17Sep

Comment se préparer à un salon de l’emploi?

Quand vous êtes  à la recherche d’emploi, il ne faut minimiser aucune occasion de décrocher le job de vos rêves, car on ne sait jamais…  Si vous n’avez pas encore reçu de coup de fil  pour un entretien,  après avoir postulé à plusieurs offres d’emploi,  pensez à vous présenter à un salon d’emploi. Il s’agit d’une belle opportunité à saisir pour faire la rencontre de potentiels recruteurs. Tout de même, pour avoir des chances de taper à l’œil d’un recruteur, lors d’un salon de l’emploi, vous ne devez pas vous y rendre n’importe comment…Pensez à bien vous préparer pour cet événement qui peut se révéler déterminant dans votre carrière. En quoi faisant ? Nous faisons le point avec vous sur les astuces à utiliser…

 

  1. Prenez soin de votre tenue

Il est vrai qu’un salon de l’emploi n’est pas un entretien d’embauche classique, mais pour autant,  ce n’est  pas, non plus,   une raison pour se présenter aux recruteurs en vieux jean troué.  Prendre soin de votre tenue vous permettra toujours de gagner de points chez les recruteurs. Chemise et visage rasé pour les hommes, blazer et maquillage discret pour les femmes, une  apparence sobre est ce qu’il vous faut pour séduire, dans un premier temps,  un recruteur, lors d’un salon de l’emploi. 

 

  1. Trouver des renseignements sur les entreprises participants 

L’erreur à ne surtout pas commettre, c’est de débarquer à un salon de l’emploi sans au préalable avoir pris le temps de prendre toutes les informations sur toutes les entreprises qui participent à  l’événement. Prenez tous les renseignements dont vous avez besoin avant de vous présenter au salon de l’emploi.  Vous pourrez ainsi savoir quelles entreprises vous intéressent ? Quelles sont les offres d’emploi sont proposées ? Le fait de connaître la société à  laquelle vous déposez votre CV jouera en votre faveur. 

 

  1. Imprimez vos CV en plusieurs exemplaires

Puisque vous allez à la rencontre de nombreux potentiels recruteurs, n’oubliez pas d’imprimer un nombre suffisants de CV généraux et d’emporter vos cartes de visite si vous en possédez. Cela vous permettra de ne pas  rater d’occasion pour postuler à un maximum d’offres et dans beaucoup d’entreprises. Vos chances n’en seront que boostées…

 

  1. Préparez votre présentation en 30 secondes chrono

En général, lors des salons de l’emploi, les recruteurs n’ont pas beaucoup de temps à accorder à tous les candidats.  Il s’agit d’événements de networking. Vous devez prendre en compte cette donne, en  préparant un cours discours qui vous présente, ainsi que votre domaine de compétence et vos expériences. Il doit être court, précis et efficace. Vous le répéterez pour vous introduire auprès de tous les recruteurs. 

 

  1. Collectez les cartes

Lorsque vous rencontrerez les recruteurs, n’oubliez pas de demander à  chacun sa carte de visite. Vous pourrez ainsi les recontacter pour demander s’ils sont intéressés par votre candidature.  Qui sait ? Vous pourrez peut-être tomber sur un recruteur intéressé par votre profil.

 

  1. Sur place, pensez pratique

N’oubliez pas d’avaler quelque chose avant votre arrivée au salon de l’emploi : vous serez plus concentré si votre ventre ne gargouille pas pendant un entretien. Évitez aussi de fumer avant ou pendant le salon : l’haleine de cendrier rebutera les recruteurs.

10Sep

Les 5 qualités indispensables à un employé performant

Ce n’est plus un débat … Tous les spécialistes RH s’accordent, désormais, sur le fait que l’entreprise est tout aussi intéressée par le savoir-faire que par le savoir-être.  D’ailleurs, la personnalité propre à chaque individu au sein de l’entreprise constitue, pour celle-ci, une précieuse source de diversité. Cependant, quelle que soit la personnalité d’un travailleur, il doit posséder certaines qualités indispensables sur lesquelles, nous mettront l’accent dans cet article.

 

1-Etre honnête

L’honnêteté est une qualité humaine appréciée chez tout le monde, mais elle l’est encore plus chez un travailleur. D’ailleurs, les employés honnêtes et fiables ont le respect  de leurs supérieurs et de leurs collègues parce qu’ils promettent des objectifs réalistes.  En effet, les estimations approximatives ne plaisent à personne. Ceux qui estiment avec franchise et précision le temps dont ils ont besoin pour mener leurs tâches à bien et qui font régulièrement état de leurs progrès projettent une image d’efficacité et de fiabilité.

 

2-L’esprit orienté solution

En tant que travailleur, vous devez impérativement vous impliquer dans la résolution des problèmes que rencontre l’entreprise. Vous ne devez pas être un simple spectateur qui se contentera tout bonnement de constater des problèmes et de les rapporter à votre manager. En effet, les dirigeants n’apprécient pas les employés qui transmettent les problèmes sans suggérer la moindre solution. Seul ou en équipe, il est donc nécessaire de consacrer du temps à la recherche de solutions à long terme. Après tout, les problèmes sont là pour être résolus et vous êtes  là pour faire marcher l’entreprise…

 

3-Le sens de l’organisation

Le sens de l’organisation reste aussi une qualité très appréciée chez un travailleur. En tant que salarié, vous devez apprendre  à organiser votre travail de manière efficace. Que vous optiez pour  le travail à la maison, au bureau ou au café du coin, faites en sorte de vous vous doter d’une méthode de travail et d’organisation. A titre d’exemple, lorsque la charge de travail s’accumule, vous  devez  être capable de vous  fixer des priorités sans discuter de chaque détail avec votre supérieur. En clair, gardez en tête qu’aucun manager n’a envie de collaborer avec un travailleur désordonné.

 

4-L’esprit d’équipe

L’union fait la force a-t-on l’habitude de dire… Cet adage s’applique également au monde du travail.  En effet, savoir travailler en équipe est une très grande qualité chez un travailleur.   Le manager sera toujours heureux de  constater qu’il y’a une vraie au sein de l’entreprise. Il sera satisfait de constater que  les travailleurs prennent l’initiative de se répartir les tâches, de solutionner les problèmes et de réaliser des missions qui leur sont confiées de manière collégiale et créative. Une équipe soudée est un gage de satisfaction pour un patron d’entreprise et d’ambiance positive sur le lieu de travail.

 

5-La proactivité

Enfin, il faut citer parmi les qualités indispensables chez un travailleur, la proactivité. Celle-ci suppose que l’employé ait la capacité  de mettre ses propres attentes et besoins de côté, pour réfléchir au fonctionnement de l’entreprise et à son évolution future. Il s’agit, en d’autres mots, pour le travailleur, d’être en mesure de se projeter dans l’avenir. Cet état d’esprit est fortement apprécié par les managers car, il témoigne de la volonté du travailleur de vouloir collaborer sur le long terme avec l’entreprise.  

03Sep

Pourquoi manger entre collègues à midi ?

L’entreprise n’est pas seulement un lieu de travail, c’est aussi un milieu où des relations sociales et des amitiés se tissent. D’ailleurs de nombreux managers cherchent aujourd’hui à promouvoir la solidarité et la bonne ambiance au sein de leur équipe parce qu’ils sont convaincus que ces facteurs sont des indicateurs de productivité de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle, le « manger ensemble » entre collègues est très souhaité dans les entreprises. Il est devenu une norme qui a obtenu de nombreux avantages. Si vous êtes du genre à manger seul devant votre bureau, pensez alors, de temps à temps, à vous rendre à la cafétéria pour partager votre repas avec vos collègues. Manger à midi, savourer un bon repas entre collègues autour d’une table, est une occasion idéale de parler de travail ou de ce qu’on a fait lors du week-end écoulé. Il s’agit d’une source d’échanges et de bonne humeur. C’est aussi un facteur qui favorise la coopération selon une étude menée par la Cornell University, en 2016.

Cette étude révèle que, la plupart du temps, les employés qui mangent ensemble sont plus aptes à travailler ensemble que ceux qui préfèrent manger seuls. La collaboration n’est pas le seul avantage d’un repas partagé entre collègues : il s’agit là d’une bonne alternative aux activités de Team Building, qui impliquent « beaucoup de coûts et, surtout, vous demandez à beaucoup de vos employés de faire des choses avec des collègues pendant leur temps libre », explique Kevin Kniffin, un chercheur en comportement. Fort de ce constat, dans le but d’encourager cette pratique conviviale, beaucoup d’entreprises installent, en leur sein, des cantines afin d’encourager les employés à s’y rendre et à s’attaquer avec leurs collègues.

Toutefois, il ne faut pas trop forcer le contact non plus, car cela pourrait avoir un effet contre-productif. Ainsi, même si les repas entre collègues présentent beaucoup de bienfaits, il ne faut pas forcer les choses. Tout doit venir naturellement … Ce n’est pas, d’ailleurs, parce qu’on gère entre collègues que la coopération et l’entente vont s’améliorer, que les travailleurs s’apprécient mieux et travaillent mieux ensemble.

Bien au contraire, manger seul peut aussi être une bonne choisie. Tout le monde n’est pas toujours prêt à subir les conversations de chacun lors du temps de midi, qui est aussi synonyme de détente et de retour sur soi. Selon, une étude dirigée par l’Université de Toronto, il importe tout particulièrement de chacun choisir. Il ne faut surtout pas se sentir forcé de manger avec les autres. Bref, libre à vous de choisir avec qui manger. Vous pouvez également alterner les deux au rythme qui vous convient, en mangeant une fois par semaine seule, par exemple.

Quoi qu’il en soit, il est toujours déconseillé d’être vu comme la personne qui sape toujours l’ambiance et la bonne humeur entre collègues. Soyez équilibré dans votre choix. Votre manager appréciera toujours de votre part une attitude fédératrice. 

27Août

Cinq phrases à bannir au travail

Le monde professionnel est un univers qui requiert une certaine finesse, aussi bien dans la parole que dans le comportement de manière générale. Dans l’entreprise, les mots que vous utilisez donnent une idée de votre image professionnelle. Il est alors bon de choisir les bonnes expressions quand vous êtes en milieu professionnel. Certaines phrases sont ainsi absolument à  bannir si vous voulez être considéré comme un leader. Mais lesquelles ? Le magazine Forbes a interrogé Darlene Price (auteure du livre Well Said ! Presentations and Conversations That Get Results) à propos de ces mots ou formulations de phrases à bannir au travail. Nous faisons le point avec vous…

 

  1. « C’est pas juste », première des phrases à bannir au travail

Votre collègue a bénéficié d’une augmentation de salaire ? Mais vous trouvez que vous travaillez plus dur que lui ? Cela peut effectivement créer une certaine frustration. Mais,  le fait de vous plaindre ou de ruminer votre colère, sur votre lieu de travail serait contre-productif. A la place, faites plutôt l’inventaire des faits. Montez un dossier argumenté. Puis présentez-le calmement aux personnes responsables, conseille Darlene Price.

 

  1. « Ce n’est pas mon problème » / « Ce n’est pas mon boulot » / « Je ne suis pas payé pour cela »

Cette phrase est à bannir, car elle démontre que vous n’avez pas l’esprit d’équipe. Ni le sens de la solidarité. Cela ne veut pas dire que vous devez  tout accepter. Mais vous devez avoir plus de tact lors de votre refus. Selon Darlene Price, si par exemple, vous êtes débordé et que votre patron vous demande de vous occuper d’une tâche supplémentaire, dites-lui que vous seriez ravi d’aider. Puis demandez-lui quelle priorité vous devez accorder à chacun des projets qui vous occupent.  Et Darlene Price de continuer, par cette méthode,  vous prouverez ainsi que vous êtes prêt à  vous investir pour l’équipe. Tout en lui rappelant qu’il doit rester réaliste dans ses attentes.

 

  1. « Je vais essayer », l’une des phrases à bannir au travail

Le verbe essayer sous-entend une certaine réticence ou un manque d’engagement. Il est perçu par les leaders influents comme un verbe assez négativement connoté lors des échanges professionnels. Imaginez par exemple que vous devez absolument poster une facture avant une certaine heure, et que vous demandez à  votre collègue de s’en occuper lorsqu’il se rendra chez son prochain client. S’il répond « Je vais essayer » vous vous sentirez obligé de le faire vous-même. C’est une phrase qui implique une possibilité d’échec.

 

  1. « Mais on a toujours fait comme ça »

Encore faudrait-il le rappeler, l’esprit d’initiative est la marque des leaders. Un bon travailleur doit savoir sortir des sentiers battus pour innover. Les employeurs apprécient l’innovation et la pensée créative chez leurs employés. Or, cette phrase prouve au contraire que vous êtes scotchés dans vos habitudes. Ou que vous êtes rigides et fermés, sans aucune perspective d’évolution. Elle est donc une phrase à bannir au travail. Le changement n’est pas toujours négatif. Ne soyez jamais aussi catégorique face à une nouvelle idée ou façon de procéder, conseille Darlene Price.

 

  1. « C’est un imbécile » / « Il est fainéant » / « Mon job est nul » / « Je hais cette société »

Selon Darlene Price,  ce genre de phrase révèles non seulement de l’immaturité. Mais elle peut en plus vous faire virer. Faire ce genre de jugement va dans tous les cas donner une mauvaise image de vous. Si vous reprochez quelque chose à  quelqu’un, faites-le lui savoir directement, avec tact et politesse. Cela prouvera tout simplement votre professionnalisme.

20Août

Top 7 des métiers d’avenir qui n’existent pas encore

Il y’a quelques années de cela, nombre de métiers qui existent aujourd’hui, n’avaient pas encore vu le jour. Si vous pensez que cette dynamique de naissance de nouveaux métiers va s’arrêter, vous pouvez déchanter. Entre robots, intelligence artificielle et véhicules autonome, les métiers du futur frappent à nos portes. Les observateurs ont fini de nous convaincre que des millions d’emplois seront remplacés par des machines. Parallèlement, nous assisterons à la naissance de métiers qui sembleront sortir tout droit d’un film de science-fiction. Nous faisons le point avec vous sur le top 7 des métiers d’avenir qui n’existent pas encore.

 

  1. Guide touristique spatial

Il s’agit d’un métier qui verra le jour dans l’avenir. Cela est dû au tourisme spatial qui prend son envol. Ce n’est pas une mauvaise idée d’envisager une carrière en tant que guide touristique de l’espace. Vous serez ainsi chargé d’accompagner les visiteurs fortunés tout au long de leur vol. Vous allez aussi concevoir les trajets les plus palpitants grâce à votre connaissance des appareils utilisés en orbite. 

 

  1. Mineur d’astéroïdes

Creuser des astéroïdes afin de trouver certains minerais est une option envisageable à l’avenir. Il s’agira de pallier à la pénurie de ressources sur la planète. Tout en exploitant celles de l’espace. Ce forage à haut risque sera généralement entrepris par de la machinerie autonome. Mais dans certains cas, des mineurs humains seront appelés en renfort afin d’assurer le bon déroulement des opérations. C’est donc un métier d’avenir à considérer fortement.

 

  1. Gestionnaire de contenu cérébral

La science est dynamique et se surpasse continuellement. Il est ainsi envisagé, dans le futur de trouver des moyens qui permettent d’accéder à vos pensées. Mais aussi à vos souvenirs grâce à des implants qui lient votre cerveau à un ordinateur. Cette nouvelle possibilité médicale ouvrira la porte à des services payants. Ceux-ci pourront ainsi améliorer la mémoire et même revisionner vos rêves. Les gestionnaires de contenu cérébral pourront également aider une personne à trier ses souvenirs. Chacun pourra ainsi réaliser le film de sa vie pour son entourage. N’est-ce pas fabuleux ?

 

  1. Conseiller en éthique technologique

Le rôle des robots et de  l’intelligence artificielle a été largement débattu.  Tout de même, il est impératif de réfléchir à des règles éthiques. Car l’utilisation de ces nouvelles technologies ne doit pas se faire aux dépens des êtres humains. En plus d’apprendre aux machines à décoder les subtilités de notre langage, les experts devront confirmer à la population que les balises de sécurité nécessaires ont été mises en place. La naissance du métier de conseiller en éthique technologique est alors fortement envisageable.

 

  1. Gestionnaire de drones, un métier d’avenir

Des entreprises comme Amazon projettent d’acquérir des flottes de milliers de drones pour accélérer leur service de livraison. Cela inclut donc des gestionnaires spécialisés dans l’achat et la programmation. Mais aussi dans l’entretien et la supervision. Ces essaims motorisés seront donc en forte demande sur le marché du travail.

 

  1. Gestionnaire de vie privée

Les appareils intelligents seront la cible d’un nombre croissant d’attaques informatiques. Des solutions s’imposent donc pour protéger les renseignements privés. Les conseillers en protection des informations personnelles en ligne auront la cote. Cette expertise sera également prisée par les entreprises et gouvernements.

 

  1. Coach de fin de vie, métier d’avenir important 

Après le coach de vie, préparez-vous pour le coach de fin de vie ! La population vieillit et cette importante cohorte aura besoin de conseillers sensibles et empathiques. Ils les guideront dans leurs choix de traitements médicaux et exploreront avec eux comment vivre pleinement leurs derniers jours. Ce métier fait partie du top 7 des métiers d’avenir.

30Juil

Afrique : L’industrialisation est indispensable à la création d’emplois

En Afrique, la création d’emplois est indispensable au développement durable et à la croissance inclusive du continent. Dans ce continent, les groupes vulnérables tels que les femmes et les jeunes, sont touchés de manière disproportionnée par la rareté des emplois décents. Ces derniers constituants pourtant des maillons importants de la population africaine sans compris, le développement n’est pas envisageable. Ou, la quasi-totalité des observateurs soutiennent, à juste titre d’ailleurs, que seule l’industrialisation veut créer des emplois nécessaires aux jeunes africains. Ainsi, selon les projections des Nations unies, 

 

L’industrialisation devient une réponse à l’impérieuse nécessité de créer dix à douze millions d’emplois pour seulement absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail. Il doit, cependant, s’agir d’une industrialisation pensée et adaptée au contexte africain. 

 

 En effet, chaque pays a ses propres caractéristiques, il est essentiel que chaque gouvernement envisage l’industrialisation en prenant compte notamment des ressources naturelles dont il dispose et des potentialités dont le pays est doté. L’industrialisation doit reposer sur la création d’un environnement économique et social favorable. Selon Jonathan Le Henry, consultant chez PWC, les pays africains gagneraient « à une réflexion commune et intégrée de politique industrielle ». 

 

Et ce dernier de préciser que plusieurs leviers doivent être actionnés pour gagner le défi de l’industrialisation en Afrique. Il s’agira de capitaliser sur les ressources naturelles pour créer de nouvelles activités à plus forte valeur ajoutée, de miser sur des partenariats stratégiques afin de favoriser le partage de valeur et le transfert de technologie, de s’appuyer sur les technologies de la révolution industrielle 4.0 pour dégager des gains de productivité, améliorer le niveau de compétitivité et mieux s’intégrer sur la chaîne de valeur. Il s’agira enfin de créer les conditions nécessaires à l’amélioration du climat des affaires en proposant un environnement attractif pour les investisseurs étrangers et en minimisant le poids de la bureaucratie.

 

Une telle approche pourra permettre aux populations africaines de bénéficier de création d’emplois en masse. À terme, le développement du continent africain pourra être pérenne et rentable à chaque citoyen africain.

 

 A l’heure actuelle, l’industrie africaine ne se produit que 700 dollars américains de PIB par habitant en moyenne, trois fois moins qu’en Amérique latine (2500 dollars) et cinq fois moins qu’en Asie de l’Est (3400 dollars). Et ses exportations se composent de produits manufacturés de faible technologie et de ressources naturelles non transformées – qui représentent plus de 80% des exportations de l’Algérie, de l’Angola et du Nigeria, par exemple. 

 

L’Afrique comme l’Europe au XIXe siècle, l’Asie au XXe siècle, doit alors, s’engager, résolument, sur la voie de l’industrialisation au cours de ce XXIe siècle. Dans cette optique, le président du Groupe de la Banque africaine de développement, le directeur général de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) et le secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) sont convenus de travailler ensemble pour aider l’Afrique à concevoir son programme d’industrialisation. D’autres initiatives voient également le jour à permettre au contient noir de sortir de l’ombre.

23Juil

Diplômé et désorienté? Quelques conseils pour vous guider après vos études

Vous passez encore beaucoup de temps à réfléchir sur l’avenir professionnel, sans trop savoir où vous allez, ni ce que vous ferez. Ce sentiment désagréable d’incertitude professionnelle est agrandi chez de nombreux jeunes diplômés. Cela les demande d’avancer, mais aussi d’être optimistes pour leur avenir. Pour autant, vous ne devez pas céder au découragement. C’en est fini de rester au lit à ne rien faire, il est temps de passer à l’action ! Voici quelques conseils pour relativiser votre situation et vous orienter…

 

  1. Faire le point sur soi-même…

Il est important quand vous êtes perdus et découragé face à un avenir professionnel que vous sentez incertain, de faire le point sur soi-même. Cela vous permet de redresser la pente. Vous devez notamment vous poser un certain nombre de questions pour mieux vous orienter. Qu’est-ce que vous voulez exactement? Comment et où vous voyez-vous dans un an? Et plus tard ? Les réponses à ces questions vous avez de vous projeter vers un avenir plus serein et de toucher du doigt vos attentes. Objectif est de vous inspirer, de sortir de l’état de léthargie, bref de vous découvrir sous un nouveau jour.

 

  1. Passez en revue ses expériences professionnelles…

En tant que diplômé, dites-vous bien que même si vous n’avez pas encore vu le bout du tunnel, cela ne veut pas dire que vous n’avez aucune compétence ou que vous valez rien. Bien au contraire, vous avez beaucoup d’aptitudes qui ne demandent qu’à être mises en œuvre. Pour les découvrir, vous devez faire le point sur vos compétences. Passez en revue toutes vos expériences professionnelles. Aussi minimes soient-elles, ne les sous-estimez pas. Lors d’un emploi étudiant ou d’un stage, par exemple, vous avez appris à vous adapter, à travailler en équipe, à développer certaines capacités, à obéir, etc. Cela vous permet de vous orienter afin de savoir exactement dans quel domaine aimeriez-vous travailler.

 

  1. Dressez une liste des options de carrière possibles…

Vous n’êtes pas un diplômé pour rien. Vous avez certainement des idées, des rêves de carrière. Listez-les ! Pour chaque idée, vous devez réfléchir aux prérequis nécessaires pour les mettre en œuvre, ainsi que les conséquences d’un tel choix sur votre vie. Vous devez tout de même faire preuve de réalisme, car il est clair que vous ne pourrez pas atteindre vos objectifs à long terme immédiatement. Soyez prêts à rouler votre patron. Dans un premier temps, vous serez plutôt à un poste qui vous convient et grâce auquel vous pourrez gravir les échelons dans le futur.Ainsi, lorsque vous parcourez les offres d’emploi, évitez toutes celles qui exigent au moins deux années d’expérience professionnelle, car vous avez de très petites chances d’être sélectionné. Anticipez en évitant les refus et les retours négatifs.

 

  1. Faites connaissance des métiers liés à votre formation …

Vous devez prendre le temps de vous renseigner sur les emplois qui vous intéressent, ou plus exactement sur ceux qui gravitent autour de votre branche de formation. Vous connaissez, par exemple, quelqu’un dans votre entourage qui a fait la même formation que vous ou qui connaissez le secteur qui vous passionne, prenez des renseignements auprès de lui. N’hésitez pas à entrer en contact avec les professionnels, ceux qui ont déjà reçu leur métier, ils seront ravis de vous répondre. Vous pouvez également vous informer auprès des anciens diplômés, de ceux de votre année, etc. Bref, Donnez-vous les chances de diversifier vos sources d’informations. 

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16Juil

Pourquoi avoir recours à un service d’outplacement ?

L’outplacement (ou reclassement) est un processus d’encadrement à la mobilité professionnelle. Il a pour objectif de rendre moins compliqué le mécanisme de rupture de contrat entre une entreprise et ses collaborateurs.

C’est un service de reclassement externe réalisé par un cabinet en ressources humaines. Il consiste à guider et accompagner l’ancien salarié dans la recherche de son nouvel emploi ou bien dans le lancement de sa propre activité. Le conseiller est à l’écoute du candidat et lui prodigue soutien, conseils et expertise

 

Processus d’évaluation et d’accompagnement

Tout nouveau départ commence par un bilan. Bilan des choses accomplies et de ce qui reste à faire. C’est exactement le même procédé avec l’outplacement. En effet, le consultant RH va aider l’employé à faire un bilan à la fois personnel et professionnel. Ainsi, tous deux pourront cerner d’où ce dernier vient en terme de parcours et toutes les possibilités qui pourraient s’offrir à lui.

Cela se fait en analysant d’abord le parcours du concerné afin de mieux le comprendre. Ensuite, le consultant aide l’ex-salarié à identifier ses points forts afin de les maximiser et de pouvoir mieux les utiliser à l’avenir. Les axes d’amélioration du candidat sont également analysés.

 

L’outplacement: coaching de transition et tremplin vers un nouvel emploi

Moments de notre carrière professionnelle peuvent être assez sensibles et déstabilisant. Une rupture de contrat ou un licenciement sont par exemple des événements difficiles qui peuvent facilement déboussoler tout salarié. 

Pour permettre au salarié de rebondir et de pouvoir s’orienter de façon efficace, le consultant va aussi endosser une fonction de coach. En plus du support technique, il y a une dimension humaine qui s’ajoute ici. Elle se traduit par l’écoute, la compréhension de la personnalité et du plein potentiel du candidat qui sont désormais au centre de la démarche de l’outplacement. On parle ici de coaching parce que le consultant cherche à améliorer les compétences et la performance du candidat. Que ce soit dans le cadre d’une reconversion à travers des formations ou un nouveau projet, l’objectif est d’armer le candidat pour se repositionner favorablement et durablement sur son marché.

L’outplacement est un véritable accélérateur de carrière. Il aide le bénéficiaire du service à faire les bons choix, en ayant à disposition tous les outils nécessaires. Le candidat évite ainsi les erreurs qu’il aurait pu commettre s’il n’était pas accompagné.

 

Les avantages de l’outplacement

L’entreprise, dans le but de se séparer d’un collaborateur dans les meilleures conditions, choisit elle-même le prestataire qui se chargera du service d’outplacement. 

L’outplacement est bénéfique aux cadres des entreprises car il leur permet de se repositionner rapidement après un licenciement. La période de chômage est ainsi réduite et le salaire peut se remettre en activité dans une courte période.

Il permet aussi au salarié de conserver son niveau de revenus ou même de l’augmenter. En effet, il est fréquent que les candidats accompagnés par un consultant en outplacement trouve un emploi mieux rémunéré que leur précédent. Faire confiance à un consultant en outplacement, c’est côté mettre toutes les chances de son pour obtenir un emploi en fonction de ses réelles capacités et expériences.   

L’outplacement est aussi très avantageux pour les entreprises. En facilitant le retour à l’emploi de ses salariés, celles-ci font preuve de responsabilité sociale. Elles soutiennent ainsi les efforts des gouvernements en contribuant à la réduction du chômage. 

Finalement, avoir recours à un service d’outplacement participe fortement à la bonne réputation de l’entreprise car celui-ci est perçu comme aidant les salariés dont il se sépare à retrouver un emploi. L’entreprise promeut ainsi des valeurs de respect, de considération et de reconnaissance des services et des efforts consentis par ses ex-salariés. 

09Juil

L’importance d’un service RH au sein d’une entreprise

La gestion des ressources humaines joue un rôle fondamental au sein des entreprises. En effet, c’est une fonction complexe et transversale qui doit être au cœur même de la stratégie de toute entreprise.

L’humain crée de la valeur, c’est la ressource la plus importante de toute compagnie. Et la mission la plus importante du service RH est adaptée à l’entreprise un capital humain efficace et épanoui.

 

La fonction DRH conçoit une stratégie de recrutement optimal

 

Les talents sont indispensables à la croissance. Mais aussi à l’évolution de toute structure en Afrique. Il faut donc pouvoir les attirer. Dans un premier temps, le ou les responsables du service RH constitue un diagnostic complet de l’entreprise afin de connaître ses besoins. Ainsi, ils élaborent une cartographie des emplois et des compétences. Cela se fait dans le mais avoir une vision claire et précise des talents (actuels et à venir). Il est aussi question ici de lister les compétences déjà présentes au sein de l’entreprise pour libérer leur potentiel. C’est un véritable travail de fond qui nécessite des mains expertes.

Une fois que le plan de recrutement est établi, il est maintenant le temps d’attirer les talents. Pour ce faire, les responsables du service RH vont devoir miser sur leur marque employeur et leur culture d’entreprise. Ces deux facteurs sont déterminants et permettent de se démarquer des autres employeurs en Afrique.

 

Gestion et fidélité des talents, rôle du service RH

 

Une fois le recrutement finalisé, la gestion mise en place par le service RH reste cruciale dans la cohésion de l’organisation.

La gestion du personnel, par exemple, est un facteur clé dans la bonne marche de toute entreprise. Il faut entre autre:

  • Établir la grille des salaires,
  • mettre en place les avantages sociaux,
  • suivre l’évolution des performances, en passant par l’évaluation et la formation … 

C’est donc un cycle complet qui s’enclenche et qui concerne aussi bien le quotidien que la vision à long terme. Ajouté à la gestion administrative du personnel, il faut aussi compter les gestions de crises (crise économique, sanitaire …). Ou encore les conflits internes qui peuvent surgir au sein de l’entreprise. Dans ces phases délicates aussi, les ressources humaines sont un acteur crucial.

Nous avons vérifié ainsi avec la pandémie du COVID-19. L’importance stratégique des RH n’est plus à démontrer. Il devient donc urgent pour les entreprises en Afrique de s’engager dès à présent à faire du service RH une fonction RH stratégique. 

 

 

La fonction RH, véritable levier de croissance pour les entreprises en Afrique

 

Bien plus qu’un simple département administratif de gestion des contrats, la fonction RH en Afrique est un véritable moteur d’évolution pour l’entreprise.

Pour atteindre son objectif de croissance, les responsables RH en Afrique ont d’abord pour mission, de construire la stratégie marketing de l’entreprise et de veiller au développement et au déploiement de la marque employeur. Ces deux branches concernent tout aussi bien la communication interne qu’externe de l’entreprise.

Tous ces éléments contribuent non seulement au bien-être des employés, mais aussi à un meilleur fonctionnement de l’entreprise et à sa bonne réputation.

Vous êtes débordé (e) ou peut-être avez-vous peu de connaissances dans ce domaine? N’hésitez pas à vous faire accompagner par un consultant expérimenté qui vous aide à construire votre stratégie RH et à la déployer.

En décidant ainsi d’en faire votre priorité, vous investissez dans le développement de votre entreprise. 

08Juil

Les ODD au cœur des nouvelles dynamiques de recrutement en Afrique

Les jeunes générations entrant sur le marché du travail ont des exigences nouvelles quant aux organisations avec elles souhaitent travailler. En témoignent, les plus de 32 000 signatures du Manifeste pour un réveil écologique. Cette pétition initiée en 2018 rencontre un succès fulgurant auprès des étudiants des grandes écoles, s’engagent par ce biais à prendre en compte la question de l’impact sur l’environnement dans le choix de leur futur employeur. C’est un changement considérable des mentalités sur le monde du travail: les jeunes talents souhaitent de plus en plus que leurs préoccupations sociales et environnementales soient respectées par leurs employeurs.

 

En Afrique plus particulièrement, ces enjeux de responsabilité sociétale (RSE) sont tirés par les nouveaux entrepreneurs notamment engagés dans l’économie sociale et solidaire, ainsi que les «repats»: la diaspora ayant grandi et fait ses études à l’étranger désormais de retour sur le continent. Les attentes des nouvelles générations africaines quant à ces enjeux sont si importants que les grandes écoles sur le continent les intègrent à leurs programmes. Ainsi à ESSEC Afrique les étudiants peuvent désormais étudier le développement durable là où ceux d’HEC Afrique peuvent choisir le programme «Leadership durable». La mise en place de pratiques RSE par les entreprises constitue donc un facteur d ‘

 

Dès lors, si les organisations entendent recruter les meilleurs talents, elles doivent de modifier leurs pratiques RH vers un modèle plus respectueux des préoccupations sociales et environnementales. Concrètement, il s’agit pour ces dernières études d’une politique RSE robuste alignée sur la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) proposée par les Nations Unies pour l’horizon 2030, comprenant notamment le prix en compte de mesures relatives à la lutte contre le changement climatique, la mise en place d’énergies propres, l’égalité des sexes ou encore la décence du travail de chacun des partis pour l’organisation. Sur le continent africain, bien qu’une hausse des initiatives soit observable, ces enjeux RSE sont encore trop peu développés ce qui peut s ‘

Alors que 70% de la diaspora envisage un jour de rentrer sur le continent, la difficulté à rencontrer des entreprises respectueuses de leurs convictions sociales et environnementales peut y constituer un frein considérable.

 

Face à ce constat, Talent2Africa souhaite sensibiliser les employeurs à l’émergence de ces enjeux et aux opportunités relatives à leur mise en œuvre au sein de l’entreprise, notamment en terme d’attractivité pour le recrutement des talents. L’engagement de Talent2Africa sur ces enjeux de RSE et d’ODD se traduit par des initiatives de solidarité telles que «Africa Diaspora Fights Coronavirus» visant à collecter des fonds pour aider quatre pouponnières au Sénégal. Mais également par son implication dans  Africa Mutandi, une initiative globale à l’attention des parties pour le développement durable en Afrique. L’objectif d’Africa Mutandi est de porter les stratégies inclusives et l’innovation sociétale des acteurs publics et privés au service des ODD sur le continent. C’est donc tout naturellement que Talent2Africa et Africa Mutandi se sont devenus partenaires en se retrouvant autour de cette vision commune de l’avenir du continent.

Pour plus d’informations sur la question des ODD:

https://africamutandi.com/ odd4africa /