La situation politique d’un pays influe fortement sur son économie, mais aussi surtout beaucoup sur les opportunités de travail. Le Rwanda en est un grand exemple. Aux lendemains de sa situation politique et sécuritaire difficile dans les années 1990, le pays a sû se reconstruire. Il est parti d’une situation de pays économiquement fermé à celle d’une économie florissante, prometteuse, où beaucoup de secteurs recrutent encore, tant dans le secteur privé que celui public. Le Rwanda miraculé économique, et surtout politique, est une terre où les chances de se construire une carrière d’avenir sont nombreuses. Si jamais vous pensiez y rentrer, sachez qu’il en est encore temps.
1. Un passé politique difficile pour un meilleur avenir
Il s’agit d’une des pires catastrophes politiques en Afrique. Le génocide Rwandais de 1994 a touché le monde entier de par sa barbarie et son déroulement. Sans revenir sur cette affaire qui a découlé de plusieurs années de fragilité politique accentuée par l’héritage colonial belge, le pays a sû, des années durant, se reconstruire. Cette reconstruction a surtout été possible grâce à un processus de réconciliation engagé dans le but de faire repartir le pays sur de nouvelles bases.
Le Rwanda a connu, durant la phase de transition, entre 1994 et 2003, des changements sur les plans institutionnels et constitutionnels qui ont permis, sous la gouvernance de Paul Kagamé, actuel Président du pays, de faire repartir son économie. Sur le plan international, le pays a, aux lendemains du génocide, trouvé un place favorable, tant au niveau Africain que dans les relations bilatérales avec plusieurs pays du monde entier. Il s’agit d’une approche qui a favorisé son essor économique qui fleurit de jour en jour. Pour y arriver, beaucoup de mesures contraignantes ont cependant été prises. Les prochaines élections présidentielles devraient avoir lieu en 2017
2. Une des économies les plus attractives d’Afrique
Petit pays enclavé d’Afrique de l’Est, ce Rwanda miraculé économique a réussi à mettre en place d’importantes réformes économiques et structurelles au cours de la dernière décennie. Celles-ci lui ont permis d’accroître puis de maintenir sa croissance économique. D’ici à 2020, l’ambition des autorités Rwandaises sont d’en faire un pays à revenu intermédiaires à travers des investissements publics dans les domaines de l’agriculture, des services, mais surtout sur l’éducation. Dans la même veine, mais sur le moyen terme, le gouvernement a élaboré une “Stratégie de développement économique et de réduction de la pauvreté”. Les objectifs d’un tel plan sont la transformation de son économie essentiellement agricole, le développement rural, l’accentuation de la productivité et l’emploi des jeunes. Tous les secteurs économiques, sociaux et même politiques du pays sont ainsi encouragés dans cette voie. Aussi, le secteur privé, qui est encore largement informel, commence à jouer un rôle plus important pour assurer la croissance économique.
3. Perspectives dans le domaine du recrutement
Dans un pays où tout est encore à construire, le marché de l’emploi est en perpétuel évolution. Plus les plans de développement du pays avancent, plus des connaissances pointues, surtout au niveau de la mise en place et de la réhabilitation des infrastructures par exemple, sont requises. Aussi, la modernisation de son agriculture qui occupe 90% de sa population active, et l’innovation technique et technologique sont ainsi des secteurs qui sont en pleine expansion dans le pays. À la fin de l’année 2015, le Rwanda avait déjà atteint la plupart des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et assure donc un bon environnement de vie ainsi que des conditions adéquates pour un retour en Afrique. En plus, sa position en tant que pays francophone d’Afrique de l’Est en fait un pays central en matière d’échanges économiques et financiers, tout comme en matière de politique Africaine.
Non seulement parce que le pays s’est relevé après un coup dur subi en 1994, mais aussi parce que la gouvernance de Paul Kagamé en a posé les bases du Rwanda miraculé économique. Il est aujourd’hui un pays où il fait bon vivre, mais aussi où tout est à faire. Tant sur le plan politique et économique, les perspectives de travail y sont développées, surtout que la reconstruction sociale et politique est partie pour continuer à maintenir sa stabilité sociale.