28Nov

Recrutement en Afrique – les besoins en recrutement varient selon les régions et leur situation socio-économique et la chasse aux têtes s’applique dans presque tous les secteurs.

Cependant, il existe une évolution dans le secteur du recrutement, obligé de s’adapter aux nouveaux besoins des entreprises en compétences nouvelles, notamment celles générées par les avancées technologiques. Dans un article publié en Juillet, Talent2africa livre les détails d’une étude réalisée par Forbes Afrique, sur les compétences les plus recherchées en Afrique. L’observation générale de cette étude (2015) indique une « tendance des recrutements en évolution vers des demandes de professionnels locaux et de personnes venant de la diaspora. Cette tendance s’explique par le fait que ces profils sont très rapidement opérationnels. Ils font preuve d’une capacité d’adaptation importante, d’une compréhension et d’une proximité certaine avec la culture locale, précise le rapport.

Comme exemple, les techniques Candidats aux profils: ingénieurs, experts, Directeur Financier, d’exploitation Directeur, Directeur Commercial, Marketing directeur, etc. S’y ajoutent les cadres Supérieurs, direction de départementale ou Dirigeants d’entreprises, Directeurs techniques, ingénieurs ouvrages d’art et routiers, responsable cultures céréalières, d’exploitation piscicole, gestionnaires des risques etc.

L’étude note aussi une évolution de la typologie des postes dans certains pays. Dans l’industrie en Afrique du Nord par exemple, on recherche des directeurs d’exploitation pour améliorer la productivité des sites, des ingénieurs qualifiés de compétences pointues en R&D et en qualité, notamment dans le secteur de l’automobile pour la zone Maghreb qui soustraite de la production pour l’Europe. Par ailleurs, les avancées technologiques dans le monde ont transformé le fonctionnement des entreprises et créé de nouveaux métiers, très prisés, mais rares en Afrique à cause de l’absence de formation ou d’application.

En effet, les nouveaux métiers du secteur numérique tels que les Architectes Big Data, Chef de projet numérique, Chef de produit web et mobile, Chief Data Officer, Content Manager, Consultant SEO, Data scientist, Développeur (multimédia, informatique, web, applications mobiles), Digital brand manager, Formateur-graphiste multimédia, Ingénieur Cloud Computing etc., sont hyper recherchés et bien rémunérés.

Dans ce secteur, des entreprises telles qu’Orange ou Atos (qui recrutent beaucoup les développeurs, au Sénégal et au Maroc par exemple), sont beaucoup attirés par les « talents technologiques ».   Autre entreprise, le groupe Telenco, qui , selon le site socialnetlink.org, « se lance dans une nouvelle aventure à Dakar avec le défi du programme SMART (Spécialistes Métiers des Architectures Réseaux et Télécoms) qu’il initie pour accompagner et suivre, désormais , les acteurs du secteur. Aussi, il existe beaucoup d’entreprises privées en pleine transition digitale qui sont à la recherche de compétences technologiques, telles que les banques, les entreprises agroalimentaires, pétrolières, minières, la fintech, le secteur de la santé et même les entreprises naissantes et autres startups, véritables symboles du dynamisme de l’entrepreneuriat en Afrique. A noter que pour la plupart des cas, les candidats doivent être au moins bilingues français/anglais, car ils représentent le trait d’union, des facilitateurs entre des sociétés travaillant selon des modes occidentaux et les cultures locales.

Exemples métiers – salaires 

Loi de prétendre à l’exhaustivité, voici un aperçu des tendances en terme de rémunération, avec quelques exemples tirés du Baromètre des rémunérations au Sénégal (2015), publié par le cabinet SAARA . « Son objectif est de permettre à chacun (chercheur d’emploi, salarié, nationaux ou membres de la diaspora) d’avoir une meilleure lecture des tendances de rémunération au Sénégal relatives à des fonctions clés », lit-on dans le rapport.

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Les besoins de recrutement en Afrique varient selon les régions et les situations socio-économiques, tandis que la chasse de tête s’applique à presque tous les secteurs. Cependant, il y a une évolution dans le secteur du recrutement, devant s’adapter aux besoins des entreprises en nouvelles compétences, notamment celles générées par les avancées technologiques. Dans un article publié en juillet, Talent2africa a évoqué l’étude menée par Forbes Africa, sur les compétences les plus recherchées en Afrique. Le constat général de cette étude (2015) indique une « tendance des recrutements évoluant vers un besoin d’embaucher des professionnels locaux et des personnes de la diaspora ». Ceci s’explique par le fait que ces profils sont très rapidement opérationnels. Ils font preuve d’une grande capacité d’adaptation, d’une compréhension et d’une proximité avec la culture locale.

A titre d’exemple, les candidats aux profils techniques : ingénieurs, experts ou fonctions d’appoint à CFO, COO, directeur commercial, responsable marketing, etc. En complément, les cadres supérieurs, chefs de service ou chefs d’entreprise, directeurs techniques, ingénieurs infrastructures et structures routières, gestionnaires de cultures céréalières ou piscicoles, gestionnaires de risques, etc.

Il y a aussi un changement dans la typologie des postes dans certains pays. Dans l’industrie maghrébine par exemple, on recherche des managers pour améliorer la productivité des sites, des ingénieurs qualifiés avec des compétences avancées en R&D, notamment dans le secteur automobile au Maghreb, sous-traitant la production pour l’Europe. En effet, en Afrique, les avancées technologiques à travers le monde ont bouleversé le mode de fonctionnement des entreprises et créé de nouveaux métiers. Certains kills sont recherchés, en raison du manque de formation ou d’expérience.

En effet, les nouveaux métiers du secteur digital tels que Architectes Big Data, Chef de Projet Digital, Chef de Produit Web et Mobile, Chief Data Officer, Content Manager, Consultant SEO, Data scientist, Développeur (multimédia, IT, web, applications mobiles), Digital chef de marque, formateur multimédia-graphiste, ingénieur Cloud Computing etc., sont très recherchés et bien rémunérés.

Dans ce secteur, des entreprises comme Orange ou Atos (une entreprise qui recrute très souvent des développeurs, au Sénégal et au Maroc par exemple), sont très intéressées par les « talents technologiques ». Telenco Group est un autre exemple. Selon le socialnetlink.org, l’entreprise « se lance dans une nouvelle aventure à Dakar, avec le défi d’accompagner les acteurs de la filière numérique, en lançant le programme SMART (Spécialistes des Architectures Réseaux et Télécoms) ». Aussi, de nombreuses entreprises privées basculent vers le numérique et recherchent des compétences technologiques, dans des domaines tels que les banques, l’agroalimentaire, le pétrole et les mines, les Fintech, le secteur de la santé ou encore les start-up etc., comme de véritables symboles du dynamisme de l’entrepreneuriat. en Afrique. Il est à noter que dans la plupart des cas, les candidats doivent être au minimum bilingues français/anglais par exemple, faisant le pont des compréhensions en tant que facilitateurs entre les entreprises travaillant dans le respect des normes occidentales et des cultures locales.

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