à venir, et ainsi se démarquer.

Faciliter les conditions d’accès à la formation pour les salariés 

La formation des collaborateurs est un besoin qui a toujours existé en entreprise, mais elle est des fois négligée ou reléguée par certains employeurs qui sont plus guidés par la recherche d’une plus grande rentabilité. Aujourd’hui, l`évolution s’est dessinée dans le sens  de rendre la formation aux métiers futurs comme une condition d’existence de l`entreprise. Il faut désormais repenser la formation et la rendre plus accessible. L’entreprise va devoir prendre le relais de l’éducation scolaire. La formation ne doit pas être vue comme une contrainte. Elle  doit découler de la propre volonté de l’employeur de préparer ses salariés.

 

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25Sep

Comment devenir un bon négociateur en tant que commercial ?

Pour une entreprise, recruter des commerciaux avec de grandes capacités de négociations est un véritable gage de succès.   La négociation n’est d’ailleurs pas l’apanage de la vente. Elle irrigue tous les aspects de la vie, partant de la vie de couple, à la vie politique,  en passant par les affaires, et même vie de famille. Aujourd’hui, la pléthore d’offres de formations ou de conseils visant à optimiser les chances de succès en négociation, montre toute l’importance de cette dernière, surtout pour les commerciaux chez qui, l’enjeu est énorme. En effet, pour un commercial, réussir sa négociation, c’est réussir à  instaurer une relation de confiance durable avec les clients et partenaires. Ainsi, pour devenir un bon négociateur, il est alors fondamentale, de maîtriser les secrets de la négociation commerciale afin de mieux comprendre comment développer cette compétence.

Un  travail de préparation sérieux est indispensable pour une bonne négociation

La première chose qu’il faut savoir,  avant de se lancer dans une opération de négociation, en tant que  commercial, c’est que celle-ci nécessite un travail de préparation sérieux. Pour ce faire, un coaching et un management spécifique de la part des managers commerciaux est indispensable. Pour un  commercial soucieux d’être un as de la négociation, l’enjeu réside surtout dans une bonne préparation qui implique la connaissance du produit, du marché et des besoins des potentiels clients. Cette préparation nécessite un certain esprit d’analyse, de la curiosité intellectuelle et des capacités de raisonnement, notamment lorsque les négociations portent sur des sujets pointus

Savoir cultiver et développer son intelligence émotionnelle

Faisant partie des compétences de type soft skills, l’intelligence émotionnelle est un atout majeur dans le cadre de  la négociation. L’intelligence émotionnelle est liée à la maîtrise de soi et de ses émotions en vue de mener des négociations dans de meilleures conditions. Cette qualité est encore plus utile lorsque le commercial rencontre des difficultés à convaincre son prospect.  La confiance en soi, ainsi que l’empathie, présentent des atouts non négligeables dans ces situations. Ceux qui négocient le mieux sont souvent ceux sont dotées d`une plus grande intelligence émotionnelle. Celle-ci peut être améliorée, notamment via des formations et des conseils spécifiques.  Par ailleurs, la  détermination et la volonté de persuasion sont  des qualités importantes pour   les facilitateurs. Tout de même,  cela ne signifie pas que les commerciaux qui n’auraient pas ces traits seraient de mauvais négociateurs. Il est toujours possible  de pallier à ses propres faiblesses en élaborant des tactiques personnalisées.

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29Nov

Recrutement de la Diaspora en Afrique

Recrutement Afrique – De nombreux « Diasporiens » d’Afrique considèrent, après des années passées à l’étranger, une reconversion professionnelle « chez eux ». Le retour vers le continent est une option de plus en plus forte, en raison…