
Après l’inclusion et la diversité, un nouveau mot d’ordre s’impose dans le management mondial : le sentiment d’appartenance. Et en Afrique, ce concept prend une résonance particulière, car il renvoie à l’ancrage culturel, communautaire et identitaire.
Les grandes enquêtes RH (Top Employers, Deloitte Human Capital Trends) convergent : un collaborateur qui se sent appartenir à une communauté est plus engagé, plus loyal, et plus productif. La quête de sens se double d’une quête de lien.
Dans des organisations marquées par la diversité linguistique, ethnique et générationnelle, le « belonging » devient un facteur stratégique de cohésion. Des entreprises ivoiriennes mettent en place des “cercles de dialogue intergénérationnels”. À Dakar, certaines start-ups instaurent des rituels d’équipe hebdomadaires pour renforcer la culture commune.
Clés pour les DRH :
- Instituer des rites collectifs (petits-déjeuners, storytelling, moments de célébration),
- Valoriser les identités diverses comme richesse,
- Mettre en place des groupes d’intérêt transverses (innovation, sport, environnement).
L’appartenance ne se décrète pas, elle se construit. Les DRH qui réussissent créent des espaces où chacun peut se sentir reconnu dans sa singularité tout en contribuant à un projet commun.
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