Africa CEO Forum, Abidjan 2018 – Selon un rapport des Nations unies, d’ici 2050, une personne sur 4 sera africaine et la main-d’œuvre africaine sera la plus importante du monde.
Selon un autre rapport établi par McKinsey, il existerait un potentiel de 5600 milliards de dollars d’opportunités d’affaires en Afrique. Contre 4000 milliards aujourd’hui même. En 2018, selon la Banque mondiale, 6 des 10 économies ayant la plus forte croissance à travers le monde seront à nouveau africaines. Sous ces projections importantes, s’est déroulée l’édition 2018 de l’Africa CEO Forum à Abidjan.
Pour débattre et d’échanger sur les questions qui affectent le développement économique de l’Afrique. La capitale ivoirienne a accueilli ce 26 mars un peu plus de 1600 participants venus de 39 pays africains. Ainsi que des dizaines de multinationales issues de 28 pays non africains, dont des dirigeants de grands groupes industriels et d’institutions bancaires. Cette 18ème est placée sous le slogan : «L’heure des transformations». Il s’agit de relever les nouveaux défis pour plus de productivité et d’emploi. Mais aussi l’économie numérique, la robotisation, les énergies nouvelles, l’intégration régionale, la modernisation de la gouvernance et du management. Et aussi l’intégration régionale, la modernisation du dialogue public-privé, la modernisation de l’entreprise et puis, enfin, l’amélioration du climat des affaires.
En conclusion
Cette grande rencontre des entreprises africaines sont l’occasion de réfléchir et trouver des réponses à des questions-clés. Qui sont par rapport aux nouveaux modèles de développement: Quelles politiques économiques mettre en place pour coller à la nouvelle dynamique économique mondiale ? Comment les ruptures technologiques changent-elles la donne en matière de création d’emplois ? De quels types de changements structurels en matière d’éducation, d’infrastructures et de gouvernance. L’Afrique a-t-elle besoin pour s’adapter à cette nouvelle ère? L’Africa CEO Forum est également une opportunité pour beaucoup de pays d’attirer les investisseurs privés présents en grand nombre.