14Jan

Une chose que les entrepreneurs à succès font quand ils recrutent

Dans le monde effréné de l’entrepreneuriat et des affaires, où les stratégies évoluent, les technologies progressent et les marchés changent, une vérité intemporelle demeure constante : les personnes sont au cœur de toute entreprise réussie. Le voyage pour bâtir une grande entreprise commence par l’assemblage de la bonne culture, et c’est le mélange de personnes qui détermine si cette culture prospère ou périclite.

Dans les annales de l’histoire des entreprises, existe une histoire remarquable d’un PDG qui a porté cette croyance à un niveau sans précédent, redéfinissant le rôle du leadership dans la création de la culture d’une entreprise. Dan Serfaty, l’ancien PDG et co-fondateur de Viadeo, est apparu non seulement comme un entrepreneur visionnaire, mais aussi comme un leader profondément engagé dans la culture extraordinaire de son entreprise.

La première vague d’employés est souvent considérée comme cruciale dans la trajectoire d’une startup, et il n’est pas rare que les fondateurs ou les PDG interviewent personnellement quelques-uns d’entre eux pour s’assurer qu’ils sont alignés sur la vision de l’entreprise. Cependant, Dan Serfaty a brisé toutes les normes en menant lui-même des entretiens avec chacun des 300 premiers employés de Viadeo. Ce nombre impressionnant d’entretiens d’embauche témoigne de son engagement inébranlable à cultiver une culture qui distinguera Viadeo dans le paysage concurrentiel de l’époque.

Pourquoi Dan l’a fait ? Il a compris que le groupe initial n’était pas seulement composé d’employés ; ce sont les « co-fondateurs culturels » de l’entreprise. Ces individus jouent un rôle central en donnant le ton, en imprégnant le comportement et en inculquant des valeurs qui définiront l’identité de l’organisation. Leur influence s’étend bien au-delà de leurs descriptions de poste, car ils deviennent les architectes de la culture qui peut propulser l’entreprise vers le succès ou entraver sa croissance.

La recherche de Dan allait au-delà des qualifications et des compétences traditionnelles. Alors que les compétences et l’expérience étaient essentielles aux premières étapes du processus de sélection des candidats, il recherchait quelque chose de plus profond, d’incertain : le concept insaisissable de « l’adéquation culturelle ». L’adéquation culturelle varie d’une entreprise à l’autre, car chaque organisation a ses propres idéaux et valeurs uniques. Ce qui pourrait être une adéquation parfaite de « 10 » pour une entreprise pourrait être un « 0 » pour une autre. Certaines entreprises apprécient les esprits libres qui remettent en question le statu quo, tandis que d’autres recherchent des employés qui suivent avec diligence des voies prescrites. Certaines valorisent la franchise et la transparence, tandis que d’autres favorisent la diplomatie et la tactique.

La principale leçon à retenir est que la responsabilité de définir et de favoriser la bonne culture incombe à la direction de l’entreprise. C’est un rappel profond que, quelles que soient les attributs ou les qualités spécifiques recherchés chez les futurs employés, la décision finale repose sur ceux qui dirigent. La construction d’une grande entreprise ne se limite pas au produit ou au service qu’elle offre ; elle repose sur les personnes qui façonnent sa culture et en assurent le succès.

À une époque où les stratégies commerciales peuvent évoluer rapidement, la leçon durable de l’approche exceptionnelle de Dan Serfaty était claire : la recherche du bon mélange de personnes et la culture cohérente sont essentielles pour bâtir une grande entreprise. L’héritage d’un PDG qui a interviewé des centaines d’employés va au-delà de Viadeo ; il sert d’inspiration à tous les dirigeants qui comprennent que, dans la grande fresque des affaires, la culture est le fil qui la maintient unie.

Alors que nous naviguons dans les complexités de l’environnement commercial moderne, n’oublions pas que le fait de se tourner vers le passé peut souvent éclairer le chemin vers un avenir meilleur. Dans ce contexte, la nostalgie est une précieuse lentille à travers laquelle nous pouvons apprécier l’importance durable des personnes, de la culture et des valeurs dans nos organisations

14Jan

Les erreurs de recrutement peuvent coûter cher. Comment les minimiser ? 

La chasse aux talents est une quête constante pour toute entreprise qui vise l’excellence. En partenariat avec des chasseurs de talents de confiance, les organisations cherchent à constituer une shortlist de candidats exceptionnels. Mais comment distinguer les meilleurs parmi cette sélection minutieuse ?

Le choix du chasseur de talents est le premier maillon de cette chaîne. Un chasseur de talents de confiance est celui qui comprend non seulement le profil de l’entreprise, mais qui est également capable de cerner la culture, la mission et les valeurs qui animent l’entreprise. Ils ne se contentent pas de chercher des compétences, mais ils cherchent des personnalités qui s’intégreront harmonieusement dans l’écosystème de l’entreprise.

La Shortlist, la Crème de la Crème :

La shortlist, c’est le fruit de l’expertise du chasseur de talents. C’est une sélection resserrée de candidats qui répondent aux critères les plus exigeants. Ces individus sont les diamants bruts qui ne demandent qu’à être polis pour briller au sein de votre entreprise.

Cependant, la shortlist peut parfois sembler déroutante. Tous les candidats y sont présentés avec leur lot de compétences, d’expériences et de références impressionnantes. Comment distinguer les meilleurs parmi les meilleurs ?

Les Signes Révélateurs des Perles Rares :

  • La Passion et la Motivation : Les meilleurs talents sont ceux qui sont passionnés par ce qu’ils font. Ils ne voient pas leur travail comme une simple tâche à accomplir, mais comme une opportunité de contribuer à quelque chose de plus grand. Ils sont animés par la motivation intrinsèque et sont prêts à aller au-delà de l’appel du devoir.
  • L’Adaptabilité : Dans un monde en constante évolution, les meilleurs candidats sont ceux qui peuvent s’adapter rapidement aux changements. Ils sont flexibles, ouverts au changement et ont une soif d’apprentissage inextinguible.
  • L’Esprit d’Équipe : L’excellence ne se fait pas en solitaire. Les meilleurs talents sont des collaborateurs exceptionnels. Ils sont capables de travailler harmonieusement avec leurs pairs, de partager des idées et de contribuer à une culture d’entreprise positive.
  • La Créativité : L’innovation est le moteur de la croissance. Les meilleurs talents sont souvent ceux qui apportent une perspective nouvelle et créative à leurs fonctions. Ils ne se contentent pas de suivre les normes établies, ils cherchent à les dépasser.
  • L’Intégrité : Un bon caractère est inestimable. Les meilleurs talents sont ceux qui agissent avec intégrité, honnêteté et éthique. Ils sont dignes de confiance et sont des modèles de comportement professionnel.

L’Entretien, le Moment de Vérité :

L’entretien est le moment où vous pouvez vraiment distinguer les meilleurs talents de la shortlist. Posez des questions qui mettent en lumière leur passion, leur adaptabilité, leur esprit d’équipe, leur créativité et leur intégrité. Écoutez attentivement leurs réponses et cherchez des exemples concrets de situations passées où ils ont fait preuve de ces qualités.

La Référence, la Dernière Étape :

N’oubliez pas de consulter leurs références. Les anciens employeurs, collègues et superviseurs peuvent vous donner un aperçu précieux de la façon dont ces candidats se sont comportés dans des environnements de travail réels. Recherchez des preuves supplémentaires de leurs compétences et de leur caractère exceptionnels.

Identifier les meilleurs talents dans une shortlist est un art autant qu’une science. Cela nécessite une compréhension approfondie de ce que vous recherchez, ainsi qu’une capacité à repérer les signes révélateurs de l’excellence. En collaborant avec un chasseur de talents de confiance, en menant des entretiens approfondis et en consultant des références, vous pouvez être sûr de choisir les diamants les plus précieux pour enrichir votre entreprise. Les meilleurs talents sont la pierre angulaire de la réussite, alors choisissez-les avec soin pour bâtir un avenir prospère.

03Mai

La fintech africaine s’attaque aux défis du continent.

  • En Afrique, les transactions enregistrées par les acteurs de la fintech connaissent une hausse spectaculaire.
  • En 2021, 63 % des financements en faveur du secteur technologique sont allés à la fintech.
  • La croissance de la fintech contribue à améliorer l’inclusion financière.

Lorsqu’en 2020, le Nigéria est entré en confinement pour enrayer la propagation du coronavirus, Michael Terver a réussi à maintenir à flot son petit cybercafé, mais aussi à venir en aide à ses amis et clients confrontés aux difficultés nouvelles engendrées par la pandémie. Il y est parvenu grâce à un partenariat avec une société offrant des services bancaires électroniques.

Avant la pandémie de COVID-19, la plupart des clients du cybercafé, dépourvus de compte en banque, préféraient effectuer leurs achats ou leurs ventes en argent liquide. Mais à l’heure où la distanciation sociale interdisait d’effectuer « en main propre » la plupart des transactions, ils ont pu passer au numérique à l’aide d’un système en ligne intégré, permettant depuis le café de régler des factures, d’effectuer des dépôts ou des virements, ou encore de faire des demandes de microcrédit.

Baptisé Quickteller Paypoint, ce système avait été lancé en 2016 par Interswitch, une société fintech nigériane, afin d’aider les particuliers ainsi que les micro- et petites entreprises à adopter les transactions dématérialisées.

« L’accès à Quickteller Paypoint depuis mon établissement a changé la donne, raconte Michael Terver. À cause du confinement, les entreprises ne pouvaient fonctionner comme d’habitude, ce qui a affecté les paiements en espèces. Notre point d’accès Quickteller a automatiquement remplacé les transactions en espèces, car ce qui comptait le plus, c’était de rester en sécurité. »

L’histoire de Michael Terver témoigne d’un phénomène de plus grande ampleur. Alliance de la finance et de la technologie, la fintech transforme à vive allure la façon dont les particuliers et les entreprises effectuent des transactions, notamment en Afrique. C’est en Afrique du Nord et au Moyen-Orient que le volume des transactions enregistrées par les acteurs de la fintech a connu récemment la plus forte croissance au monde, avec 40 % d’augmentation en 2020, tandis que l’Afrique subsaharienne, avec une hausse de 21 % sur la même période, se situait au même niveau que l’Amérique du Nord.

Depuis dix ans, la fintech a permis à 1,2 milliard de personnes dépourvues de compte bancaire d’accéder à des services financiers, soit une réduction de 35 % de la population non bancarisée dans le monde. Avec ce développement de l’inclusion financière, les particuliers et les petits entrepreneurs sont plus nombreux à épargner, à recevoir des versements de l’État, à mener une activité commerciale et à mettre leurs salaires en sécurité.

« Les investissements dans la fintech augmentent beaucoup plus vite dans les marchés émergents que dans les marchés développés, parce qu’ils comblent un manque vital. Nous pensons que cette croissance va se poursuivre, explique Aliou Maïga, directeur régional Afrique pour la division Institutions financières d’IFC. Pour la première fois, des microentreprises et des particuliers disposant d’actifs financiers très limités peuvent mettre leur épargne en sécurité, effectuer des virements sans frais exorbitants et même souscrire à des petits prêts qui leur permettront d’accroître leurs revenus. Cela constitue un véritable tournant dans nos efforts en faveur de l’inclusion financière et de l’éradication de l’extrême pauvreté. »

Une bonne marge de croissance

Le marché africain de la fintech dispose d’une bonne marge de croissance. En effet, seuls 20 % environ des adultes d’Afrique subsaharienne possèdent une carte de débit ou de crédit, contre plus de 80 % dans les économies développées. L’argent liquide règne toujours dans de nombreuses zones rurales ou urbaines mal desservies, une situation qui engendre des surcoûts, des difficultés pour acheter ou vendre des marchandises, et une plus forte exposition des populations au vol et à la fraude.

Les banques traditionnelles ont été peu enclines à offrir des services à des particuliers ne disposant que de petits revenus et peu d’épargne. Pourtant, ces millions de personnes non bancarisées représentent une importante force économique dont le secteur de la finance numérique peut tirer parti.

La multitude de petites entreprises présentes sur le continent peut, elle aussi, bénéficier des avantages de la fintech. Selon les estimations de la Banque mondiale, les PME représentent 90 % du nombre total d’entreprises, comptent un milliard de clients et créent sept emplois sur dix.

Par ailleurs, le continent se caractérise par un vaste secteur d’entreprises informelles et de microentreprises, que la pandémie a particulièrement touchées. Durant la crise, la fintech a aidé les microentreprises et les PME à garder la tête hors de l’eau en leur offrant la possibilité d’effectuer de petites transactions en ligne et en proposant des microcrédits et des plateformes de paiement électroniques.

En Afrique du Sud, par exemple, Adumo, une société soutenue par IFC, permet à de petites entreprises de se développer en se mettant au paiement numérique.

La croissance du secteur s’est poursuivie en 2021 : un rapport indique que le financement du secteur technologique par le capital-risque en Afrique a triplé pour dépasser les 5 milliards de dollars, devançant ainsi toutes les autres régions du monde. La majorité de ces fonds – 63 %, soit 3,3 milliards de dollars – sont allés à la fintech.

IFC a été un investisseur de premier plan sur le marché africain de la fintech. Elle a notamment investi dans Interswitch, dans Fawry, une plateforme de paiement en ligne égyptienne, dans Wave, un prestataire de services de mobile money en Afrique de l’Ouest, dans les entreprises sud-africaines  Adumo et Lulalend, et dans TerraPay, un acteur panafricain spécialisé dans les infrastructures de

Un élan propulsé par la pandémie

Si la fintech existe depuis le début des années 1990, la pandémie de COVID-19 a favorisé le développement de ses services aux populations non bancarisées et vulnérables, en particulier au moment où les confinements limitaient les transactions en espèces. Selon une enquête menée par la Banque mondiale et d’autres partenaires, les deux tiers des sociétés fintech interrogées à travers le monde indiquent avoir modifié leur modèle économique lors de la crise en diminuant leurs tarifs, en révisant leurs critères d’attribution de prêts et en assouplissant les conditions de paiement.

Par exemple, TerraPay a étendu ses activités à l’Amérique du Nord afin de permettre aux Africains travaillant à l’étranger d’effectuer des virements dans les 24 heures à un coût abordable. Également pendant la pandémie, Tutuka, géant de la fintech, qui a depuis fusionné avec Paymentology, a développé son offre de cartes virtuelles pour répondre à la demande des entreprises et des administrations publiques pour des solutions leur permettant de payer les employés travaillant à distance et de verser les aides publiques ou les indemnités d’assurance.

IFC soutient ces services fintech, et d’autres, via un investissement direct et indirect dans des fonds tels que HeliosPartech ou Apis Partners. Interswitch, par exemple, bénéficie de financements d’Helios et de LeapFrog.

Dans les prochaines années, la fintech deviendra partie encore plus intégrante des économies africaines, les entreprises comme les clients reconnaissant les avantages à long terme que présentent les transactions numériques.

Selon un rapport de McKinsey publié en août, la fintech permet en effet d’offrir des services plus abordables aux clients. « Les frais de transactions peuvent être jusqu’à 80 % moins élevés, et les intérêts sur les comptes d’épargne jusqu’à trois fois plus élevés que ceux des acteurs traditionnels. Quant aux transferts d’argent, ils coûtent jusqu’à six fois moins cher, » explique ainsi le rapport.

Lulalend, qui permet à de petites entreprises d’effectuer des demandes de financement en ligne, considère que la fintech jouera un rôle primordial dans la croissance future du continent.

« La fintech est en train de transformer l’Afrique, car grâce à elle, les entreprises peuvent gérer leur trésorerie mieux que jamais. Chaque entreprise a ainsi toutes les chances de succès, explique Trevor Gosling, son PDG. Et une entreprise qui réussit fait progresser l’économie et crée de l’emploi. »

Source : https://www.ifc.org/wps/wcm/connect/news_ext_content/ifc_external_corporate_site/news+and+events/news/african-fintech-rises-to-the-challenge-fr

16Juil

Pourquoi avoir recours à un service d’outplacement ?

L’outplacement (ou reclassement) est un processus d’encadrement à la mobilité professionnelle. Il a pour objectif de rendre moins compliqué le mécanisme de rupture de contrat entre une entreprise et ses collaborateurs.

C’est un service de reclassement externe réalisé par un cabinet en ressources humaines. Il consiste à guider et accompagner l’ancien salarié dans la recherche de son nouvel emploi ou bien dans le lancement de sa propre activité. Le conseiller est à l’écoute du candidat et lui prodigue soutien, conseils et expertise

 

Processus d’évaluation et d’accompagnement

Tout nouveau départ commence par un bilan. Bilan des choses accomplies et de ce qui reste à faire. C’est exactement le même procédé avec l’outplacement. En effet, le consultant RH va aider l’employé à faire un bilan à la fois personnel et professionnel. Ainsi, tous deux pourront cerner d’où ce dernier vient en terme de parcours et toutes les possibilités qui pourraient s’offrir à lui.

Cela se fait en analysant d’abord le parcours du concerné afin de mieux le comprendre. Ensuite, le consultant aide l’ex-salarié à identifier ses points forts afin de les maximiser et de pouvoir mieux les utiliser à l’avenir. Les axes d’amélioration du candidat sont également analysés.

 

L’outplacement: coaching de transition et tremplin vers un nouvel emploi

Moments de notre carrière professionnelle peuvent être assez sensibles et déstabilisant. Une rupture de contrat ou un licenciement sont par exemple des événements difficiles qui peuvent facilement déboussoler tout salarié. 

Pour permettre au salarié de rebondir et de pouvoir s’orienter de façon efficace, le consultant va aussi endosser une fonction de coach. En plus du support technique, il y a une dimension humaine qui s’ajoute ici. Elle se traduit par l’écoute, la compréhension de la personnalité et du plein potentiel du candidat qui sont désormais au centre de la démarche de l’outplacement. On parle ici de coaching parce que le consultant cherche à améliorer les compétences et la performance du candidat. Que ce soit dans le cadre d’une reconversion à travers des formations ou un nouveau projet, l’objectif est d’armer le candidat pour se repositionner favorablement et durablement sur son marché.

L’outplacement est un véritable accélérateur de carrière. Il aide le bénéficiaire du service à faire les bons choix, en ayant à disposition tous les outils nécessaires. Le candidat évite ainsi les erreurs qu’il aurait pu commettre s’il n’était pas accompagné.

 

Les avantages de l’outplacement

L’entreprise, dans le but de se séparer d’un collaborateur dans les meilleures conditions, choisit elle-même le prestataire qui se chargera du service d’outplacement. 

L’outplacement est bénéfique aux cadres des entreprises car il leur permet de se repositionner rapidement après un licenciement. La période de chômage est ainsi réduite et le salaire peut se remettre en activité dans une courte période.

Il permet aussi au salarié de conserver son niveau de revenus ou même de l’augmenter. En effet, il est fréquent que les candidats accompagnés par un consultant en outplacement trouve un emploi mieux rémunéré que leur précédent. Faire confiance à un consultant en outplacement, c’est côté mettre toutes les chances de son pour obtenir un emploi en fonction de ses réelles capacités et expériences.   

L’outplacement est aussi très avantageux pour les entreprises. En facilitant le retour à l’emploi de ses salariés, celles-ci font preuve de responsabilité sociale. Elles soutiennent ainsi les efforts des gouvernements en contribuant à la réduction du chômage. 

Finalement, avoir recours à un service d’outplacement participe fortement à la bonne réputation de l’entreprise car celui-ci est perçu comme aidant les salariés dont il se sépare à retrouver un emploi. L’entreprise promeut ainsi des valeurs de respect, de considération et de reconnaissance des services et des efforts consentis par ses ex-salariés. 

09Juil

L’importance d’un service RH au sein d’une entreprise

La gestion des ressources humaines joue un rôle fondamental au sein des entreprises. En effet, c’est une fonction complexe et transversale qui doit être au cœur même de la stratégie de toute entreprise.

L’humain crée de la valeur, c’est la ressource la plus importante de toute compagnie. Et la mission la plus importante du service RH est adaptée à l’entreprise un capital humain efficace et épanoui.

 

La fonction DRH conçoit une stratégie de recrutement optimal

 

Les talents sont indispensables à la croissance. Mais aussi à l’évolution de toute structure en Afrique. Il faut donc pouvoir les attirer. Dans un premier temps, le ou les responsables du service RH constitue un diagnostic complet de l’entreprise afin de connaître ses besoins. Ainsi, ils élaborent une cartographie des emplois et des compétences. Cela se fait dans le mais avoir une vision claire et précise des talents (actuels et à venir). Il est aussi question ici de lister les compétences déjà présentes au sein de l’entreprise pour libérer leur potentiel. C’est un véritable travail de fond qui nécessite des mains expertes.

Une fois que le plan de recrutement est établi, il est maintenant le temps d’attirer les talents. Pour ce faire, les responsables du service RH vont devoir miser sur leur marque employeur et leur culture d’entreprise. Ces deux facteurs sont déterminants et permettent de se démarquer des autres employeurs en Afrique.

 

Gestion et fidélité des talents, rôle du service RH

 

Une fois le recrutement finalisé, la gestion mise en place par le service RH reste cruciale dans la cohésion de l’organisation.

La gestion du personnel, par exemple, est un facteur clé dans la bonne marche de toute entreprise. Il faut entre autre:

  • Établir la grille des salaires,
  • mettre en place les avantages sociaux,
  • suivre l’évolution des performances, en passant par l’évaluation et la formation … 

C’est donc un cycle complet qui s’enclenche et qui concerne aussi bien le quotidien que la vision à long terme. Ajouté à la gestion administrative du personnel, il faut aussi compter les gestions de crises (crise économique, sanitaire …). Ou encore les conflits internes qui peuvent surgir au sein de l’entreprise. Dans ces phases délicates aussi, les ressources humaines sont un acteur crucial.

Nous avons vérifié ainsi avec la pandémie du COVID-19. L’importance stratégique des RH n’est plus à démontrer. Il devient donc urgent pour les entreprises en Afrique de s’engager dès à présent à faire du service RH une fonction RH stratégique. 

 

 

La fonction RH, véritable levier de croissance pour les entreprises en Afrique

 

Bien plus qu’un simple département administratif de gestion des contrats, la fonction RH en Afrique est un véritable moteur d’évolution pour l’entreprise.

Pour atteindre son objectif de croissance, les responsables RH en Afrique ont d’abord pour mission, de construire la stratégie marketing de l’entreprise et de veiller au développement et au déploiement de la marque employeur. Ces deux branches concernent tout aussi bien la communication interne qu’externe de l’entreprise.

Tous ces éléments contribuent non seulement au bien-être des employés, mais aussi à un meilleur fonctionnement de l’entreprise et à sa bonne réputation.

Vous êtes débordé (e) ou peut-être avez-vous peu de connaissances dans ce domaine? N’hésitez pas à vous faire accompagner par un consultant expérimenté qui vous aide à construire votre stratégie RH et à la déployer.

En décidant ainsi d’en faire votre priorité, vous investissez dans le développement de votre entreprise. 

17Mai

Trouvez le talent qu’il vous faut

Selon le PWC Global Talent Survey ,90% des CEOs africains ont du mal à recruter rencontrant 3 défis majeurs:

1- Qualité: Des profils reçus qui ne répondent pas à vos attentes

2- Temps: Un processus de qualification et de sélection des CV reçus qui nécessitent temps et expertise

3- Coût : Des offres externes de type chasse de tête coûteuses

En tant qu’acteur majeur de l’emploi cadre en Afrique, nous voulons contribuer de manière décisive au développement des économies africaines en connectant entreprises et talents pour une croissance africaine accélérée.

C’est ainsi que nous avons lancé début 2020 notre offre hybride alliant Technologie et accompagnement humain:

1- Une plateforme innovante et agile qui combine:

  • Intelligence artificielle pour une présélection des profils les plus pertinents pour vous

  • Une base panafricaine de profils qualifiés correspondant à vos besoins et présentant l’expérience, la personnalité et la motivation des candidats

  • Des profils certifiés par nos soins ou via nos partenaires

2-Un consultant dédié, pour un accompagnement continu et quotidien qui vous accompagnera sur l’ensemble des tâches en lien avec vos besoins en recrutement

  • Tri de CVs

  • Création de shortlists pour des postes précis

  • Participation à des entretiens en ligne

  • Contrôle de références(diplômes, expériences, etc.)

Notre vivier de talents entièrement à votre disposition

Talents africains basés en Afrique: L’Afrique est notre domaine de prédilection. Nous connaissons les réalités des marchés et vous conseillons pas à pas sur les meilleures pratiques (salariales, positionnement et marque employeur, etc.)

Talents africains de la Diaspora: Nous avons développé une expertise unique dans l’attraction de talents de la Diaspora africaine et sommes identifiés comme La Plateforme de référence pour ceux qui souhaitent saisir des opportunités en Afrique.

Talents Internationaux/Globalistas: Nous savons également identifier tous les autres talents internationaux intéressés par l’Afrique :expatriés “new age”, candidats biculturels ou binationaux, etc.

Une base représentative des besoins du marché

  • 30% de profils Juniors professionnels (<2 ans d’expérience)

  • 50% de profils Mid-level & Experts (entre 3 et 10 ans d’expérience)

  • 20% de profils C-level (> 10 ans d’expérience)

 

Une approche simple et adaptée à vos besoins

1- Postez vos offres

Postez autant d’offres d’emplois que vous le souhaitez afin de recevoir les candidatures pertinentes de cadres locaux, régionaux ou de la Diaspora.

2- Nous filtrons et  pré-sélectionnons

Notre puissant algorithme de matching nous permet d’identifier des profils adaptés à vos besoins que nous analysons et pré sélectionnons pour vous

3- Vous hésitez  sur le choix d’un candidat?

Votre consultant dédié vous assistera sur le tri des candidats, la gestion des entretiens, les contrôles de références ou tout autre besoin qui pourrait vous aider à prendre la bonne décision.

 

Vous cherchez à recruter? 

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22Oct

Recruteurs, le saviez-vous ? Un candidat déçu est un client perdu

La porosité des frontières entre la vie professionnelle et la vie personnelle n’est plus une idée à débattre, mais un constat à faire. Il est, en effet,  à peine inutile de préciser que démêler les relations de travail de celles qui relèvent de la vie privée n’est pas toujours évident, bien que souhaitable dans l’absolu. Notre  expérience professionnelle vécue avec une entreprise, peut façonner, en grande partie, notre perception de celle-ci. 

Le fait, par exemple, pour un chercheur d’emploi,  de voir sa candidature au sein d’une entreprise non prise en compte ou banalisée, peut être à l’origine d’une certaine frustration qui fera de ce candidat un client ou un consommateur de moins pour l’entreprise concernée.   Les entreprises ne s’en rendent pas compte ou n’y attachent pas beaucoup d’importance. Pourtant, il s’agit d’une donne importante à ne pas négliger. 

Des  études sérieuses ont révélé l’ampleur de cette question. Ces dernières ont  aboutie à la conclusion surprenante qu’un candidat déçu est un client potentiellement perdu. En effet, la plupart  des candidats sondés avouent être impactés en tant que consommateurs par leur expérience candidat. L’expérience candidat, à l’occasion d’un potentiel recrutement, a des répercussions certaines sur l’image globale de l’entreprise. Une candidature mal considérée change ainsi leur regard de consommateur au grand dam de l’entreprise. 

Certains spécialistes s’étant penché sur la question en déduisent  que la marque est devenue un tout où les RH et le marketing ne sont plus dissociés.  Il en résulte, pour l’entreprise, l’obligation de ne plus banaliser l’expérience candidat sous peine  de voir sa réputation globale en pâtir et de voir également une bonne partie de ses consommateurs se détourner d’elle.

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises envoient des réponses automatiques aux mails des différents candidats. Il s’agit certes d’un début de solution, mais  qui reste quand même insuffisant dans la mesure où ce format impersonnel donne l’impression aux candidats de ne pas avoir eu de retour. 

Certains  spécialistes suggèrent ainsi une  personnalisation systématique des messages afin  d’expliquer au candidat les raisons pour lesquelles sa candidature n’a pas reçu une suite favorable. Les motifs du refus sont variés. Il peut s’agir d’une expérience professionnelle jugée insuffisante, d’un poste déjà pourvu, etc. 

Quoi qu’il en soit, une  candidature restée lettre morte impacte négativement sur l’image que les candidats ont  de l’entreprise. Tâchez alors d’y remédier du mieux que vous pouvez !

Vous pouvez aussi consulter Bien s’intégrer dans une nouvelle entreprise : les astuces indispensables

14Oct

Bien s’intégrer dans un nouvel emploi en Afrique

Après plusieurs entretiens d`embauche, vous venez enfin de décrocher le job de vos rêves. Vous avez procédé avec enthousiasme à la  signature de votre contrat. Pour autant, tout n’est pas encore joué. Il vous reste une autre étape, tout aussi importante que celle précédente, c`est à dire réussir votre intégration votre nouvelle  entreprise.

Cette étape apparemment simple ne l’est pas en réalité, car il va de soi que s’adapter à un   univers inconnu n`est pas chose aisée surtout pour ceux qui viennent de découvrir le monde du travail.  C`est la raison pour laquelle, il n’est pas sans intérêt de s’intéresser aux recettes nécessaires, pour  parvenir à s’intégrer dans un cadre de travail nouveau.

De prime abord, l’une des choses les plus importantes pour une personne qui intègre une nouvelle entreprise,  c`est de se faire une idée exacte des enjeux de celle-ci. Faute de quoi, il sera difficile s’y adapter convenablement.  Ainsi, pour Catherine Berliet, coach et co-auteure de Manager au quotidien, trois étapes sont fondamentales pour réussir à s’intégrer dans une nouvelle entreprise.

La première consiste, tout d`abord,  selon elle, à bien se préparer à son futur emploi,  en relisant en détail ses fiches de poste, afin de connaître très précisément ses paramètres d’action.  

La deuxième étape consiste ensuite,  à réaliser un SWOT, un acronyme dérivé de l’anglais pour Strenghts (forces), Weaknesses (faiblesses), Opportunities (opportunités) et Threats (menaces). L`idée est de formaliser par écrit les points nécessaires pour être rapidement opérationnel dans votre nouvel emploi.

Enfin le troisième point consiste, toujours selon Catherine Berliet,  à s`intéresser aux « Totems et Tabous ». A l’en croire, cela concerne tout l’aspect culturel de l’entreprise, ses valeurs, sa genèse etc…  Plus concrètement, il s’agira pour le nouvel arrivant, d’observer le dress-code en vigueur, la façon dont les gens se parlent et leur mode de fonctionnement en interne.

Durant cette phase d’intégration,  il est essentiel de s’ouvrir aux autres,   d’aller vers eux pour faciliter le contact et la communication. Cela est d’autant plus important  que durant les premiers jours, vous serez forcément jugé par vos nouveaux collaborateurs. Soyez donc sympathique et ouvert, sans vous mettre en avant de manière arrogante.

 

Vous pouvez également lire Afrique Quand l’intelligence artificielle est source d’effervescence entrepreneuriale.

11Oct

L’intelligence artificielle en Afrique

L’intelligence artificielle s’est, aujourd’hui, invitée dans notre quotidien, en s’y taillant une place ce choix. Cette logique est vertigineuse. C’est l’avenir de la planète qui se joue avec l’IA. Celui qui deviendra leader, en la matière, sera le maître du monde, présidait le président russe, Vladimir Poutine. 

Dans le monde du travail, si d’aucuns ressentent une certaine crainte à son égard, d’autres y voient une aubaine. En Afrique, l’intelligence artificielle a transformé les habitudes. Dans cette partie du monde, de plus en plus de jeune ont saisi la balle au rebond pour bénéficier pleinement de tous les avantages qu’offre l’IA. Il s’est donc produit, en d’autres termes, une sorte d’effervescence entrepreneuriale sur le continent noir, avec l’avènement de l’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle (IA) est constituée par un ensemble de fonctions que l’ordinateur est à même d’accomplir mieux qu’un cerveau ou l’intelligence humaine. Il en est ainsi, par exemple, de l’analyse de masses colossales de données, afin de procéder à une évaluation des risques. L’IA permet à la machine d’apprendre toute seule de ces masses de données pour s’améliorer.

Face à l’énorme potentiel qu’offre l’IA, l’Afrique entend bien s’y accrocher pour ne pas rater la marche du monde, comme en atteste l’investissement de plus en plus import, dans le domaine. Du domaine de la santé, à l’éducation, en passant par l’environnement, les applications grand public s’appuyant sur l’IA ont le vent en poupe dans une Afrique où le smartphone connaît une croissance exponentielle.

D’ailleurs, à en croire Koundi, associé chez Deloitte Afrique, le nombre d’appareils qui est de 350 millions actuellement, devrait doubler d’ici à 2020 en Afrique. Les prix ont chuté de 80 à 30 dollars, à peine deux ans, grâce notamment à l’apparition d’appareils spécialement conçus pour l’Afrique.

 Fort de ce constat, Betelhem Dessie a pu évoquer que l’IA pourrait ainsi être le levier qui permettra au continent africain de se hisser au rang des pays du Nord. Il s’agirait en quelque sorte, d’une sorte d’accélérateur de développement qui oubliera que l’Afrique a fait l’impasse sur les deux premières révolutions, l’industrielle et la postindustrielle.

A l’instar des autres régions de la planète, l’Afrique subit les conséquences de l’IA sur son marché du travail. Aujourd’hui, malgré les nombreux avantages qu’offre celle-ci, elle risque de disparaître beaucoup d’emplois en Afrique. C’est d’ailleurs là, l’un des principaux soucis des détracteurs de cette donne révolutionnaire. Cependant, malgré les craintes qu’elle nourrit, l’IA est bien accueillie sur le continent noir.

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09Oct

Relations professionnelles : comment gérer un collaborateur difficile ?

Comme toutes les relations, celles professionnelles ne sont pas toujours cordiales. Bien souvent,  la vie en entreprise nous contraint à traiter avec des collaborateurs difficilement gérables. Collègues, patrons, employés,  les personnes difficiles en entreprise peuvent déteindre négativement sur notre moral. Si vous ne maîtrisez pas la bonne attitude contre elles,  ces dernières peuvent vous rendre la vie dure. Sur le plan mental, émotionnel et physique, c’est éprouvant de les gérer à moins de comprendre leurs jeux.  Malheureusement, elles sont présentes partout, et dans toutes les catégories d`entreprise, allant du TPE au PME, en passant par les grandes entreprises. Mais comment s’y prendre avec elles? Le point sur les lignes qui suivent.

 

Préparez votre répartie

Un collaborateur difficile se donne du plaisir à réveiller en vous   une attitude de défense, de colère, de peur ou encore de tristesse. Son objectif est avant tout de saper votre moral, afin d`avoir le contrôle de vos émotions. Ne lui donnez pas cette chance,  car cela ne tient qu’à vous de le laisser y parvenir ou de le stopper net. La moindre manifestation de votre émotion le laissera penser qu’il a le contrôle vous. Pour éviter cela, préparez votre répartie pour assurer vos arrières. Ayez en tête une ou deux phrases que vous pourrez utiliser lorsque vous sentirez une attaque manipulatrice de sa part. Vous le renvoyez dans ses cordes.

Préférez le calme à la colère

La plupart des personnes difficiles se nourrissent des réactions colériques  de leurs victimes. Elles sentiront avoir gagné la partie dès l’instant qu’il se produira   une forme de confrontation qui fera ressortir l’état état émotionnel de leur victime. C`est la raison pour laquelle, quoi qu`il puisse arriver,  vous ne devez pas craquer devant un manipulateur. Ayez de la hauteur devant lui. Pour ce faire, vous devez réussir à gérer votre propre colère avant de vous engager dans une conversation. Dans tous les cas, restez serein et  répondez calmement. Il en sera troublé

Ne vous culpabilisez jamais à cause d`une personne difficile 

Certains  manipulateurs difficiles sont tellement prompts à vous rendre coupables de leurs propres agissements. Vous ne devez surtout pas tomber dans ce piège sournois,  car le problème, ce n`est pas vous. Bien au contraire, vous êtes une simple victime. Malheureusement, si vous n`avez pas compris cela, il peut arriver que vous vous sentiez coupable. Il est alors  important que vous souveniez que vous êtes manipulé pour vous faire du tort à vous-même.

 

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